Ça « pass » ou ça casse ?

Chère amie, cher ami,

En cette rentrée 2021 et en complément de ma précédente vidéo, il m’a semblé important de faire le point avec vous sur le « pass sanitaire » et sur l’obligation vaccinale des soignants à la date du 15 septembre, sous peine d’interdiction d’exercice.

En ce début septembre, les recours devant les tribunaux administratifs pour « atteinte aux libertés fondamentales » ou violation du secret médical sont nombreux.

En termes de hiérarchie des lois, la Constitution est toujours prééminente sur un quelconque arrêté. Il ne faut donc ni désespérer ni céder : c’est une question de temps. Quand on oppose correctement et habilement un « non » à sa hiérarchie, on a beaucoup de chance de la faire reculer.

Prenons conscience que l’étude scientifique qui a servi de socle au Conseil Scientifique Gouvernemental, puis à la déclaration du 12 juillet du Président et à la promulgation de la loi du 5 août, est aujourd’hui attaquée devant les tribunaux (plainte contre X déposée par l’association « réinfo liberté[1] » rédigée par Maître Ludovic Heringuez) pour, entre autres, fraude, faux et usage de faux et tentative de manipulation de la population.

N’hésitez pas : un des derniers remparts qui restent devant le raidissement autoritaire que l’on constate est l’outil du Droit !

La vaccination des jeunes, c’est 17 millions de Français et le risque de plus de 5000 effets secondaires graves, selon les derniers chiffres du Conseil scientifique indépendant du 2 septembre 2021[2].

Lorsqu’il s’agit de personnes jeunes et en âge de procréer, personne ne sait si de tels effets secondaires seraient transmissibles aux générations à venir et si, comme il a été dit dans ce même conseil, nous ne sommes pas devant l’une des pires menaces qu’a connue l’humanité.

Nous arrivons à un moment très important de l’histoire où chacun doit prendre ses responsabilités.

Protégeons nos enfants ! Protégeons ceux qui feront l’avenir de la planète et le nôtre !

Il faut être, comme le dit très justement le docteur Louis Fouché[3], patient, méthodique, déterminé et pragmatique. Le temps de la Justice est long, mais ce temps qui nous est laissé n’est pas là pour rien : il est là pour nous faire préparer un monde meilleur, en termes de Science, de Santé, d’éducation démocratique, d’aide aux personnes les plus faibles et aux enfants. Prenons conscience qu’après cette crise, il nous faudra reconstruire une société entière.

Il faut que cette crise soit un moyen d’éveiller les consciences : si vous êtes déterminé(e) à dire « non », dites-le correctement, dans le calme et la conscience de votre droit. Si vous êtes déterminé(e) à ne pas vous faire vacciner, vous ne serez pas vacciné(e), si vous n’êtes pas d’accord pour que vos enfants ne soient pas vaccinés, ils ne seront pas vaccinés.

Personne ne vous oblige à faire part de votre état de santé à votre DRH : que vous soyez vacciné(e) ou non. Écrivez un courrier à votre hiérarchie en précisant que seule la médecine du travail est habilitée à vous entendre sur ce point. Nous voyons que dans ces conditions, certaines structures commencent à reculer et que d’autres annoncent une catastrophe sanitaire si 5 à 10 % du personnel soignant des hôpitaux venait à manquer.

Je ne résiste pas à vous citer une phrase du journaliste chroniqueur et conteur de C-NEWS, Marc Menant : « Je suis un homme convaincu par le principe de liberté, c’est une idée philosophique qui ne se discute pas et qui permet à l’homme d’atteindre son envergure, de ne pas être dans la servilité. […]  La santé ne peut avoir une prééminence sur la liberté. La liberté est là, et la santé, c’est un autre domaine qui ne détient pas une vérité en plus. »

Considérer quelqu’un en bonne santé comme un danger est une ignominie, poursuit-il, avant d’expliquer pourquoi nous ne sommes pas responsables de la santé des autres. Il conclue ainsi : nous sommes conditionnés, désaccoutumés à la liberté, et la liberté est un risque à courir.

Et pour ceux qui douteraient de l’effet « non altruiste » de ces vaccins, je renvoie à la lettre que j’ai écrite sur le sujet[4].

Pour terminer avec un peu d’humour, je viens de faire un long voyage en train avec des annonces répétées : « Vous devez avoir un pass sanitaire, mais aussi garder votre masque pendant tout le voyage et en gare ! » Cherchez l’erreur…

Prenez soin de vous et gardez courage, moral et convictions, quelles qu’elles soient.

À bientôt,

Docteur Dominique Rueff




N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


Une réponse à “Ça « pass » ou ça casse ?”

  1. Bouvier dit :

    Bonjour, comment peut-on visionner la conférence sur les solutions aux effets secondaires et complications des injections anti-CVD19 lorsqu’on l’a ratée ? Merci d’avance
    Nanette Bouvier

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