Comment et pourquoi vieillissons-nous ?

Je suis tombé ce matin sur cette citation attribuée à Bernard Pivot, que je ne peux m’empêcher de commenter : « Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien, ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve ».

Je peux vous confier, par expérience personnelle, que c’est parfaitement vrai. Un seul renoncement… et on est foutu !

Un seul abandon peut en entraîner beaucoup d’autres et c’est la glissade fatale !

Fin 2015, après la cessation de mon exercice libéral en cabinet, j’ai cru que j’allais pouvoir continuer à vivre en bonne et joyeuse santé en renonçant au travail.

J’ai vite compris qu’aucune activité non contraignante ne pouvait le remplacer.

Certes, l’écriture de ces « lettres » diffusées grâce au professionnalisme numérique de l’équipe de « Santé Nature Innovation », est à la fois un travail et un plaisir.

Et l’accueil que beaucoup d’entre vous me manifestent est un honneur.

Mais c’est un travail solitaire devant une page blanche !

Je reviens à ce que je voulais vous résumer : pourquoi et comment vieillissons-nous ?

Le vieillissement est constitué d’un ensemble de phénomènes qui altèrent l’ensemble des cellules de notre organisme, par une diminution progressive des capacités d’adaptation, de transformation et de reproduction cellulaire.

Il commence dès la fin de la croissance et de notre maturation sexuelle.

Dès notre conception, nous sommes programmés génétiquement. Ce code est intégré dans notre mémoire cellulaire. Notre durée de vie dépend de nombreux facteurs internes et externes programmés ou aléatoires.

Nous pouvons toujours intervenir sur certains d’entre eux à titre préventif, ou même tardivement : il n’est jamais trop tard pour améliorer sa nutrition, réfléchir à son mode de vie, pratiquer ou reprendre un exercice physique régulier et adapté à son âge, ses disponibilités et ses capacités. Mais aussi méditer, augmenter sa conscience de l’instant, changer sa vision du monde et cultiver, par principe, la pensée positive, même en cas de coup dur ou de maladie.

Depuis peu, les résultats de quelques études en neurosciences confirment [1] les effets de « la culture et de l’exportation de l’optimisme ».

Comment vieillissons-nous exactement ?

Les facteurs « programmés » de notre vieillissement sont ceux sur lesquels nous n’avons pas de prise. Raison de plus pour ne pas négliger ceux sur lesquels nous pouvons agir activement et en amont.

La programmation génétique est la somme, le mélange et l’entrecroisement des patrimoines de nos parents.

Déterminée à la naissance, elle va conditionner nos points forts, nos faiblesses, et constituer notre « terrain biologique inné ».

L’ADN ou acide désoxyribonucléique est le support matériel de notre code génétique présent dans le noyau de nos cellules. Les cellules se divisent et plus nous vieillissons, plus le risque d’erreur dans cette division est grand.

Nous savons, depuis assez peu de temps, que notre mode de vie, ce que nous respirons et consommons, peut influencer ce risque.

Je suis absolument certain que nos modes de pensées, notre regard sur nous-mêmes et les autres, notre conception de la vie et son partage peuvent faire de même.

L’influence des radicaux libres sur le vieillissement

Quand on aborde le sujet du stress oxydant, on pense immédiatement aux radicaux libres externes.

Indépendamment de toute influence externe ou environnementale, du fait de notre seul métabolisme, ces radicaux libres sont également produits à l’intérieur même de nos cellules et deviennent dangereux quand ils sont présents en excès. Dès le début de notre existence, ils s’attaquent aux membranes cellulaires et à l’ADN cellulaire, en accélérant le vieillissement.

Les radicaux libres internes sont issus de notre utilisation métabolique de l’oxygène et de l’azote. Ils constituent, néanmoins, de redoutables ennemis intérieurs tenus pour responsables d’un grand nombre de processus dégénératifs, accélérant le vieillissement de nos tissus. Le stress oxydant contribue à l’installation et à l’entretien de maladies telles qu’Alzheimer et Parkinson – déficiences cognitives ou neurologiques –, cataracte, arthrite…

Quant aux lésions de l’ADN cellulaire, elles sont responsables de certains cancers liés à l’âge. Notre corps est heureusement équipé de systèmes de défense et de pièges contre ces radicaux libres en excès.

Ce sont des enzymes (tels que le superoxyde dismutase – SOD –, le glutathion peroxydase – GPX – et la catalase), ainsi que des métaux comme le fer, le zinc et le cuivre, cofacteurs essentiels.

Ces systèmes de défense ne peuvent, à eux seuls, éliminer tous les radicaux libres, surtout lorsqu’une mauvaise alimentation est à l’origine de déficiences nutritionnelles.

Une bonne alimentation, exempte d’excès ou de déficiences, est considérée comme le meilleur garant d’un bon vieillissement.

Les radicaux libres d’origine externe

Il en est de même pour la consommation de tabac et la pollution de l’air, de l’eau et de l’alimentation. Certes, on constate des exceptions : tout le monde pense à Winston Churchill dont les artères n’étaient pas (sur le tard, il est vrai) en excellente santé.

En fait, cela n’a rien d’étonnant et illustre notre absolue dépendance à nos programmations personnelles innées. Nous naissons avec des prédispositions, des dons, des failles et des capacités parfois exceptionnelles. Pensons aussi à Mozart !

Nous sommes dépendant d’une même loterie : ce code génétique, mélange de celui de nos parents mais il nous reste tout ce que nous pouvons faire de ce numéro que nous avons tirés !

C’est bien le sens de la relation indéfectible entre l’inné et l’acquis !

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, ne cesse d’insister sur l’importance de faire régulièrement (environ une fois par an) un bilan biologique de stress oxydant. Pour lui, les dysfonctions de nos systèmes de régulations sont une composante essentielle des maladies chroniques parmi lesquelles le cancer, les maladies de Parkinson et d’Alzheimer, ou la sensibilité aux maladies inflammatoires et infectieuses.

Selon le Pr Montagnier, toute notre physiologie, et donc nos capacités à résister à la maladie, à bien ou mal vieillir, sont influencées par notre maîtrise du stress oxydant. La production hormonale, celle des enzymes et de l’ensemble de nos capacités immunitaires de défense, en dépendent également.

Chez l’homme comme chez la femme cette production des glandes endocrines diminue avec l’âge, et il en est de même avec le métabolisme de nos enzymes. Avec les années, l’élasticité de la peau, la diminution de la densité des seins, des os et de la libido, sont souvent perçus comme les premiers signes visibles. Les parois artérielles vieillissent également, mais plus silencieusement.

Ce vieillissement entraîne une diminution de la vascularisation et donc de l’oxygénation de tous nos organes. La fatigabilité physique et psychologique se fait sentir dès l’âge de 40 ans. À l’exception de nos cellules musculaires et de nos neurones, toutes nos cellules se renouvellent plusieurs fois au cours de notre vie. Le vieillissement physique est certainement l’un des facteurs programmés sur lequel nous pouvons agir avec le plus d’efficacité afin de ralentir la perte de qualité de nos fonctions.

Des armées protectrices contre le vieillissement ?

Les attaques externes de radicaux libres sont prévisibles et évitables dans une certaine mesure. Les agressions cutanées et oculaires par les rayonnements solaires (ultraviolets) aidés du froid et du vent, la radioactivité, les pollutions par le chauffage domestique, les industries, les moteurs automobiles (particules fines), le tabac, l’alcool, les émanations chimiques des matériaux modernes de construction, les drogues dans nos placards de cuisine et de pharmacie… Ce sont autant d’éléments qui génèrent une surproduction de radicaux libres. Ils peuvent aussi s’attaquer à notre ADN, favoriser la dégénérescence cellulaire et la cancérisation, stade ultime du processus.

Nos rythmes et notre façon de vivre

Le déséquilibre entre les moments de veille et de repos et le manque de sommeil, sont des facteurs d’épuisement nerveux et d’abaissement des défenses immunitaires. La durée moyenne du sommeil naturel doit être de 7h20 par jour, à plus ou moins 1 heure selon les sujets.

Mais il n’est certes pas facile dans notre société occidentale de conserver la maîtrise de ces équilibres.

Entre le « burn-out » et la fuite à la campagne, le choix d’une vie équilibrée devient difficile.

Le stress chronique non maîtrisé

Les événements qui engendrent de grandes émotions (comme les pertes d’emploi, les deuils, les divorces et même les retraites) engendrent des déséquilibres qui peuvent conduire à un épuisement nerveux, hormonal, organique, accompagné d’un affaiblissement des fonctions immunitaires de défense.

Les erreurs nutritionnelles chroniques et répétées

Avec le stress, elles forment le socle de toutes les maladies chroniques qui s’accompagnent d’inflammation (comme la dépression) ou de dégénérescence des fonctions cellulaires et tissulaires (comme l’athérosclérose).

D’une part, l’alimentation industrielle est souvent déficitaire en éléments essentiels nécessaires à notre bon fonctionnement enzymatique et hormonal. On peut citer les vitamines A, C, E, B (particulièrement B1, B6, B9 et B12), le zinc et le sélénium, ainsi que les fibres. D’autre part, c’est une alimentation surchargée en graisses agressives pour nos artères comme les fameuses graisses hydrogénées, dites trans [2].

Les additifs chimiques (conservateurs, agents de texture, arômes, colorants…) et résidus de traitements des cultures (pesticides, herbicides, perturbateurs endocriniens…) intensifient le dysfonctionnement de nos organismes et l’accélération de son vieillissement ou des pathologies liées comme certains cancers, les maladies cardiovasculaires, le diabète non insulino-dépendant ou des maladies telles que la fibromyalgie, Parkinson ou Alzheimer.

Il est facile de constater que certaines d’entre elles surviennent de plus en plus tôt, dans les conditions de la civilisation occidentale et de course à la survie et l’emploi que connaissent les plus jeunes générations. C’est le cas, entre autres, du diabète non insulino-dépendant, des dépressions, des troubles cognitifs, de la fatigue chronique, etc.

La mauvaise qualité de l’eau

En France et à l’exception de certaines régions (agriculture, élevage porcin) et pollutions accidentelles à la suite de troubles climatiques, l’eau du robinet est considérée comme « potable ». Cette eau est-elle optimale, nourrissante sur le plan minéral, ou exempte de pollution ?

C’est un grand débat qui déchaîne les passions et n’a pas sa place à la fin de cette lettre. Certains spécialistes savent bien que les stations d’épuration sont souvent dépassées. Elles entraînent accidentellement la mort de milliers de poissons en aval. Même la Suisse n’est pas épargnée [3].

La consommation trop régulière de certaines eaux en bouteille, dites minérales, peut entraîner une dégradation de notre milieu cellulaire par surcharge minérale.

Outre ce problème, il faudrait être plus attentif à la qualité des emballages et vérifier que ces derniers ne facilitent pas la présence dans ces eaux de polluants comme les phtalates (perturbateurs endocriniens). Il faut également se soucier du recyclage de ces bouteilles.

Peu de gens savent que certains symboles gravés sur les bouteilles d’eau peuvent nous aider à les choisir [4]. J’ai toujours, selon les conclusions des travaux de Louis Claude Vincent [5], conseillé de boire des eaux peu minéralisées, d’une résistivité supérieure à 2 000 ohms, souvent issues de sources de montagne et, à défaut des systèmes de filtration, permettant de s’approcher de ces paramètres.

On ne vit pas plus de trois jours sans boire. Notre corps, en moyenne, est composé aux deux tiers d’eau dont l’élimination est permanente par la respiration et la peau. La déshydratation a des effets désastreux sur notre santé, accélérant le vieillissement tissulaire. On est donc en droit de considérer une bonne eau (à défaut d’être parfaite), comme le premier des médicaments antivieillissement.

Les accidents et traumatismes peuvent accélérer le vieillissement

Les traumatismes constituent une cause souvent méconnue du vieillissement physique par les multiples conséquences anatomiques qui en résultent. L’arthrose en est l’exemple le plus courant. Ces « pseudarthroses post-traumatiques » sont à l’origine de douleurs chroniques. Mon genou gauche qui a explosé il y a une dizaine d’années à la suite d’un accident de ski le sait bien. Mais la prédiction du chirurgien (« Je vous mettrai une prothèse d’ici dix ans ») ne s’est pas encore réalisée.

Les infections chroniques ou récurrentes à bactéries, virus, champignons et parasites

Tout le monde a entendu parler du virus de la mononucléose infectieuse, l’Epstein Barr Virus (EBV), infection bénigne souvent contractée à la suite de l’un des premiers et doux baisers de l’adolescence. Elle peut devenir chronique et devenir l’un des grands acteurs de la fatigue.

Les candidoses et parasitoses intestinales sont également de grandes causes de douleurs abdominales, de colites et de fatigues. À ce titre, elles doivent être recherchées par des examens de selles en laboratoire, que l’on nomme coprocultures.

Quant aux infections bactériennes que les médecins recherchent par de multiples examens de laboratoire parfois complexes et souvent infructueux, elles sont, pour le professeur Montagnier (qui les dépiste avec des moyens biophysiques, les CEM [6]) et pour un grand nombre de confrères, une grande cause de pathologie chronique et de vieillissement accéléré.

Maîtriser l’apparition et la vitesse du vieillissement reste donc un grand « challenge » que nous n’avons pas fini de relever.

Docteur Dominique Rueff




N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


17 réponses à “Comment et pourquoi vieillissons-nous ?”

  1. cordilhac dit :

    En réalité je ne veux pas faire de commentaire mais poser une question à propos de la maladie de Crohn dont est affectée une de mes amies .
    Je lis partout que c’est impossible à guérir ; auriez-vous des lumières à ce propos ?
    Cordialement

  2. Plée Dominique dit :

    Bonsoir
    L’histoire de Mme Morano qui mange 2 œufs par jour, sans fruits, ni légumes, me fait penser a ces gens qui vous disent: « il a fumé toute sa vie et n’est pas mort d’un cancer du poumon ». Certes, cela arrive, comme de gagner a la loterie, mais en général c’est le contraire qui se passe.
    Les séries statistiques sont partout, ne l’oublions pas et rappelons-le sans cesse.

  3. nathalie dit :

    Merci beaucoup Dr Rueff! Avec vous,tout est clair et passionnant et vos lettres montrent à chaque fois que chacun peut être acteur de sa santé.

  4. Amrani Fatiha dit :

    Merci Dr Rueff du Maroc je vous suis et vos lettres me font beaucoup de bien. J’ai aussi lu votre petit livre sur la vitamine C et j’applique vos conseils merci encore

  5. COUTON Eliane dit :

    Bonjour docteur Rueff,
    Votre lettre est habituellement constructive et instructive, et vous êtes d’ailleurs un des seul de SNI à vouloir nous instruire sans nous vendre quelque chose. C’est dommage pour ces éditions qui pourtant nous avaient habitué à une information dénuée d’arrières pensées commerciales, au début, et qui à mes yeux perdent de leur crédibilité et de leur intérêt à toujours ponctuer leurs lettres par l’offre exceptionnelle d’un abonnement.
    Bref vous restez donc à peu près le seul à vouloir nous informer sans contrepartie.
    Aujourd’hui j’ai trouvé votre article triste; et oui nous vieillissons et voilà… J’ai déjà lu cent fois vos constatations à ce propos et j’ai mis en place dans ma vie les conditions optimales que je puisse. Je me refuse à faire des visites médicales aussi déprimantes qu’inutiles et je ne peux que constater mon vieillissement corporel malgré une alimentation et une hygiène de vie conforme aux recommandations en vigueur. Alors Docteur, arrêtez de nous déprimer ou bien donnez nous des trucs faciles et utiles et pas chers (la aussi rendez vous compte que chacun ne peut pas accèder à certains soins faute de revenus).
    Vous m »avez déprimée aujourd’hui je vais quand-même regarder la vidéo de Montagné, j’aime beaucoup cet homme de conviction et de rebellion.
    Merci néanmoins, même les plus grands artistes ne font pas que des chef d’oeuvre.
    Je vous souhaite un bon vieillissement.

    • Amrani Fatiha dit :

      Mr COUTON Eliane tout à fait d’accord avec vous en ce qui concerne SNI je suis trés déçue et j’ai arrété mon abonnement je crois avant d’avoir reçue le reste de l’année
      on ne sait plus à quel saint se vouer dans ce monde

  6. Francis Maire dit :

    Docteur le Rueff vous parlez de bilan du stress oxydatif, mais mon médecin me déclare : « je ne peut tout de même pas faire analyser votre niveau d’oxydation ? »
    Quand je lui ai parlé de l’oxydation du cholestérol il s’est presque moqué e moi en disant que je n’était pas un laboratoire.
    Que faire pour être bien soigné (NB j’ai 5 stents coro)

  7. Aillet Marie-Hélène dit :

    Merci pour vos lettres, elles sont instructives et très intéressantes.
    Je suis praticienne Feldenkrais,(sans doutes avez vous entendu parlé de cette méthode d’éducation somatique). C’est une méthode pour apprendre, par la »Prise de conscience par le mouvement » comment discerner ce qui est bon pour nous et je peux vous assurer de son importance très positive sur le vieillissement et sur la santé en général.

  8. amiand dit :

    Merci beaucoup pour tout le temps consacré à nous informer

  9. Hanne Lange dit :

    C her docteur,
    Un grand merci pour votre lettre sur le vieillissement que, contrairement à une autre lectrice, je ne trouve ni déprimante ni pessimiste, mais simplement realiste. A plus de 85 ans, je vous donne raison pour vos conseils contre le vieillissement : il faut, dans la mesure du possible, essayer de vivre sa vie comme avant malgré douleurs , inconvénients et … rides ! A voir votre photo, on comprend que vous vivez selon vos propres conseils – mais vous êtes encore jeune. et le resterez, j’espère.
    Une Danoise francophile, ancien prof, qui vit la moitié de l’année en France et qui a cessé de travailler à 78 ans.

  10. Melanie dit :

    Bonjour
    Comme un commentaire précédent, j ai demandé à mon médecin de me faire un dépistage de certaines carences. J ai reçu un Non sans détour.
    Et c est parce que j avais une fatigue récurrente que j ai demandé un dépistage du fer. Résultat 3 au lieu de 30.
    Donc faut il donc se payer nos prises de sang, une coproculture pour enfin savoir, car les médecins sont trop pro secu ?

    Soit je vais donc me payer ces analyses, mais quoi demander ? Svp. Ou alors quel médecin doit on consulter alors pour avoir ces dépistages de stress oxydatif.
    Merci de m avoir lue. Et merci pour vos articles instructifs

  11. Claire dit :

    Bonjour,
    Merci beaucoup pour vos messages réguliers.
    Cependant certaines erreurs se glissent parfois dans votre courrier.
    Aujourd’hui vous écrivez que l’on ne peut pas rester plus de trois jours sans boire…..
    Vous savez très bien que c’est totalement inexact.
    Il est certain que la qualité de l’eau est excessivement importante mais l’organisme humain supporte bien plus de trois jours sans boire.
    Bien à vous.
    Claire.❤️

  12. Eliane REGNIER dit :

    encore une lettre super intéressante et tellement pragmatique… bravo surtout continuez a nous faire part de vos connaissances elles ne peuvent que nous aider surtout
    lorsque l’on a 74 ans comme moi et que certains jours ne soient pas toujours facile…j’aurais aimer avoir un ami comme vous, rassurant, positif, plein de bon sens.
    merci encore
    cordialement

  13. R-L dit :

    merci docteur

  14. Gouigoux dit :

    A propos de l’eau, source de vie, tout le monde devrait avoir lu le livre de Roger Castel, « la bioélectronique Vincent », qui explique les lumineux travaux de Louis-Claude Vincent sur l’eau qui soigne et qui guérit, ou, accessoirement, mon propre livre sur le même sujet : « Le jour où j’ai jeté mes médicaments »
    Merci à vous, Docteur, pour vos mails que je lis toujours avec intérêt

  15. cazaruc sylvie dit :

    je suis intéressée par vos lettres mais je remarque que je ne peux suivre vos conseils par manque d’argent. je suis une retraitée avec 800 par mois et je suis obligée de compter afin de pouvoir payer loyer, assurance, facture d’énergie, nourriture et je ne peux malheureusement avoir accès à de bons remèdes car trop chers.

  16. Nicole Desplaces dit :

    Cher Dr Rueff
    Je viens de lire votre message sur votre fille Valentine et vous adresse bien tardivement mes plus sincères condoléances .
    Je ne vous connais ni l’un ni l’autre mais je conçois facilement la détresse et le chagrin qui sont les vôtres après sa disparition et ne peux que vous plaindre de l’avoir perdue irrémédiablement .
    On sait bien que les enfants ne sont pas destinés à rester auprès des parents, mais on n’est jamais prêts à les voir partir que ce soit à l’autre bout du monde ( mais on a l’espoir qu’ils peuvent revenir) et surtout définitivement .
    Je vous souhaite beaucoup de courage pour affronter cette disparition et vous adresse toute ma sympathie .

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