Thérèse

En 1991, j’ai publié aux éditions Jacques Ligier « Thérèse ou l’Amour Médecin », le récit des années de lutte de mon épouse Thérèse contre la maladie, en particulier le cancer. Ce livre est épuisé depuis longtemps, mais avec un peu de chance vous le trouverez chez un bouquiniste ou dans une librairie.

Je l’ai relu ces derniers jours afin de mieux vous parler de Thérèse et de l’enseignement que l’on peut retirer de son combat personnel. Le livre n’a que très peu vieilli et pourrait presque être réédité comme tel.

C’est la pratique actuelle de la cancérologie qui a changé, mais l’esprit, les difficultés, les interrogations que de chacun de nous, dans la même situation serait conduit à se poser, restent les mêmes.

Dans les lignes qui vont suivre, les extraits de ce livre apparaissent en italiques.

La dernière nuit

Après ces ultimes semaines de lutte, de douleurs et de de transfusions de plus en plus fréquentes il avait bien fallu se résoudre à l’hospitaliser pour « passer un cap » !

Je ne savais alors pas que j’allais devoir prendre l’une des décisions les plus difficiles de mon existence.

Thérèse était arrivée en semi coma, les tentatives de réanimation avaient été périlleuses et son cœur menaçait de s’arrêter. C’est alors que la réanimatrice me prit par le bras et me fit sortir du bloc opératoire.

Elle me dit alors :

« Venez avec moi quelques instants. Ce que j’ai à vous dire n’est pas facile : vous savez, nous avons fait le maximum. Votre femme est envahie de métastases : les ganglions de l’aine qui induisent cet œdème de la cuisse qui nous empêchait de la sonder, tout le squelette dont les os de la face, les relais ganglionnaires du cou, et peut-être le cerveau… Maintenant, le cœur ne veut plus rien savoir et sur le plan rénal ce n’est probablement guère mieux. Ce serait inhumain et inutile de continuer pour passer un cap qui lui donnera quelques jours de plus, à condition qu’elle se réveille, mais combien de souffrances en fin de compte inutiles ? Je crois qu’il n’est pas raisonnable de continuer. Je vous demande la permission d’arrêter la machine. »

Je ne me suis jamais senti aussi seul que ce soir-là. Je pensais avoir tout perdu, ma compagne, ma vie et ma raison de vivre.

Avec un recul de 30 ans, je réalise l’influence de ces quelques années passées ensemble sur tout ce que, depuis, j’ai eu la chance d’entreprendre. Elle reste présente et sa souffrance m’a permis d’en atteindre et peut-être atténuer beaucoup d’autres, celles qui se laissent au moins approcher, sinon apprivoiser.

Un lendemain de Noël

Elle était arrivée ce jour-là avec son dossier et sa mine triste comme tant d’autres depuis. Elle revenait du Canada avec un petit pli en haut du sein qu’elle regrettait maintenant d’avoir négligé et qu’elle évitait soigneusement de regarder dans les miroirs.

Plutôt que la voie chirurgicale classique, mutilatrice, radio et chimiothérapique elle avait choisi un traitement parallèle comme son père l’avait fait, bien des années avant, pour une toute autre maladie.

C’était son choix !

Thérèse fut opérée à Bordeaux en mars et elle récupéra de façon optimale. Elle venait me voir régulièrement pour surveillance et, au bout de quelques mois, avait décidé d’en rester là et finalement d’arrêter ses consultations.

Mais entre-temps un événement fortuit nous avait rapprochés.

Le commencement des récidives

Thérèse s’était rebellée très tôt contre une famille qui l’avait bousculée, lui avait presque interdit de lire, ce qui l’avait motivée pour la quitter, très tôt, faire des études, puis partir à l’étranger. Elle racontait tout cela sans aucune colère, avec tant de grâce, d’énergie, de vitalité et de sourire. Elle était aussi devenue, dans mon premier Cabinet médical, une collaboratrice hors-pair avec une écoute de la douleur des autres : le « premier pas » vers un médecin nouveau et inconnu. Jamais je ne l’ai entendue dire : « Vous savez je suis malade moi aussi ! ». Elle transmettait aux autres son amour de la vie, cette vie dont elle appréhendait peut-être, sans jamais le dire, les limites. Combien de fois l’ai-je entendu dire : « Qu’elle est belle cette planète ! ».

Était-ce une référence inconsciente au Petit Prince de Saint-Exupéry qui savait très bien que le serpent était caché dans les sables ?

Une médecine en miettes qu’il faudrait rassembler

Tant que la médecine se cloîtrera dans sa technicité, sans assurer une attentive et patiente écoute ainsi qu’une proposition raisonnée, raisonnable et adaptée à la compréhension de chacun, les récupérateurs « alternatifs » ou purs charlatans auront encore de beaux jours devant eux.

Seuls les imbéciles à vue étroite sont encore capables de croire à l’existence, ou pire à la supériorité d’une médecine sur l’autre, parallèle ou convergente, douce ou dure, alternative ou… que sais-je encore ?

Il n’y a pas plusieurs médecines mais La médecine, celle qui tente de soigner au meilleur des connaissances du jour avec la meilleure compétence du soignant est la meilleure réceptivité du soigné.

De même, Lucien Israël, dans la préface qu’il a bien voulu rédiger, souligne qu’il ne peut y avoir deux sciences et il ajoute : « Les cancérologues connaissent bien le profil psychologique et intellectuel des adeptes des médecines dites alternatives. Pour eux, la médecine dite officielle n’est rien qu’un discours faux, et au surplus intéressé. Mais il suffit qu’une théorie soit en dehors du champ enseigné dans les facultés pour qu’elle soit vraie ou vraisemblable. Ils perdent tout sens critique dès qu’un concept leur est présenté comme contraire à ce qui est reconnu, au point qu’ils se passent de toute preuve et lui accorde d’emblée un préjugé favorable ».

C’est effectivement une attitude contre laquelle on doit en permanence se battre.

Dans un autre passage de sa préface, Lucien Israël, alors Chef de Service en cancérologie, ajoute : « Je ne peux non plus souscrire aveuglément aux décisions thérapeutiques de la médecine académique ».

Comment refuser à quelqu’un en grande anxiété et souffrance se sentant en danger de mort d’envisager le recours à une autre voie à condition qu’elle soit sans danger et n’affecte ni la conduite ni les résultats d’un traitement éprouvé ?

L’approche globale de la santé ne peut être séparatrice !

Comme l’aurait fait Thérèse, avec tout son amour, il m’a fallu parfois beaucoup de patience pour tenter d’expliquer tout cela.

En restant constamment dans le cadre de l’éthique et du respect, pourquoi se passer de tout ce qui pourrait être bénéfique, comme une optimisation nutritionnelle ou même homéopathique, une démarche psychothérapique, une pratique de la méditation ou de la pleine conscience, une profonde et souvent douloureuse modification de ses conditions de vie et, parfois, de certains compléments alimentaires ou végétaux.

A ces mêmes conditions, pourquoi railler le recours à toute autre approche (magnétiseur, énergéticien…) dont, à minima, les possibilités potentielles de « placebothérapie » ne peuvent plus être niées par personne.

Pourquoi opposer l’expérience et les résultats d’un médecin tel que le docteur Kousmine qui a aidé de nombreux patients à celle d’un célèbre professeur d’Université ?

J’ai toujours souhaité laissé converger tous les possibles, ne jeter aucun opprobre sur ceux je ne connaissais pas, tout en me renseignant, afin d’assurer ce que je pensais être la meilleure prise en charge possible.

« La société n’a pas encore compris, ajoute Lucien Israël, qu’elle devait choisir ses médecins parmi les esprits les plus brillants, les plus rigoureux et les plus nobles. Elle fait des ponts d’or aux amuseurs et abaisse régulièrement le niveau de vie de ceux qui soignent. Fatale erreur qui se paie et se paiera de plus en plus ».

J’ajouterais qu’à ce jour, à force de laisser ternir l’image du soignant, limiter le temps consacré aux soins et à l’écoute, rentabiliser l’hôpital public, la société économique génère les conditions d’une très mauvaise médecine et d’un émiettement qui va à l’encontre de ce que j’espérais il y a encore peu.

Il faut se battre !

Lucien Israël n’arrêtait pas de le répéter : « A quoi bon continuer un traitement qui ne donne pas de résultats ». On est souvent conduit à se battre, en tant que médecin, ou soignant, avec le patient, parfois contre ses croyances, ses fantasmes ou son environnement mais toujours contre sa maladie en essayant de trouver le meilleur des thérapeutiques existantes.

Comment maintenir un discours positif et encourageant avec un maximum d’objectivité, d’empathie pas obligatoirement compassionnelle ? Car ce n’est pas le rôle du soignant de plaire, consoler ou séduire.

La « rencontre » entre soignant et soigné devrait rendre possible, pour le soignant, l’occasion de « dire » avec tact et pour le soigné celle « d’entendre », c’est-à-dire de comprendre, de s’assumer et de se prendre en charge. Elle est l’occasion de briser un mécanisme inconscient d’autodéfense, un écran de rêve ou de fumée et donc un moment difficile tant pour l’un que pour l’autre.

Il n’est pas question de convaincre. Ne se convainc que celle ou celui qui est prêt !

Mais comment se convaincre quand on est peu ou mal informé ?

Aujourd’hui encore trop de patients sont victimes d’un complot entre leur médecin et leurs proches et cela mérite d’être dénoncé. Comment se traiter dans ces conditions ?

Thérèse et le Roy Soleil

Mi-juillet, pratiquement six mois avant son départ, nous avions été invités par des amis qui avaient organisé une grande fête pour une promotion militaire de leur fils dans les jardins du château de Versailles. Il faisait un temps magnifique. Nous avons marché des heures et des heures, assisté à la cérémonie devant les grandes fontaines musicales et illuminées, puis nous avons dansé… jusqu’à quatre heures du matin. Thérèse ne semblait ressentir aucune douleur ni fatigue. Elle était rayonnante dans l’une des rares robes du soir qu’elle avait gardé de son séjour au Canada. La veille de la fête, dès notre arrivée, elle m’avait entraîné dans une ronde effrénée dans les grands magasins. C’était bien elle : aller toujours jusqu’au bout de sa force, jusqu’au bout de sa joie.

Quelque temps avant nous avions parcouru de longs et nombreux chemins de randonnée dans les Alpes, sur les pentes du Mont-Blanc, que nous aimions tant. Lorsque je voyais Thérèse descendre dans les alpages avec ses deux bâtons et qu’en même temps, je visualisais les nombreuses métastases osseuses qui étaient toujours en cours de traitement, j’étais toujours surpris !

A posteriori, la qualité de ces instants et sa joie était une raison suffisante pour se battre, et peut-être, pour elle, d’accepter la souffrance. Mais était-elle dupe ? En marge de cette soirée versaillaise elle avait fait une confidence à Catherine, l’une des rares amies qu’elle avait : « Tu sais, je sens mes forces me quitter, je crois que c’est la fin… ».

Cette amie garda le secret.

Thérèse n’avait pas tort ! Grâce aux traitements, à son énergie et sa volonté de vivre, elle eut encore quelques répits. Juste assez pour nous donner l’occasion, six semaines après cette fête de danser un dernier slow sur la plage : la célèbre chanson extraite du film « The Woman in Red » de Stevie Wonder.

Les derniers mois

Peu de temps après, alors que nous nous rendions encore à la plage, elle avait dû s’arrêter dans des toilettes publiques. Elle y était tombée et j’eus beaucoup de mal à l’en extraire. Le lendemain nous somme allés faire une radio et il a bien fallu nous rendre à l’évidence : le bassin était fracturé et de plus d’après leur apparence certaines fractures étaient probablement anciennes. Comment avait-elle pu autant marcher, grimper, danser et rire ?

Quelques jours plus tard, elle a encore voulu m’accompagner en ville afin de choisir un pantalon. Nous avions garé la voiture juste devant. Elle est rentrée dans le magasin, soutenue par une amie et moi-même, appuyée sur ses béquilles. Rien que la mine du vendeur nous a fait peur et donner envie de repartir !

À vrai dire, et comme beaucoup d’accompagnants, je pense que je n’étais pas complètement conscient de son état. Cela avait l’avantage de m’éviter de transmettre une quelconque pensée négative et aussi de me protéger.

Quoi de plus triste que ces apitoiements infantiles au chevet des vieillards et des mourants ?

Bien au-delà

Quand, des années plus tard, il m’est arrivé de douter et de me demander comment un médecin, un nutritionniste ou un soignant n’ayant pas obligatoirement toutes les connaissances techniques ou médicales actualisées pouvait-il aider un patient ?

Alors je pensais Thérèse, à la chance que j’avais eu de la connaître et de vivre avec elle.

Vers la fin de cette dernière nuit. Je me souviens très bien que tout fut interrompu par l’arrivée d’un homme plutôt petit et rond, rondeurs encore renforcées au niveau du visage par des lunettes cerclées.

« Il resta silencieux quelque minutes puis me proposa à nouveau du café.

À cet instant, je compris qu’il cherchait à m’aborder.

Il commence à tourner autour de son bureau car j’étais, en fait, assis dans son fauteuil.

Je suis le Chef de service et il y a des années que j’exerce ici. Je voudrais simplement vous dire que si j’avais été à votre place j’aurais agi comme vous. Lorsque vous avez conduit votre femme, elle était déjà presque sans connaissance. Vous avez tenté de faire ce que votre conscience professionnelle vous dictait. En tant que médecin, vous n’aviez pas la possibilité de ne pas aller jusqu’au bout. Et nous, à partir du moment où votre femme était ici nous devions faire de même, c’est-à-dire la perfuser, la mettre sous respirateur et croyez-moi… elle ne se rendait plus compte de rien et c’est beaucoup mieux comme cela. Vous avez attendu le dernier moment pour nous la mener, et vous avez bien fait ! Si c’était pour ma femme, je ferai examen exactement la même chose… Voulez-vous encore du café ?

C’est cet homme-là qui m’a permis de reprendre un peu de force, mais surtout de ne pas me culpabiliser à tout jamais. »

C’est sur ce dernier point que je voudrais terminer : la culpabilité ! Elle est permanente dans notre société et rampe silencieusement dans de multiples domaines. Mais elle ne sert à rien ou seulement à assoir le pouvoir de celui qui la génère. De même que ne servent à rien ou à si peu les questionnements sur les causes ou les origines de telle ou telle maladie. Qui d’entre nous n’a pas été un jour maltraité ou n’a pas vécu, au sein de sa propre famille, des déchirements ou des violences dont il n’a plus toujours le souvenir conscient ?

De ce côté, Thérèse avait été gâtée, mais était-ce seulement l’origine de son mal ?

L’origine des cancers reste toujours un mystère multifactoriel et c’est pour cette raison qu’il est parfaitement idiot de se moquer de tous les bénéfices que peuvent apporter un changement d’attitude psychologique face à la vie, un changement d’alimentation ou une approche complémentaire.

Le professeur Lucien Israël avait coutume de dire : « Aujourd’hui nous avons ces médicaments, demain d’autres viendront. C’est une raison supplémentaire pour vous battre, et pour nous de vous accompagner. » Quel fantastique message !

Je terminerai avec ces quelques phrases qui achèvent également le récit « Thérèse ou l’amour médecin ».

« Que sais-je exactement de son expérience qui n’eut de sens que pour elle mais dont beaucoup, autour de moi, gardent précieusement le souvenir dans leur cœur.

Bientôt nous n’en connaîtrons que l’amour, l’amour tout simple, son amour de l’autre, l’amour sans peur, sans timidité, sans honte… l’amour sans détour, sans fausse pudeur et parfois même sans concession.

L’amour qui pousse vraiment à la rencontre et qui périme tout sentiment de haine ou tout ressentiment.

Cet amour qui nous permet de supporter, de tolérer et d’espérer.

Et si c’est sur ce chemin que Thérèse m’a conduit ainsi que tous ceux qui l’ont approchée, alors je ne suis plus certain qu’elle ne se soit pas guérie ».

Surveillez bien votre boîte aux lettres,

Dominique Rueff




N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


85 réponses à “Thérèse”

  1. Richard Fays dit :

    Bonjour ; ce n’est pas une lettre, c’est une histoire vraie. Malheureusement, les gens sont conditionnés pour s’en remettre béatement aux décisions de personnes qu’ils considèrent comme des ‘experts’ ; certains le sont, d’autres pas du tout. Chaque individu étant physiquement et psychiquement différent, les solutions industrielles ne peuvent s’avérer efficaces dans chaque cas. Les gens doivent apprendre à se connaître eux-mêmes, et prendre confiance dans leurs ressentis, au point de mettre en doute ou refuser certains traitements.
    Je vous recommande le livre ‘Les Marionnettes du Bon Dieu’ (R Fays, Editions Baudelaire, nov 2016) qui relate cette problématique et met en avant la nécessité d’être vrais envers ceux qu’on aime, leur parler, les aimer car après les regrets ne peuvent plus rien résoudre.
    Slts

  2. LESAGE NADIA dit :

    Je me rappelle de Thérèse qui accueillait les patients au cabinet à Flayosc. Elle était charmante et chaleureuse. Je venais régulièrement à l’époque (1982).
    Et j’en profite pour vous remercier aussi Dr Rueff, car vous êtes à l’origine de toute une transformation de nos habitudes et grâce à vous mon fils a une très bonne santé. Il aura 40 ans cette année.
    Merci encore !

  3. Lia dit :

    Que des larmes versées en lisant cet article!
    Vos mots sont libérateurs. Il n’y a plus la place pour les conflits.
    Dans mon cœur s’est produite une ouverture vers la paix, l’acceptation de l’Autre, le beauté de la Vie. C’est l’amour de Thérèse, votre amour, l’amour tout court qui produit ce miracle.
    Merci pour votre humilité si bénéfique, si douce et forte en même temps.
    Merci

  4. Michèle BRUNTZ dit :

    Un énorme merci pour ce magnifique message,
    Bien respectueusement,
    Une ancienne déléguée médicale qui a pris conscience depuis que les informations circulent…
    Michèle

  5. Marguerite dit :

    Votre article m’a éte droit au coeur. L’émotion m’a envahi. Vous avez transmis du courage.
    Merci.

  6. Goulais Jean-Loup dit :

    Très beau témoignage, et merci de l’avoir partagé.
    C’est la grandeur de la vraie médecine que d’avoir en son sein des hommes ou des femmes qui veulent apporter la guérison quelle que soit la méthode employée, et qui savent sortir du conditionnement habituel dans lequel ils sont enfermés depuis leur formation académique.
    Je n’en n’aurait que plus confiance dans ses articles et ses conseils.

  7. Nadia Wahl dit :

    Votre récit m’a infiniment touchée …
    Merci
    Cet Amour immense, le courage de votre épouse Thérèse et le vôtre , impressionnant et la déculpabilisation, …
    Je garde ces mots au fond de mon coeur

  8. Rorsvort/L dit :

    Bonjour Dr Rueff

    Mon épouse est décédée d’un cancer du sein il y a 18 ans.
    Son histoire de vie est plus ou moins la même que Thérèse.
    Pour ma part je crois que le patient lui même est devenu malade part la vie qu’il a subi.
    Moi même ayant travaillé en bloc opératoire j’ai assisté a toutes les interventions chirurgicales faites sur mon épouse ainsi que les chimios les rayons et bien d’autres nous avons essayé de la sauver.
    Elle est décédée avec des souffrances atroces que vous connaissez.
    Je vous poses la question si on n’avait rien fait uniquement le changement de nourriture un suivi psychologique et toutes les connaissances comme L’EFT ainsi que tant d’autres pour ne pas les citées toutes aurait-elle autemp souffert ?
    Je vous remercie pour votre message.

    Rorsvort.L

  9. Jean-Pierre Bommer dit :

    Merci de cet magnifique message. Thérèse est un être d’amour, et vous aussi. Cette notion d’amour a été longtemps au cœur de mes préoccupations et j’ai progressivement réalisé et expérimenté ses deux aspects majeurs.
    Il y a d’abord l’amour chaleureux, humain, celui que l’on porte à ses proches, qui se nourrit – et qui a besoin pour survivre « both ways » – de celui de l’autre.
    Et il y a l’autre, l’amour divin, celui qui, comme le Soleil, donne sans rien demander en retour. C’est ce dernier qui, à mes yeux, est à l’origine de toute vie, et que nous devons réaliser pour obtenir la pleine liberté spirituelle, qui va de paire avec la réalisation de soi en tant qu’Âme, puis avec la réalisation de Dieu.
    C’est la voie étroite. Elle exige la maîtrise progressive des appétits de l’ego et l’élimination du karma accumulé au cours de ses innombrables existences successives.
    Comment faire? Il y aurait des livres à écrire. Pour ma part, je travaille avec mon maître intérieur et utilise quotidiennement un outil qui est à la disposition de tous: le chant du HU (se prononce you). Découvrez-le sur Youtube sous la rubrique HU-chant.
    Cordiaux messages.

    Jean-Pierre

  10. Mamy dit :

    Merci Docteur pour ce partage et ce beau message plein d’espoirs et d’interrogations.
    Une Mamy de 87 ans.

  11. BITRAN dit :

    MERCI , MERCI DOCTEUR RUEF . VOTRE LETTRE ME RAPPELLE L’AGONIE DE MA FEMME JEANNETTE .TOUT CE QUE VOUS DÎTES JE L’AI RESSENTI . JEANNETTE EST PARTIE EN SEPTEMBRE 2015 , IL NE SE PASSE PAS DE JOUR SANS QUE JE RETROUVE
    SA TRACE UN PEU PARTOUT DANS LA MAISON.
    ET C’EST TRÈS DUR .
    HENRI BITRAN 82 ANS

  12. Eléonore Daems/Visart dit :

    Ma fille de 47 est mangée par les métastases ( vertèbres, os), après un cancer du sein commencé en 2008! Malgré tous les médicaments les cancer progresse et elle doit avoir régulièrement des transfusions sanguines…

  13. Pagès Michel dit :

    Merci pour nous donner du courage, après votre propre expérience.
    Culpabilité.

    mon épouse a la maladie d’Alzheimer .Que faire .

  14. Bannwarth M.France dit :

    Bonjour Dr Rueff,

    J’ai trouvé votre récit très émouvant, poignant…

    Il vous en reste de très belles images…à transmettre !

  15. marcel vallières dit :

    Bonjour,
    Vivant moi même avec une maladie auto-immunitaire,(j’aie été un légumes pendant environs 2 ans 2004/2006) je ne peut que croire en la certitude de votre cheminement humaniste provient de votre expérience VÉCU avec votre épouse,donc pour moi,elle a accomplie sa mission ici bas.

    Votre humanisme vous guidera chaleureusement vers la lumière de toute vie .
    Si vous relisez votre dernier commentaire dans un miroir,ce n’est peut-être pas Thérèse qui est peut-être guérie mais vous.
    Pour moi, vous avez rejoint les dr David-Servan-Schreiher,dr C.Kousmine ainsi que dr Hunter Adams (pas celui du film) ,mais le vraie Patch Adams de Arlington en virginie usa, ainsi que beaucoup d’autre .

    Bonne continuité de vie,la lumière continueras de vous guidé tant et aussi longtemps que vous en voudrais bien.

  16. anita dit :

    bonjour docteur rueff,
    combien l impuissance devant le cancer est injuste…
    en ce moment le professeur Patrizia Paterlini Brechot parle de l analyse de sang ISET QUI PERMET DE DETECTER UN RISQUE DE CANCER.
    la prevention en amont est indispensable , mais actuellement seulement quelques personnes bien informées et ayant la possibilité de le faire , font ces démarches. l avenir curatif de la medecine sera t ‘il :la prevention?

    • olivier Barraillé dit :

      et demandez vous pourquoi L’ISET gène la mafia médicale surtout ces vauriens de cancérologues les médecins les mieux payés du corps médical ?

  17. Ges dit :

    Bonjour Docteur ou Professeur ,je ne sais …

    Chapeau bas à l’homme et communion à l’âme …..
    Le plus difficile ou (affreux) me semble l’Acceptation de
    l’inéluctable , le lâcher-prise total , le détachement de
    « l’inacceptable  » …….tout essayer dans le plus grand
    amour est la plus grande médecine je suppose . Certains
    facteurs ainsi que le destin ne sont pas encore révélés
    au « Soignant  » , naissance ,vie ,et mort sont notre lot ,
    à nous de faire au mieux pendant cette « traversée  » …..
    Fraternellement ,chaleureusement ,merci ………..michel…

  18. Arlette Jean dit :

    Magnifique, merci.
    De tout cela, ne gardons que !’Amour, qui comme vous le dites si bien, périme toute haine et tout ressentiment.
    Quel beau témoignage.
    Arlette.

  19. Monique Darbre dit :

    Merci infiniment pour cette lettre !
    Elle arrive au moment où je regarde avec admiration et tendresse une amie qui vit avec la même force, la même joie, le même courage que Thérèse.
    Et je lis  » Quand Dieu et la Médecine se rencontrent » de neale Donald Walsch et Dr. Brit Cooper. C’est un ouvrage magnifique et votre lettre lui fait écho.

  20. carre dit :

    j ai pleuré en lisant votre article
    c était très touchant

  21. Marylène Javet dit :

    Très touchée… Merci.
    Transformer la souffrance pour en nourrir d’amour son chemin de vie, je crois que c’est le sens à donner à ce que certains appellent « injustice ».

  22. Anne-Marie Lefranc dit :

    Quel beau message ! Merci Docteut RUEFF.
    Je suis envahie par l’émotion.
    En vous écoutant, on ne perd pas espoir, on croit en l’humanisme, en la générosité, en l’amour….
    Bien respectueusement.

  23. Danièle Provost dit :

    Merci Dr Rueff,

    Votre message ce matin me touche profondément.
    Tout autour de moi il y a tant d’amies malades et c’est difficile de trouver les mots, les attitudes à adopter pour les aider du meilleur de nous même.
    Merci pour votre ouverture sur d’autres approches
    pour la guérison.
    Votre témoignages pour Thérèse me touche énormément.
    merci

  24. annick béglia papon dit :

    tout comme la célèbre lettre du Général Bonaparte à écrit à Joséphine qu’il a épousé trois semaine plus tôt partant pour la campagne d’Italie Nice 31mars 1796
    je n’ai pas passer un jour sans t’aimer,sans te serrer dans mes bras, je n’ai pas pris une tasse de thé sans maudire la gloire et l’ambition qui me tienent éloigné de l’âme de ma vie …mon adorable Joséphine est seule dans mon coeur,occupe mon esprit,absorbe ma pensée …ext cette lettre qu’il faut lire témoigne du grand Amour et le respect de cette homme pour Joséphine ni les titres ni la réussite personnelle ne peut acheter c’est vraiment un privilège aussi à notre époque de vivre cela une si grande tendresse tout comme votre lettre pour Thérèse.Ceci me fait penser à Victor HUGO « simple billet à Juliette »1er janvier 1857 ,cette lettre n’est pas une lettre; ce n’est pas qu’un mot,mais ce mot tout court qu’il est …renferme un baiser long comme la vie et un amour long comme l’éternité ,Ces délicieuses lettres faites à des femmes
    Thérèse Joséphine Juliette et bien d’autres nous rassure quant à la nature humaine de l’homme le vrai je dois le dire simplement soyez fort relever bien haut la tête en pensant à « elles »merci encore merci

  25. Marie-Pierre dit :

    Merci.

  26. EXPEELS MICHELE dit :

    Bonjour Docteur,
    Je n’ai pas connu votre épouse, mais il n’y a malheureusement pas que le cancer qui est à l’ordre du jour aujourd’hui. Mon mari est décédé en novembre 2016 des suites de la maladie de Parkinson et d’Alzheimer (Corps de Lewy). C’était un homme en pleine santé jusqu’à ses 80 ans et pendant 4 années il a dépérit devant mes yeux et mes larmes que je ne pouvais pas lui laisser paraître. Il fallait le soutenir physiquement et moralement. Lui ne savait pas ce qui lui arrivait ou il ne voulait pas le savoir ce qui est aussi bien j’étais là pour m’inquiéter pour deux et c’est ainsi qu’il a pu terminer sa vie assez librement sans trop de soucis. Sauf que la maladie lui a enlevé la seule chose qu’il aimait encore faire bien manger. La maladie de Parkinson a bloqué sa déglutition et il a finit par avoir un drain gastrique et de la bouillie pour bébé ce qui lui a donné une pneumonie. Il avait un coeur et une tension que peu de gens ont actuellement, mais sa pneumonie a mis à mal son coeur et il s’en est allé après des souffrances assez longues pour lui, mais un temps trop court pour moi. Les médecins ont été tous à la hauteur des problèmes et je les en ai remerciés, mais la vie s’est échappée petit à petit. Il est bien certain que lorsque les médecins m’ont dit qu’il lui restait à peine une semaine, c’était un coup dur à encaisser, mais pour lui je pense que cette semaine a encore été très douloureuse. Je l’ai passée avec lui jour et nuit mais rien n’a pu y faire, il m’a quitté au lendemain de son 84 anniversaire. C’est douloureux, mais lui il a fini de souffrir, et c’est cela qui compte le plus lorsque quelqu’un se bat pour rester en vie et que ses forces lui échappent, le mieux est de le laisser partir malgré tout ce que cela demande.
    Chaque départ est particulier et personne ne peut ressentir le chagrin de l’autre, mais il peut y contribuer.
    Merci de m’avoir laisser m’exprimer, j’espère que cela ne choquera personne, mais la famille proche ne comprend pas toujours ce qui se passe chez chacun de nous.
    Bien à vous et courage pour les personnes qui devront encore passer par ce stade, que chacun aide l’autre et n’ai aucun regrets, mais on en a toujours quelques uns et on se dit qu’on aurait pu toujours mieux faire, même si au fond de soi on pense que l’on a tout fait. Je voulais vous dire aussi que j’avais écrit une logue lettre à mon mari et la lui avait lue sur son lit d’hôpital je ne sais pas si il m’a entendu mais je peux encore relire cette lettre et cela me fait du bien de lui avoir dit tout mon amour et toute ma joie de l’avoir connu.
    Cordialement, une lectrice de Belgique.
    M.EXPEELS

  27. EVESQUE j dit :

    Que de souffrance ,que d’amour dans ce témoignage ..
    Je vous salue cordialement

  28. Evelyne dit :

    Merci pour ce texte bien émouvant. Je comprends l’attitude de Thérèse. Cette soif de vivre et en même temps d’être à l’écoute des autres. Je le comprends d’autant mieux que je me bats depuis 5 ans contre un cancer du colon avec plusieurs récidives. Cette maladie me permet de savourer chaque jour le moment présent. J’ai vraiment pris conscience avec elle de toutes les petites choses qui apportent beaucoup de bonheur. J’ai pris aussi conscience de la sincérité des autres ce qui m’a permis de me rapprocher des personnes que l’on aime. Même si je respecte le protocole médical. Je fais aussi tout pour vaincre la maladie. Pour m’y aider je fais de la sophrologie. Lorsque j’avais le foie engorgé par les chimiothérapies j’ai décidé au début de prendre des plantes que m’avait conseillé le médecin homéopathe qui me suis en parallèle ainsi que l’osthéopathe qui est intervenu ponctuellement. Je fais aussi régulièrement des cures de propolis et de probiotiques. Et je dois dire que grâce à ces médecines je suis en forme et sereine même si l’oncologue ne crois pas du tout à ces bienfaits. Bien à vous et merci pour tous les bons conseils que vous nous donnez.

  29. anita dit :

    bonsoir docteur Rueff
    j ai relu votre lettre .vous parlez de Therese , cette lettre est poignante et elle fait echo en moi par bien des aspects.
    quand vous dites :que comme beaucoup d accompagnants nous ne sommes pas complétement conscient de l état ,cela donne l’ avantage d ‘ eviter de transmettre une quelconque pensée négative et aussi se protéger…
    pour moi c’ est un déni car chaque jour qui passe nous voulons les vivre ensemble. meme si nous avons connaissance de la gravité , nous rejetons le pire
    et je suis sure que la personne touchée aussi.

    toutes les personnes confrontées sont en lutte au départ car elles veulent sortir de l impasse ensuite selon l évolution elles font un constat intérieur qu elles expriment comme vous le dites si bien.
    il ne passe pas un jour ou tous ces derniers souvenirs passés soient dans mes pensées, comme vous .
    cet exemple de vie est la plus belle des transmissions. pour nous et tous nos proches.

    mais au plus profond c est un déni, et un refus d accepter.

  30. ùjullien Monique dit :

    Merci pour cette lettre magnifique qui ouvre des portes et
    donne raison à ceux qui osent voir les choses autrement

  31. bolot marie-hélène dit :

    Témoignages plein d’humanité et d’humilité.
    Merci

  32. olivier Barraillé dit :

    Les cancéreux ont des métastases osseuses parce que les traitements chimiothérapiques sont bidons et alors c’est fracture sur fracture : dites vous bien que si votre femme avait des métastases osseuses c’est parce qu’elle ne  » répondait  » pas à ce traitement d’opérette que l’on apelle la chimio .Moi en tant que naturopathe je conseille aux aidants de vérifier les marqueurs tumoraux ( ce que peu d’aidant font ) : ces canailles d’oncologues peuvent prescrire de la chimio pendant 5 ans pour rien sauf de remplir leurs poches : ils assisteront à la déchéance sans jamais tenter une autre voie que la chimio radiothérapie à l’inefficacité légendaire : les statistiques qui proclament la chimio efficace sont biaisées à cause des surdiagnostics : beaucoup de cancéreux guérissent grâce à la chimio parce qu’ils n’avaient pas de cancer …
    Si un Naturopathe faisait cela il se retrouverait au pénal .
    L’oncologue Gerd Nagel de l’hopital de Zurich quand il a eu sa leucémie a lui même refusé la chimio …
    D’autres questions ?

    Olivier Barraillé
    Naturopathe Iridologue

    • amel dit :

      chacun fait ce qu il peut pour se battre contre la maladie.
      en france on a choisi big pharma le tout big pharma
      il faudrait des états généraux citoyens pour guider la politique de santé et ne pas la laisser aux seules mains des financiers et des multinationales avec lesquels nos pontes hospitalo universitaires ont PARFOIS des conflits d intérêts
      mais certains médecins sont sincères dans leur pratique et appliquent ce que la FACULTE préconise.
      évitons d être trop tranché et agressif dans nos prise de position cela ne nous sert en aucun cas
      très cordialement

  33. robert josette dit :

    merci d’avoir partager cette partie de votre vie avec nous,l’amour que vous aviez et que vous avez toujours pour therese est tout simplement magnifique et tellement sincere,cela me touche beaucoup.merci pour votre amitie et pour vos courriers.
    bon courage.
    josette

  34. Michèle dit :

    Merci pour cette très jolie lettre. J’aimerai bien rencontrer un médecin tel que vous….rentrée depuis 7 mois en France. Je n’ai toujours pas de médecin référent. Comment le choisir??? Il m’en faut un, c’est obligatoire mais je ne me vois pas prendre le premier venu et de plus je vais chez le médecin quand je suis malade pas quand je vais bien donc je suis bien embêter avec cette stupide obligation….
    Merci pour vos lettres, merci pour vos conseils pertinents, et merci pour votre ouverture d’esprit.

  35. Bousta Francette dit :

    Votre témoignage m’a émue aux larmes

  36. MARGERIT M arie-Thérèse dit :

    merci pour votre témoignage que la force du vécu rend tellement vrai et poignant ….mais ce qui illumine tous vos mots , c’est l’ AMOUR partagé, au-delà du réel … je crois que la vie , malgré le grand malheur qui a brisé Thérèse, vous a fait un immense et merveilleux cadeau que ,maintenant ,vous redonnez à vos lecteurs ….

  37. Naja dit :

    Cela fait maintenant plusieurs mois que je reçois vos « Lettres » et que je les lis avec attention et plaisir. Aujourd’hui, après cette lettre magnifique, j’ai simplement envie de vous dire merci. MERCI !

  38. Franceschi dit :

    Merci Dr Rueff Je suis bouleversée.

  39. Roussard Jeonghee dit :

    Cher Docteur,
    C’est une des plus belles histoires d’amour du domaine en médecine! Si tous les médecins suivent leurs patients avec votre approche si humaine on pourrait voir réduire et guérir le nombre de cancer qui est en augmentation constante… J’aimerais vous rencontrer à l’occasion de votre passage à Paris! Et Merci!
    Avec mes plus sincères gratitudes!

  40. Véro dit :

    Bonjour, votre article m’a fait pleurer de désespoir, j’ai un cancer depuis 3.5 ans. Il est en rémission complète. En parallèle de la chimio je me suis appuyée sur les écrits de C Kousmine avec l’aide d’un médecin et sur les écrits de D Servan Schreiber : modification profonde de l’alimentation (la plus végétale possible et vivante, graines entières, produits frais…), quelques compléments alimentaires, diminution du stress ( yoga, changement d’attitude par rapport à la vie, apprécier ce que j’ai, mon fils, mon mari, le soleil, le Rhône, la santé (eh oui, en dehors du cancer tout va bien), lecture…), le sport (aujourd’hui je suis blessée donc repos forcé), mais lorsque je lis votre récit il me semble que le cancer est strictement invincible. Dans mes lectures il y a eu le livre de D Belpomme qui est très pessimiste. David Servan Schreiber a vécu 20 ans après le 1er diagnostic de son cancer du cerveau mais il est mort à 50 ans même si pour son type de cancer ses changements de vie ont largement amélioré son terrain et renforcé ses défenses contre son cancer celui ci a gagné. Guy Corneau vient de décéder à 65 ans d’une cardiopathie, je ne sais pas si elle est un effet secondaire du traitement de son lymphome mais peut être puisque dans le RCHOP l’un des médicaments est nocif pour le cœur. Guy Corneau aussi avait une alimentation parfaite ( moins pendant sa chimio) et comme psychanalyste était très à l’écoute des symptômes des rêves et très ouvert à différentes approches toute bénéfiques dans le sens où elles permettent au malade de « s’auto soigner » par des mécanismes que l’on peut pas (encore?) décrire.
    J’écris pour ne pas garder tout cela.
    Bien cordialement

  41. giorgos syropoulos dit :

    Therese ou l amour medecin:
    Je suis l epouse de Giorgos Syropoulos.J ai lu tres attentivement le recit du chemin initiatique de votre epouse.Afin d en retirer des clefs,je l ai relu plusieurs fois.
    Il est trop tot pour vous reveler mon grand interet pour le cancer.Je suis auto- didacte.Guidee par une idee laquelle s est developee,avec une preuve scientifique a l appui,j ai evolué dans la sphere du cancer- esprit.
    La reponse de votre epouse a ce cancer est la meilleure!l expression de la vie envers et contre tout!De plus ,votre lumineuse vie de couple a ete un rayonnement pour vous deux.Le psychisme de votre epouse a enregistre une repression: « On l a empechee de lire ».
    Elle s est vue confrontee a son pere a l interieur d elle- meme
    Cet amour ,le sien et le votre,c est le triomphe de la tenacite :La vie par dessus tout.Merci pour ce message !

  42. Carole Fradette, Montréal, Canada dit :

    Votre lettre m’a touchée au coeur, car j’ai perdu beaucoup de personnes que j’aimais à cause du cancer . J’ai été moi-même aidante naturelle pour mon mari qui lui souffrait d’Alzheimer et qui est décédé il y a quelques années.

    Merci pour ce beau message d’espoir.

  43. WJC dit :

    Merci pour ce magnifique article. Je suis médecin, la lutte contre le cancer était également mon quotidien. La façon magistrale avec laquelle Thérèse et vous avez organisé votre vie et les traitements très lourds me remplit d’admiration. Je pense comme vous qu’il ne faut négliger aucune méthode thérapeutique, à condition d’utiliser aussi les traitements de base dont l’efficacité est reconnue. Enfin, je suis touché par le message d’ amour et d’espoir qui éclate dans tout votre article! Merci encore, également pour la valeur de vos ‘lettres’. Bien confraternellement.

  44. YVETTE HEBERT dit :

    Merci Docteur pour ce beau message . Une chose m’étonne cependant : aujourd’hui des médecins comme le Dr LEVY , son collègue américain et le médecin Japonais, tous les 3 présents au congrès de la médecine naturelle à Paris ont partagé leurs expériences et réussites sur le cancer (entre autre ) avec la vitamine C forte dose . Impossible ici d’avoir la forme intraveineuse, mais il y a maintenant la forme LIPOSOMAL ! Moi aussi je rentre du Canada où j’ai de la famille et j’en ai rapporté (mais on peut l’avoir ici aussi ) mais vous n’en faite aucune mention … pourquoi ??? C’est pourtant plein d’espoir !merci et bien à vous .

  45. Borenstein katia dit :

    Merci pour cette lettre pleine d’amour et aussi pour les parole du docteur Israel, qui englobe toute « les »médecines en mettant bien l’etre Humain au centre !
    Si cette parole pouvait être enseignée dans les facultés ce serait bénéfique pour tout le monde. MERCI

  46. Harbaugh dit :

    Je me joins aux autres lecteurs pour exprimer ma gratitude pour votre témoignage. Votre histoire m’a beaucoup touché. Un grand Merci!
    Monica

  47. amel dit :

    que dire ?
    merci de votre sincérité ,merci pour votre force.
    supporter l absence de l être cher c est vraiment dur …

  48. MAIREY Sylvie dit :

    Merci infiniment pour tous ces messages magnifiques lus avec beaucoup d’émotion!
    Ma meilleure amie vient de s’envoler pour le « paradis blanc » après deux années à se battre contre un cancer colorectal.
    Elle me manque terriblement mais je suis soulagée de la savoir libérée après tant de souffrances physiques et morales.
     » l’essentiel est invisible pour les yeux, on ne voit bien qu’avec le coeur  » disait le petit Prince…
    Merci encore à vous tous pour ces témoignages criant de vérité, plein d’amour et de compassion.

  49. Sylvain dit :

    CA c’est un message !

  50. Valérie dit :

    Merci pour ce témoignage si touchant….
    Beaucoup d’émotions….
    Merci

  51. Poulain dit :

    Merci

  52. Sébastien de Brouwer dit :

    Merci beaucoup pour votre témoignage qui me rappelle ce que j’ai vécu avec ma femme Geneviève. En juillet 2009, elle se plaignait de fatigue et de douleurs au dos : diagnostic d’arthrose et d’une légère anémie. A ce moment ma femme me dit qu’elle préfère rester au lit au moins pour la matinée et je lui réponds : non ! Il faut t’habiller car je suis très inquiet au point de vouloir partir aux urgences immédiatement. Bien m’en a pris car il ne restait plus que quelques heures pour sauver les reins. Quelques jours après, le diagnostic est tombé : myélome multiple des os au stade 3. La situation était d’emblée gravissime même si dans un premier temps, j’ai eu l’impression qu’elle allait s’en tirer. Ma femme a suivi scrupuleusement la thérapie classique à laquelle a été ajoutée l’acupuncture . J’ai aujourd’hui la conviction que cette dernière thérapie lui a permis de vivre plus harmonieusement les derniers temps de sa vie. Elle a tenu le coup jusqu’en octobre 2010 : le lundi de son avant-dernière semaine, elle a encore reçu des soins en hôpital de jour mais le vendredi, elle n’a pu se déplacer et j’ai vu son cancérologue ce jour là qui m’a dit que c’était la fin mais qu’il pouvait encore la booster pour 2-3 jours, le temps pour elle de voir toute sa famille dont certains sont venus de très loin de France. Le mardi, elle perdait conscience et le lendemain elle était décédée à midi. Pour moi, il n’est pas douteux que la médecine classique était indispensable mais je pense que les thérapies alternatives (homéopathie et surtout médecine chinoise) ont été d’une grande aide car elle donnait déjà à la malade, le sentiment de pouvoir agir pour améliorer la situation plutôt que de subir passivement son sort.

  53. XAVIER dit :

    Tout simplement MERCI .

  54. gérard Deyber dit :

    merci de votre permission à vous répondre et merci pour votre souci des personnes , ce profond respect guide vers l’amour de la sagesse et de tout les fruits qu’elle renferme .

  55. Ghesquier dit :

    Chapeau bas très cher Dominique Rueff ,Chère âme ***** , Votre dernière phrase retentit comme REVELATION ;
    «  » »Et si c’est sur ce chemin que Thérèse m’a conduit ainsi que tous ceux qui l’ont approchée, alors je ne suis plus certain qu’elle ne se soit pas guérie ». «  » » » (notre guérison à tous
    sommeille dans notre acceptation totale d’une évidence , et
    un «  » » Lâcher-prise «  » » miraculeux à tout l’inéluctable , certains aiment l’orage , d’autres en ont peur …………
    Votre prénom inversé peut donner ; «  » »Qui Domine «  » » , votre nom ; «  » » Féru «  » » , quant à Thérèse ; Éther ou Éthérée ou Esther (étoile) !!!!!!
    Le Sieur Burensteinas « décortiqueur de l’inconnu » nous en
    dirait plus ….. merci d’exister et de le prouver , le mot
    AMOUR vous sied à merveille ……… michel ,humblement …..

  56. guerlin simone dit :

    merci pour votre témoignage si vrai ,sincère simple qui touche le coeur en s’interdisant toute forme de grandiloquence, qui ne montre que des preuves d’amour

  57. alessandro pendesini dit :

    Dr.Rueff :
    Pourrais-je vous demander si Thérèse, votre épouse, avait quelque chose en commun avec une certaine Teresa de Calcutta, considérée officiellement (mais injustement, à mon avis) sainte par l’Eglise catholique ?
    Merci pour votre réponse.
    AP

  58. Cabrera dit :

    Magnifique lettre d amour et une grande leçon de vie d humilité.
    Un immence merci pour toutes vos lettres qui sont fort instructives.

  59. Nouchkasuq dit :

    Votre témoignage est bouleversant et une grande source de profondes réflexions sur les traitements des maladies graves. Je vous en remercie infiniment.
    Pour ma part, je pense qu’il faut associer à la médecine officielle TOUT ce qui peut aider physiquement et moralement. Lisez le livre  » Espoir et Victoire » du docteur Marie CREDOZ , gynécologue, atteinte d’un grave cancer du sein, édition DU NET. Elle a associé les nutriments, le yoga, l’accompagnement par une psychologue, un coupeur de feu après ses séances de RX… et l’amour de ses proches.

  60. Danielle H dit :

    Beau témoignage d’Amour et de Réflexions…
    Merci.
    Je suis une sauvée du Cancer, d’un lymphome pour lequel on m’avait avertie : vous avez 30 à 40 % de chances de vous en sortir… Ce que j’avais immédiatement traduit par vous avez 60 à 70 % de
    « chances » de ne PAS vous en sortir…
    Je n’avais personne autour de moi pour me soutenir si ce n’est un ami… Deux de mes enfants étant loin (USA) ou trop jeune mentalement pour ma dernière Fille en pleine adolescence, j’étais en plein divorce : mon mari était parti pour l’une de mes « meilleures » amies…
    Les traitements de chimiothérapie étaient lourds,
    j’étais devenue chauve -je portais de longs cheveux blonds- je me sentais misérable …
    Mais je suis allée voir un magnétiseur honnête -qui m’a dit : « Je ne pourrai pas vous guérir, mais je peux soulager vos haut-le-cœur » Je n’y croyais pas, mais ca a marché ! J’ai regretté de n’y être pas allée
    AVANT !
    Puis ma nièce m’a parlé de quelqu’un en Bretagne près de chez elle, qui était accepté dans un grand hôpital et qui guérissait des cancers ! C’était loin de Paris mais pourquoi pas… C’était un Homme trés croyant. J’y suis allée 3 fois.
    Ensuite ma Fille aînée, scientifique aux USA m’a fait envoyer un traitement de BELJANSKY… Chercheur non reconnu en France mais qui l’a été avec honneur là-bas…
    C’étaient des pillules avec des composants naturels
    que j’ai pris, faisant confiance au jugement de ma Fille -qui est venue après, un mois à la maison-.
    Ce traitement n’interférait pas avec les chimios et je me suis dit qu’au point où j’en étais, ca ne pouvait pas être pire… A l’hôpital, ils ont voulu me faire un traitement encore pire -une greffe de moelle !-
    que j’ai refusée voulant aller au mariage de mon Fils 3 mois plus tard : ce que j’ai fait avec bonheur !
    Et VOILÀ, cela fait 11 ans que je suis « guérie »…
    Et déclarée comme telle…
    Qu’est-ce qui a « marché » ? Je ne peux rien affirmer si ce n’est le résultat… Toutefois je pense que TOUT a contribué et ne peux être que d’accord avec le
    Dr Rueff : la Médecine actuelle ne peut pas tout et surtout NE SAIT PAS TOUT !
    Certains magnétiseurs -rares il est vrai- font des miracles (comme également les barreurs de feu) et des traitements parallèles sont au moins, à étudier et à … Considérer !
    Je voudrais aussi parler du fait que d’après mes investigations, certes limitées, les 3/4 des cancers sont consécutifs à un choc émotionnel grave… Je m’interroge sur le fait qu’on en parle fort peu et que peu d’études aient été faites sur le sujet ?

  61. mahri dyana dit :

    Votre lettre qui appelle l’admiration, est merveilleuse à l’image de cette splendide femme qu’était votre épouse, Quelle belle photo.!

  62. espoir dit :

    Merci. Merci. Merci.

  63. Mamymouette dit :

    J’ai relu ce témoignage d’amour avec toujours autant d’émotion ! Cela donne aussi à réfléchir sur le sens de la vie.
    Merci de rappeler que la médecine « scientifique » n’est pas tout. Un personne proche a suivi un traitement avec les produits du Pr Belgansky et a pu continuer « sa route » quelques années de plus et sans trop de problèmes … malgré un pronostic très négatif.
    Amicalement d’une lectrice.

  64. DARNON SIMONE dit :

    Merci,Docteur Rueff pour cette magnifique lettre.Elle nous va droit au coeur,et nous révèle la profondeur,l’unité de l’Etre humain dans la souffrance.Toute la condition de l’homme est là et nos combats sont toute notre noblesse.Qui sommes-nous ;quel est le sens de la vie.Questions éternelles .Et votre lettre nous amène de l’espérance.Merci de tout mon coeur

  65. foveau marie josé dit :

    toute mon admiration pour cette lettre qui est pleine de tendresse et de souffrance et qui donne une belle interprétation de votre vécu plein de tendresse, d’amour mais aussi de souffrance.
    Courage .

  66. abèle dit :

    cher Ami Médecin ,

    j’ai pleuré …..elle a vécu dans la dignité et elle est partie dans la dignité. , à vos côtés .
    je fais partie de l’Association Mourir dans la Dignité parce que nous sommes tous différents ,de réactions différentes, et nous n’avons pas tous le bonheur d’un compagnon comme vous,docteur. Nos croyances modifient notre perception.Soulager et respecter ceux qui veulent aller jusqu’au bout. j’ai vécu dignement et partir dignement est mon souhait. merci

  67. michel meysonnat dit :

    J’ai malheureusement connu la même histoire (si l’on peut dire) en 2007.
    1) Ce qui est trés pénible/angoissant, c’est de lire dans ses yeux toute la détresse que la personne peut ressentir.
    Quand on vous dit: Quel mal aie-je pu faire pour mériter cela?
    Et le stade final: Lorsque le chef de service de l’hopital vous appelle et vous demande ce qu’il doit faire: Continuer ou débrancher les appareils CAR CELA NE SERT PLUS A RIEN!!
    Tout était envahie: Opérée cancer du Sein le 13 Avril 2007 et décés 26 Juin de la même année. TRES BREF

  68. gauthier dit :

    A Solon, philosophe présocratique, auquel fut dit… « comme tu as bien vécu… » de répondre:  » attendons de voir comment je mourrai », laisse à penser qu’une (sinon la première) des sciences à maîtriser serait d’apprendre à mourir, bien des formes de tourments nous seraient évitées – car au moment d’aborder ce qu’on appelle la ‘dernière ligne droite’ il ne sera plus question de vouloir échapper à sa fin, mais d’aménager le temps qu’il faudra aménager les siens prémices – … entre deux douleurs choisissons la moindre… en tous points il faut aménager le climat de fond: dans une paix relative, sachant que l’on va passer, dompter dans le temps et l’espace les ultimes incommodités. Toutes les sciences ne sont que des distractions de passage, seule notre condition est porteuse des vraies questions… de quoi installer le dit aménagement – non sans avoir des comportements qui lui sont par nature synchrones… en dire plus, mon bon monsieur, est une autre Histoire – louis-marc claude.

  69. Violette Daguerre dit :

    Dr Rueff chapeau bas
    Quel beau témoignage, quelle belle humilité!
    Ce récit poignant me va droit au coeur, croyez-le! C’est bouleversant. Je suis pourtant assidue à vos lettres, mais cette fois-ci, j’ai découvert non seulement l’homme de charme et de savoir, mais l’humain qui se donne et illumine nos chemins avec assiduité, amour et abnégation.
    Thérèse doit reposer en paix en vous voyant continuer pour deux le chemin parcouru à vos côtés. C’est le rayon de soleil qui brillera toujours et éclairera notre chemin à nous tous. Avec tout mon respect

  70. Dave dit :

    Merci 🙂 et prions pour le soleil arrive 🙂

  71. LEMONNIER chantal dit :

    message plein d’humilité ,d’amour et d’émotion
    à relire encore et encore tant il y a à puiser dans la douceur des mots
    merci à vous
    Chantal

  72. Joseph Meurer dit :

    Bonjour cher Docteur Rueff,
    Je vous suis par sympathie à votre égard et salue la dame avec laqelle vous avez vécu et souffert. ça a été une grâce qui vous a permis de vivre au-delà de toutes années. J’ai vécu à peu près la même chose, dans la reconnaissance. Et cela, malgré la souffrance. Portez-vous le mieux possible. Merci pour le partage.

  73. LARRIVAZ Michelle dit :

    Belle et tragique histoire d’amour, Thérèse va bientôt revenir car nous vivons l’époque de l’intervention de Dieu dans les affaires des hommes afin de rétablir le paradis sur terre et procéder à la résurrection tant des justes que des injustes (actes 24:15) et ou la mort ne sera plus (Re.21:4). Pour plus de précision consulter JW.org.
    Merci pour ce beau témoignage.

  74. MAUGER ANDREE dit :

    quel beau témoignage d’amour dans la souffrance ;;;comme c’est beau de s’aimer ainsi !!!!

    je vis la meme chose avec mon mari atteint d’1 cancer au poumon et l’autre au pancréas;;;; je prends des idées en tant qu’aidant car c’est 1 rôle extrêmement difficile meme dans l’amour d’1 accompagnement de vie commune de 54′ ans ;;;merci 1000 fois mais ne continuez pas à m’envoyer vos lettres ;;;je n’ai plus le temps ni le moral pour les lire
    j’ai été heureuse de vous découvrir ….merci profondément

  75. Maria Mmehang dit :

    Je ne comprend pas : aucun mot du coté religion ou croyance dans l’Au-delà ! La perspective du néant après la mort quelle force, quel amour quel sourire peut-il apporter pour quelqu’un en fin de vie ? Sur tout qu’on ne meurt pas ! Expérimenter la sortie du corps en mode volontaire est l’unique manière de prouver qu’on ne meurt pas ! Il faudrait le faire au moins une fois dans la vie cette expérience effrayante mais extraordinaire qui change notre vie complétement ! Comme les font les NDE, évidemment !

  76. Yasmine dit :

    Merci, Docteur Rueff, pour ce témoignage si profond et bouleversant.

  77. fradet dit :

    Ce témoignage touchant est plein d’humanité, de sentiments dévoilés et d’authenticité. Le moment présent, vécu en conscience permet de profiter lorsqu’on est malade de l’amour de ses proches dans un climat apaisé
    . Il est une aide précieuse pour traverser ces moments de doutes et de souffrances.
    Merci pour ce merveilleux hommage dédié à cette femme courageuse.

  78. vondousting dit :

    Bonsoir,

    J’ai été très touché par ce texte qui m’a rappelé de bien douloureux souvenirs personnels et je reconnais en vos mots les souffrances traversées lors de ces épreuves.

    En ce qui me concerne, à deux reprises au moins j’ai été confronté à un mépris médical alors que mon père souffrait d’un cancer dans un hôpital et où les mots indignes qui ont été prononcés par deux « médecins » restent gravés dans ma mémoire. Que dire aussi du « médecin » contrôleur de ma sœur atteinte d’un cancer qui devait l’emporter trois mois plus tard et qui a refusé de lui signer un papier pour son Administration (Education Nationale) alors que ma sœur avait même du mal à simplement tenir debout… Lorsque l’on rencontre de tels personnages, on n’a plus qu’une envie : fuir à tout jamais le milieu médical… Alors, effectivement on peut se tourner vers des médecines dites parallèles, voire franchement perpendiculaires… Ce fut mon cas le jour où pour mon cher père je cherchais sur le Net des renseignements sur le s traitements initiés par le docteur Beljanski. A peine eus-je posé ma question que j’ai reçu une mise en garde comme si je m’apprêtais à commettre un acte terroriste… J’avais simplement posé la question sur un forum, sans doute sous « bienveillante » surveillance… Je me suis demandé si François Mitterrand avait eu droit aux mêmes suspicions alors que le nom de Beljanski avait été évoqué dans certains articles sur le Chef de l’Etat…
    Hors le sacrosaint parcours médical classique (chimie, chimio et radiothérapies, chirurgie), point de salut… Sont considérés comme sectaires tous ceux qui prennent un autre chemin, qui proposent ou essaient de proposer autre chose et où les pauvres patients, souvent complètement perdus lorsque leur santé ou celle d’un proche est plus que gravement menacée, sont vus comme des ignares, des illuminés alors qu’ils ne sont qu’en souffrance…
    Certes, il est toujours hélas possible de tomber sur des charlatans, des profiteurs de la détresse humaine comme il en existe partout malheureusement mais vouloir guérir un proche est-il condamnable même si cela passe par des pratiques, des méthodes qui n’ont pas l’agrément du tandem Sécurité Sociale, Ordre des Médecins. Et puis, il faut bien reconnaître une chose , qu’on le veuille ou non notre santé intéresse en tous points la Déesse Economie, alors, elle est forcément suivie de près par tous ceux qui peuvent en tirer profit et ce, partout… Oui, notre santé intéresse donc un peu tout le monde, les meilleurs comme les pires. Il y a partout des gens avec plus ou moins de morale et plus ou moins de compétences quelles que soient les pratiques médicales ou pharmaceutiques, celles qui ont pignon sur rue et les autres… Il faut le savoir.
    Cela me semble-t-il rend bien difficile toute objectivité en matière de la qualité des soins que nous attendons, médecine conventionnelle ou non…

  79. Brijit dit :

    Merci Richard Fays dit :. Bisous

  80. Borago dit :

    Que dire après ce témoignage émouvant ?
    Merci, Docteur.
    J’ai choisi la même voie que Thérèse.

  81. MANGEART Christiane dit :

    Message personnel pour le Docteur RUEFF. Merci.
    Lettre adressée au Docteur RUEFF,

    Cher Docteur,

    Je prends connaissance de votre lettre aujourd’hui, qui m’a touchée profondément.
    J’ai eu moi même un cancer du sein il y a quelques années et mon « instinct de survie » comme un animal m’a fait trouver une plante qui m’a soignée et guérie. J’ai fait confiance à mes sens qui m’ont guidée vers elle. L’instinctothérpie que j’avais pratiquée quelques années auparavant, avait éveillée mes sens et guidée vers cette plante. Il s’agit du buis. Cette plante est là, à la portée de tous, elle qui pousse encore près des églises et des vieux chateaux dont les chateaux catharres et j’ai compris pourquoi. Je suppose que lors des épidémies de peste et de choléra, au moyen âge et sans doute bien avant, elle était là pour soigner les personnes, et éloigner les épidémies.
    J’ai fait un texte il y a quelques années en parlant des « plantes sacrées » et du temps des druides, elle était vénérée ( ça c’est moi qui le dit..il serait intéressant de le vérifier)
    Je pourrai parler de mon expérience.. du pourquoi de ce cancer qui s’est déclaré après que j’ais compris et résolu une situation qui m’étais difficile..

    Je reste à votre disposition pour en parler si mon expérience peut aussi servir à d’autres, mais je pense que ce chemin qui a été le mien, comme pour chacun est un chemin très personnel.

    Je voulais tout d’abord vous écrire, avant d’avoir lu le récit de Thérèse, au sujet de l’article que vous avez partagé sur les 5 Mouvements Tibétains et qui m’a interpellée.
    J’ai trouvé super que vous fassiez connaître à un plus grand nombre ces mouvements efficaces et merveilleux. Je les pratique depuis que j’ai lu, il y a quelques années le livre « Secrets Tibétains de Jeunesse et de Vitalité » « Comment garder et retrouver sa forme, écrit par Peter Kelder et diffusé par les Editions Soleil en 1969.
    J’ai pratiqué moi même ces mouvementes avant des les enseigner, d’abord à mes enfants puis par la suite à mes élèves.(j’enseigne le yoga depuis 1968).
    Ce matin, après avoir lu votre article, j’ai remis mon tapis de yoga et les ai repris, je les avais un peu délaissés ces derniers temps. .. Merci à vous.

    Beaucoup ont repris sur internet la diffusion des ces mouvements, mais je pense qu’il est important de revenir à l’original enseigné par Peter Kelder.. J’avais même fait des recherches pour rencontrer cet homme, mais sans succès. Je tenais à retrouver l’enseignement original qu’il avait découvert lui même à l’époque..

    Ce que je peux dire, avec expérience personnelle de plusieurs années, c’est qu’ils sont effectivement merveilleux. et tout le monde me dis que je rajeunis d’année en années..J’y ajoute dans ma pratique personnelle un dernier mouvement consistant à exécuter les « bandha » (contractions des organes internes qui stimulent tous les facias et les différents disphragames (plancher pelvien, diaphragme central, disaphrageme pharingien et par le biais des fascia les glandes internes du cerveau, avec incidences physiologiques , énergétiques et spirituelle)..

    Merci à vous, au plaisir de vous rencontrer si cela est dans l’odre des choses,
    Avec toute ma reconnaissance et ma sympathie,
    Merci pour votre site. Je vais le regarder plus attentivement. Je le découvre à peine.
    Voici le mien : http :www.chris-mangeart.fr
    Christiane Mangeart
    Flon – 74500 – Féternes (Evian)

  82. CHANTAL RAJIC dit :

    Merci pour ce partage et pour votre confiance.
    Ce partage d’amour va droit au coeur de ceux qui le reçoivent et l’accueillent dans le silence d’une lecture profonde.
    Ces mots font écho à notre humanité, à notre pulsion de vie.
    Après tant de souffrance vient la douce heure…
    Certains ont une trace de vie plus courte mais quelle intensité et quel message pour l’éternité !
    La présence de Thérèse nous accompagne tous.
    Merci à vous deux.

    Chantal

  83. CADDET Monique dit :

    Bonjour Docteur Rueff
    Je suis Mme CADDET Monique (Les Saisies)
    J’ai été une de vos patientes pendant de nombreuses années. J’ai votre livre que j’ai relu dernièrement
    J’ai également de nombreux de vos livres…
    J’ai une question est-ce que vous exercer encore
    J’ai ma sœur qui une leucémie ainsi qu’une péricardite. Une vie professionnelle a l’hôpital en tant que laborantine ainsi que professeur de yoga elle fait beaucoup de choses en médecine parallèle
    Elle est suivie par une cancérologue a Lyon
    Elle arrive à un moment où elle doit prendre des décisions pour ses soins
    J’aimerais vos conseils
    Je lis régulièrement vos articles
    Merci de vous lire ou rentrer en contact avec vous
    Merci d’avance
    Monique CADDET

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