Valentine, ma fille

Amie lectrice, ami lecteur,

Si je commence cette lettre par une formule un peu particulière, c’est que le contenu l’est également.

J’ai longtemps hésité à écrire ce texte très personnel et douloureux. Mais toute expérience doit pouvoir servir, et puis… depuis quatre ans que j’écris ces lettres, avec la complicité bienveillante de Sébastien Duparc et de son équipe de Santé Nature Innovation, et que certains « fidèles » me font l’amitié de continuer à les lire, je me suis dit que je pouvais le faire. 

À ses amis, on peut ouvrir son cœur sans pudeur.

C’est la deuxième fois que je suis brutalement touché par le départ d’un proche. J’exclue celui des parents qui est, malheureusement, une fatalité que nous connaîtrons tous.

Lorsque ma femme Thérèse[1] est partie, c’était à la suite d’une longue maladie, et c’étaient surtout les conditions de son départ « annoncé » qui étaient douloureuses. Mais cette seconde fois, le coup que j’ai reçu a été si brutal !

10 octobre 2019. Il y a des jours où l’on ne devrait pas se réveiller, c’était l’un de ceux-là.

Lorsque l’on vous demande au téléphone si vous êtes bien assis, ce n’est pas bon signe. On craint le pire et on a raison : « Votre fille est décédée hier à l’hôpital. »

C’est tout, et je n’en dirai pas plus. Valentine avait 25 ans de moins que moi. Nous sommes aux antipodes de toute logique. 

Elle avait choisi une vie difficile, celle d’artiste, mais aussi, à travers diverses associations, de défenseuse de causes et de droits contestés par un grand nombre.

Quel meilleur hommage à Valentine, « Madame Kim » – c’était son nom de scène – que cet article du journal Ouest-France du 10 octobre 2019 : « DJette dans le collectif Déviations Sonores, une association nantaise issue de la culture techno, house et électronique, qui a fêté ses 15 ans au festival Scopitone en septembre, qu’elle a cocréé, Madame Kim était une personne engagée pour la lutte contre les LGBTQI-phobies et le traduisait par son engagement lors des Marches des fiertés, où elle mixait au village associatif et sur le char de Nosig. Mais Kim était aussi très connue en tant que DJette dans le milieu des nuits nantaises. »

Tellement connue, qu’avec l’aide de ses amis(e)s, la cérémonie d’adieu a rassemblé plusieurs centaines de personnes. Un merveilleux hommage musical lui a été rendu[2].

Valentine « galérait », et c’est juste au moment où son horizon professionnel allait se dégager que l’accident est arrivé.

Comme son père, elle avait les coronaires fragiles, mais elle avait ressenti les premiers symptômes beaucoup plus jeune que lui.

À l’époque, elle fumait beaucoup, ne mangeait pas correctement et surtout, comme aujourd’hui encore, n’économisait ni son temps, ni son énergie, ni sa fougue, ni sa bienveillance vis-à-vis des autres.

Le stress a été omniprésent dans sa vie !

J’écris ces lignes avec la douleur que vous imaginez, pour vous faire partager mon état d’esprit et le commencement d’une leçon de vie et de philosophie qui me suivra jusqu’à mon dernier souffle.

Lorsque l’on me demande « Comment allez-vous ? », les premiers jours, je ne savais pas quoi répondre. Maintenant, je sais qu’il n’y a pas de réponse, et cette « non-réponse » m’accompagnera pour toujours.  

Valentine a vécu éloignée de son père pendant de longues années, ballotée entre divers continents. Même quand elle était une toute petite fille, elle était déjà ballotée et abandonnée.

Je lui avais écrit en septembre 2018 pour lui demander pardon. Je lui disais que son père et sa mère n’avaient probablement pas été de bons parents. Nous étions au début de nos carrières professionnelles, et il arrivait souvent qu’elle soit oubliée à la sortie de l’école, qu’elle n’ait pas de goûter ou que ce soient des nounous ou des amis compatissants qui la prennent en charge.

C’est la première raison de ce message : si vous faites des enfants, soyez de vrais parents. Pas de simples éducateurs, mais de vrais parents affectueux, présents et câlins.

Sinon, s’il vous plaît, ne faites pas d’enfants. Je connais des couples qui ont fait ce choix et je le respecte totalement. Quoique que l’on puisse dire, aucune excuse n’est valable.

Si vous faites des enfants, apprenez-leur à bien manger dès le plus jeune âge : celui où l’on construit ses neurones et prépare la santé de toute sa vie. Mettez tout votre amour dans la cuisine que vous leur proposez, et expliquez-leur pourquoi elle est bonne pour eux.

J’ai observé que, bien mieux que les adultes, les enfants comprennent facilement que « l’on est ce que l’on mange ».

J’ai vu cette semaine un jeune papa « très occupé », qui m’a dit n’avoir pas le temps de préparer un petit déjeuner correct[3] pour ses enfants.

« Ça prend trop de temps. » Pardon ? Un bol de fruits rouges et de fruits à coque, un œuf à la coque cuit en un peu plus de 3 minutes, et quelques graines de lin moulues pour deux ou trois jours, ça ne prend pas plus de quatre minutes ! Deux de plus que saisir le paquet de « céréales ultra sucrées et chocolatées pour enfants », le lait pasteurisé et le chocolat en poudre. Faire une tisane ne prend pas plus de temps que de préparer un lait chocolaté. Quant au jus d’orange, qu’il soit en bouteille ou que vous le fassiez vous-même, c’est autant de sucre que d’inflammation pour l’intestin.

Ne laissez pas vos enfants manger n’importe quoi : c’est un crime !

Soyez attentif à tous leurs repas, même ceux de la cantine, et de leurs envies. Soyez à leur écoute avant d’être à l’écoute de votre « boss » ! Ainsi, vous pourrez entendre leurs désirs, prévenir leurs inquiétudes, leurs dérives et les autoriser à s’amuser ou à manger n’importe quoi avec leurs amis… de temps en temps.

Soyez attentif, pas seulement à leur carnet de notes, mais aussi à leur forme, à leur teint, à l’éclat de leurs yeux et de leur sourire. Respectez leurs sautes d’humeurs ou leurs silences, mais cherchez à les comprendre, car ils qui cachent parfois de profonds mal-être.

N’en faites surtout pas des « enfants-rois » ! Valentine a trop souvent entendu : « Ma chérie, tu es si belle et si intelligente que le monde sera à tes pieds. » C’est vrai qu’elle l’était, mais cela ne lui a pas facilité son épanouissement dans le monde et la société.

Entre son père et sa mère, Valentine a été déchirée. Alors, s’il vous plaît, si vous avez « des enfants du divorce », pensez à eux et faites-les passer avant vous. Gardez à l’esprit que quels que soient les problèmes de ses parents, un enfant a absolument besoin de son père et de sa mère, comme une plante a besoin de lumière et d’eau pour s’épanouir.

Si vous voulez être aimé(e) par vos enfants, commencez par les aimer, les aimer vraiment, pas seulement les couvrir de cadeaux. Couvrez-les de câlins et de baisers, c’est à la portée de tout le monde. Les cadeaux dans les belles boîtes ne remplacent pas la tendresse.

Valentine, mise en perpétuelle situation de choix entre son père et sa mère, n’a pas su trouver son chemin : elle s’est coupée tantôt de l’un, tantôt de l’autre, parfois des deux, s’enfermant dans sa musique qui l’a consolée et nourrie. Vous ne lirez peut-être pas facilement, sur la photo ci-dessous, le texte qui est écrit tout en haut. Alors, je vous le cite : « La musique chasse la haine chez ceux qui sont sans amour. Elle donne la paix à ceux qui sont sans repos. Elle console ceux qui pleurent. »[4]

Valentine avait trois chats qui lui apportaient tout l’amour dont elle avait besoin.

Elle ne savait pas qu’un pot de sauce tomate en boîte contenait trop de sucre et de sel. Je n’arrivais pas à le lui expliquer facilement, et quand je venais au-devant de ses problèmes de santé, elle me répondait : « Ce n’est pas d’un médecin dont j’ai besoin, mais d’un père ! ».

L’un de ses amis a écrit sur son cercueil : « Il n’y a que deux choses pour oublier le tracas de la vie : la Musique et les chats. Ta vie Kim on l’aime ».

Valentine aimait quand son papa venait l’écouter « mixer », et elle le présentait fièrement à ses « amis de la nuit ». 

Mais, souvent, nous étions loin l’un de l’autre, dans tous les sens du terme, et la communication était difficile. Alors, profitez de vos enfants tant qu’ils sont près de vous, tant que vous pouvez encore leur parler comme à des enfants, de joie, de jeux, d’amour, et leur dire que tout cela devrait passer avant tout le reste ! 


Valentine. Je ne sais pas, aujourd’hui, où tu es, mais je sais que ta vie a eu un sens beaucoup plus fort que celui que j’imaginais, il y a encore quelques semaines. Tu nous as appris que l’on pouvait s’aimer même dans le silence, et qu’il ne faut jamais confondre l’amour avec l’indifférence. 

Tu as écrit, sur ta page Facebook, qu’il fallait toujours être fier de soi :« Je suis fière de moi,Et tu sais pourquoi ?J’ai mis tout mon cœur dans toutce que j’ai fait. Dans tout ce quej’ai dit il y avait de l’amour.Je suis fière de moi et tu saispourquoi ? Au milieu de tant defaux visages, j’ai choisi d’êtremoi-même, avec mes forces etmes faiblesses. Je laisse l’apparenceaux perdants. À ceux qui nevivent pas, à ceux qui préfèrentne pas être. JE SUIS MOI.Je vis… à ma façon. »

Ta grande sœur, elle aussi une magnifique personne, a fait l’expérience de la douleur.

Rien ne sert de pleurer, même si ce n’est pas toujours facile de s’en empêcher.

Valentine, Madame Kim, tant de gens sont fiers de toi, permets-moi d’être le premier.

Tu m’as donné l’occasion de relire Cinq méditations sur la mort, autrement dit la vie[5], dont l’une sera la clôture et le message de cette lettre, que je partagerai donc avec l’auteur : « Ce sentier qu’une nuitNous avons parcouruTu le prolongerasEnfant de mon regardPar-delà la forêtDort peut-être un étangOu une plage erranteAu gré de hautes vagues.
Ce sentier constellé
Tu le prolongerasMalgré vents et roséeEnfant de ma mémoireDe ce côté l’automneA enfoui son secretEn toi le temps s’envoleFou d’appels d’oies sauvages. »Et comme disait une autre poète[6] :« À mon dernier repasJe veux voir mes frèresEt mes chiens et mes chatsEt le bord de la mer […] »

Alors viens ma chérie, j’y suis donc au bord de la mer où chaque vague est un souffle de toi. 

Aimons-nous, écoutons-nous, sans barrières ni préjugés, entendons-nous au-delà des frontières et des mers, prenons le temps de tous nos repas, de tous nos partages, chacun à sa façon sans d’autre peur que de manquer la joie de vivre, d’être et de chanter, que de manquer sa vie !

Je vous remercie et je remercie tous les amis qu’elle a choisis. 

Dominique Rueff


[1] https://www.lettre-docteur-rueff.fr/therese/

[2] https://www.facebook.com/1452340232/videos/10219081139326695/

[3] https://www.lettre-docteur-rueff.fr/coup-de-rouge-petit-dejeuner/

[4] C’est une citation de Pablo Casals, violoncelliste et compositeur espagnol.

[5] Cinq méditations sur la mort, autrement dit la vie, François Cheng, de l’Académie Française, Éditions Albin Michel, Paris, 2013

[6] Jacques Brel, « Le dernier repas »



N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


216 réponses à “Valentine, ma fille”

  1. Riebel dit :

    Bonjour docteur Rueff,
    En ce moment difficile, un sel mot courage.
    Il faut continuer à vivre.

    • Leila dit :

      Bonjour Dr Rueff
      Je suis Tunisienne une de vos fidèles lectrices
      J’a Lu votre lettre a Valentine avec beaucoup d’émotion
      J’aI moi aussi perdu mon fils âgé de 28 ans il y a 14 ann et je suis de tout cœur avec vous

  2. Eric TUROLLA dit :

    Bonjour Monsieur,
    Merci pour ce texte courageux et pudique.
    Difficile d’être un père parfait.

  3. Stéphanie dit :

    Merci docteur Rueff pour votre partage.

    Vraiment toutes sincères mes condoléances. C’est terrible de devoir enterrer son enfant… Il n’y a pas de mot pour décrire une telle épreuve.

    C’est très vrai ce que vous dites : il faut prendre soin, aimer, être présent dans la vie de nos enfants particulièrement lorsqu’ils sont petits.
    Merci également de nous avoir montré que à quel point la vie d’un enfant est précieuse, belle, unique et de l’apprécier surtout lorsqu’il en est encore temps. Car on ne sait pas quand notre dernière heure peut arriver…

    Stéphanie

  4. Stéphane KUBASIK dit :

    Je reste sans voix à lire votre lettre, je ressent une forte
    émotion.
    Je compatis à votre douleur. Beaucoup de gens devraient
    lire ce message.
    Courage à vous et continuez à produire vos lettres qui
    m’apportent beaucoup.
    Cordialement

  5. Florence Dupont dit :

    Merci 🙏

  6. Jean Pierre Serano dit :

    Très beau texte, très vrai et très triste. Je suis très touché.

  7. Dorothée LEURENT dit :

    Cher docteur Rueff, je suis de tout cœur avec vous, il va y avoir le manque, le vide et tout ça je l’ai connu après le décès de mon fils dans un accident de moto, regardez sur Amazon « Tourne toi vers le soleil » un livre qui peut vous aider et je suis là si vous avez besoin d’aide, avec toute mon affection,
    Dorothée Leurent

  8. Catherine dit :

    Que dire face à cette douleur qui vous arrache le coeuret qui vous laisse impuissant? J’aimerai vous serrer dans mes bras, vous que je ne connais pas et qui faites tant pour nous🙇.Je ne peux que vous envoyer tout mon amour et vous souhaiter un peu du sien en retour chaque fois que vous carressrez ses chats 😩. Je vous embrasse très fort, vous en avez bien besoin 💕 courage

  9. Delval dit :

    Merveilleux et douloureux message
    Les larmes m en sont venues j ai une fille que j adore
    Je ne peux pas imaginer votre douleur
    Mais mon coeur compatissant vous accompagne
    Maryse

  10. BrigitteBerrel dit :

    Douloureux….Profond…Emouvant…
    Que de chagrin et de détresse face à cette épreuve …Regrets et douleur aussi face à la mise en lumière de nos propres erreurs qui ont provoqué le départ et la perte d’un de nos enfants… ô combien je comprends…
    ô combien il est vrai qu’à la question : comment allez vous, la non réponse est pour toujours.
    Puissiez vous trouvez un peu de sérénité dans ce qu’il y a de beaux dans la vie: les animaux, la musique, la littérature, la nature…
    Bien à vous

  11. Faure Maisonneuve Renée dit :

    Je pleure, non pas pour le Dr Rueff, mais pour le père de Valentine qui, avec sincérité, se met à nu et nous donne une grande leçon de courage et de vie !
    De tout coeur avec vous

  12. Nicole Derboghossian dit :

    Votre lettre m’a profondément touchée. Être parent c’est faire des erreurs, il ne peut en être autrement. En avoir conscience, les reconnaître vous permet aujourd’hui de pouvoir écrire cette lettre qui pourra certainement interpeller d’autres parents. Vous dites que votre fille vous présentait fièrement, pour moi cela montre l’amour qu’elle vous portait. Et votre lettre montre l’amour que vous lui portiez. Il n’y a pas de mots pour soulager la douleur d’un parent qui perd son enfant, je vous dit simplement : continuez !

  13. MARTIN-BELLET Pascal dit :

    Cher Docteur Rueff,
    j’ignorais le drame qui vous a frappé . Votre malheur et la peine qui vous accable ne me sont pas étrangers.
    Veuillez croire à ma très sincère compassion.
    Bien à vous,
    P. Martin-Bellet

  14. Cathy dit :

    Je ne sais que dire car que peut-on dire devant la douleur d’un père qui perd sa fille.
    Vous pouvez aussi être très fier de tout ce que vous faites pour les autres et de votre engagement. Dans un autre milieu qu’elle; mais la ressemblance me saute aux yeux.
    Merci aussi pour votre lettre qui met en avant lés mamans qui s’occupent de leurs enfants au jour le jour. Ce n’est pas reconnu…J’ai sacrifié tant d’années d’études pour me consacrer à ma fille que j’ai eu à 40 ans. Encore Merci pour votre si belle lettre car cela me conforte vraiment dans mon choix.

  15. Godet Roselyne dit :

    Cette lettre nous laisse dans une grande émotion. Tous les mots sont impuissants face au drame du départ d’un enfant…mais voyez y la sympathie et le soutien d’une lectrice, toujours hautement intéressée par vos messages,…. Je vous souhaite tout le courage nécessaire. Bien à vous.

  16. JF Candela dit :

    Bonjour cher Monsieur Rueff,
    Je suis un de vos lecteur et votre témoignage d’Amour m’a bouleversé, je vous remercie de l’avoir publié. Je ne sais quoi dire face à un tel drame si ce n’est que l’on doit continuer à vivre malgré tout, nos proches qui sont parties « de l’autre côté », vivent en nous à tout jamais, les pensées sont plus fortes que la réalité. Une pensée affectueuse à Kim, paix à son âme 🙏Prenez soin de vous ✨
    JF Candela

  17. Francine ARMBRUSTER dit :

    Cher Monsieur Rueff,
    Votre lettre à votre fille Valentine est tout simplement déchirante. Cet aveu d’un père qui n’a pas su être un Papa m’a bouleversée. Parler de ce chagrin qui n’a pas de nom, oser partager ses regrets, est une marque à la fois d’humilité mais aussi d’énormément d’amour …Les conseils que vous donnez cette fois à tous les parents vont bien au-delà de la bonne nutrition, (un des aspects du bien-aimer) si indispensable, et ils vont droit au cœur.
    Puisse votre si douloureuse expérience servir à beaucoup beaucoup d’autres parents!
    Il se trouve qu’une de mes filles se prénomme aussi Valentine. Ce qui m’a bien sûr encore plus interpelée.
    Elle a connu de grandes difficultés scolaires, qu’elle a réussi à vaincre, et dont elle témoigne dans un livre publié chez Albin Michel. Mais ce livre est aussi et surtout un plaidoyer en faveur des enfants qu’elle demande aux parents d’aimer inconditionnellement : c’est votre message!
    Une dernière chose, cher Docteur Rueff. J’aimerais vous remercier pour toutes vos lettres et vos conseils si généreux et si précieux !
    En retour, et parce que j’ai le privilège
    d’ avoir une foi inébranlable en Dieu, je prierai pour vous, afin qu’IL apaise votre douleur et vous révèle son incommensurable amour .

  18. Spruyt dit :

    Cher docteur Rueff
    Aucune parole ne pourra vous consoler de cette perte brutale
    Mais l Amour qui vous entoure peut vous aider à continuer à vivre: recevez ce baume pour le cœur et l esprit
    Ne regrettez rien tout est bien
    De tout cœur avec vous en ces moments douloureux
    Marie Paule

  19. Aida Merazian dit :

    Dr Rueff sincères condoléances. Il faut beaucoup de courage pour affronter cette terrible perte. De tout cœur avec vous. Aida

  20. Sophie dit :

    Cher Docteur Rueff, je suis de tout coeur avec vous dans ce moment difficile.
    Il n’y a pas de hasard il n’y a que des synchronicites, aujourd’hui dans un Defi de 100 jours que je suis occupée à faire, il est question des 5 langages de l’amour de Gary Chapman ! Et je me suis souvent demandée comment je réagirais si cela m’arrivait. Au-delà de l’immense tristesse y aurait-il des regrets, de la culpabilité ou juste une acceptation ?
    Aimons nos enfants oui, mais aimons-nous c’est essentiel pour pouvoir les aimer .
    Je vous envoie des énergies d’amour et de douceur et que la vie reprenne le dessus ❣️

  21. Yves-Georges dit :

    Cher Docteur Rueff,
    Merci pour votre lettre poignante et sincère.
    Compatissant à votre douleur et votre désarroi, je vous prie
    de croire en mes sentiments les plus sincères.

  22. JEAN-LOUP GOULAIS dit :

    Mr Rueff, vos lettres (sur la santé naturelle) sont parmi celles que je préfère;
    Tous les parents (dont je suis) font sans le vouloir des erreurs avec leurs enfants. C’est ainsi.
    Votre lettre m’a bouleversé, car elle est la confirmation de votre humanité, celle sue vous partagez avec nous, vos lecteurs, par le bien que vous nous faites, et certainement des vies que vous sauvez, des vies que vous rendez plus douces, avec plus d’espérance.
    je vous souhaite le courage, la force de continuer, et aussi un jour l’apaisement dans la douleur.
    Avec mes remerciements pour votre dévouement aux autres, je vous assure de mon empathie, et de mon soutien (sans prétention) dans cette épreuve.
    J.Loup

  23. Prudhomme dit :

    Cher Dr Rueff, bravo pour tous ces magnifiques conseils aux Parents que le décès de Valentine vous amène à écrire! Puisse cette épreuve inimaginable de tristesse aider des parents à prendre conscience de l’importance de l’amour et de la qualité des soins quotidiens à apporter à leurs petits. Il est écrit : on n’élève pas un enfant mais un futur adulte, et dans ce cas , votre message est tellement juste. Les failles de Valentine lui ont permis de s’élever dans sa passion, la musique, où elle a excellé , et où elle a été heureuse. Combien de personnes décèdent bien plus tardivement sans jamais avoir connu ses moments de bonheur qu’on peut lire sur son visage. Ceci, c’est grâce à vous , car même si vous osez avec beaucoup de justesse et de regrets , écrire ce dont elle a manqué, vous lui avez transmis une envie de dévorer la vie! Alors je vous envoie du fond du cœur beaucoup d’amour et ne vous culpabilisez pas, Valentine vous avais choisi comme parents et avait à vivre ce qu’elle a vécu , ce qui lui a permis d’être Madame Kim.
    Continuez à être qui vous êtes, en hommage à votre fille qui est fière d’avoir eu un papa comme vous.

    Hélène

  24. Prudhomme dit :

    Je. N’aime pas l’intitule: prudhomme dit: je ne souhaite pas voir mon nom , seulement mon prénom. Merci

  25. Gabrielle dit :

    Bonjour Dr Rueff !
    Je vous lis ce matin avec beaucoup d’émotion.
    J’ai moi aussi perdu mes deux filles, l’une avait 25 ans lors d’un accident de la route, l’autre à 17 ans d’un glioblastome.
    Le chemin de renaissance fut difficile.
    Le traverser, accueillir les larmes (oui !), accueillir la douleur.
    Et pleurer : ce sont aussi des « je t’aime ». Votre fille a vécu SON chemin de vie. Elle a osé prendre des chemins de traverse, elle laisse sa lumière ici-bas.

  26. Anne-Françoise dit :

    Merci pour ce beau partage, malgré toute votre douleur. Puisse-t-il être un message d’amour pour chacun.
    Mes pensées de soutien et d’Amour vous accompagnent
    Courage

  27. Anne Alart dit :

    je suis triste de votre récit-
    votre fille donne envie de la connaître, ses poèmes surtout donnent cette envie-
    je prie pour vous –
    cordialement

  28. Guylène dit :

    Vous m’avez fait beaucoup pleuré, moi l’éternelle célibataire qui n’a pas eu d’enfants, mais des parents éducateurs et pas câlins !
    Merci pour vos lettres

  29. Gilles Pressac dit :

    lettre très émouvante et c est très difficile de commenter sur des évènements très personnels…la vie est ainsi faite ..plein de petits bonheurs dont on ne fait cas et un gros malheur au milieu de tout ça..et là on ne comprend plus…je suis de tout coeur avec vous et merci pour vos différents courriers et vos précieux conseils…

  30. Maryline GILLOT VIT'ALL+ dit :

    Docteur RUEFF
    C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai lu votre lettre.
    L’Amour d’un enfant est effectivement ce qu’il y a de plus beau au monde et lorsqu’il disparait , c’est comme si on vous arrachait le cœur.
    j’ai en ce qui me concerne effectivement choisi de faire de mon fils ma priorité pendant des années et cela m’a rempli de bonheur.
    je suis de tout cœur avec vous dans ce moment terrible .
    Cordialement

  31. Marguerite de chastellier dit :

    MERCI
    RESPECT
    AMOUR INCONDITIONNEL

  32. Chantal Kurz dit :

    Je ne commente jamais mais là oui.
    J’ai été très émue par votre franchise et votre humilité à reconnaître que votre fille a souffert de votre vie d’adultes. J’ai la chance d’avoir des enfants-voulus- et des petits-enfants aimés par leurs parents comme vous le décrivez si bien. Amour tendresse respect attention.
    Je vous souhaite tout le courage qu’il faut pour continuer à vivre avec le souvenir de Valentine qui ETAIT ELLE !
    Toutes mes pensées affectueuses

  33. Béné dit :

    Emouvant. Merci pour ce témoignage dont le monde a besoin.
    De tout coeur avec vous

  34. Claudine dit :

    J’imagine votre douleur et je pleure…

  35. Anne RICHARD dit :

    Cher Dr Rueff, votre message est poignant et je vais suivre vos conseils autant que je peux. Mes trois enfants sont aussi de parents divorcés mais ils ont été élevés avant que leur père parte et j’étais une mère au foyer…ils me rendent bcp d’amour.
    Ce que Valentine a écrit sur facebook est très beau et je vous encourage à vous en nourrir pour soulager vos remords et votre tristesse.
    Bien sincèrement, Anne Richard

  36. Elisabeth Fery dit :

    Merci à cette belle ode à l amour à la vie.L amour omniscient omniprésent omnipotent est une fforce.Que vous et Valentine en soient iimprégnés. Qu elle aille en paix poursuivre son chemin.Paix à sa sœur et tous vos proches.Merci pour le partage et la leçon de vie que l on reçoit dans le cœur .

  37. ALBRIEUX Christine dit :

    Merci pour ce cri d’amour
    J’ai appris pendant 5 ans de maladie de mon mari et son décès à la suite que nous ne maîtrisons rien.
    Ce fait ce qui doit se faire. Nous sommes venus sur terre pour vivre une situation et la fin ne nous appartient pas nous les parents et conjoints.
    Aussi n’ayez pas de regrets. Il s’est passé ce qu’il devait se passer. C’etait inscrit dans le livre de la vie de votre fille.
    Je vous aime
    Christine

  38. Duranton dit :

    Merci pour votre témoignage … et votre confiance.
    Un père.
    Jacques Duranton

  39. Hélène dit :

    Moi non plus je ne commente jamais ce matin j’avais juste envie de vous dire merci pour ces paroles fortes venues du plus profond de la vérité de l’être humain. J’aurais aimé connaître Valentine

  40. nadine grob dit :

    Cher Docteur Rueff,
    quelle lettre, quel hommage, Valentine doit être bien fière de son papa !!! lorsque nous devenons parents, nul manuel d’instructions ne nous est fourni …nous faisons tous au mieux …je vous souhaite plein de courage car moi, je me suis occupée à 1000% de mes enfants, j’ai pris un temps partiel, joué avec eux, passé un maximum de temps, je leur ai appris la foi, le respect des lois, des hommes, des animaux, de tout, à manger équilibré, à faire du sport, ne serait ce que de la marche, etc …dès leur vie d’adulte, leur fréquentations, …il n’en reste quasi RIEN !! je me demande tjs ou j’ai failli ?? ne culpabilisait pas …je pense que c’est la vie qui veut tout ce qui se passe !! vous aidez tant de personnes je vous souhaite d’être apaisé avec le temps et je vous envoie mes affectueuses pensées nadine

  41. Brigitte dit :

    Cher Dr Rueff, je ne commente jamais, mais votre lettre est si touchante et si pudique…Je vous lis toujours avec grand intérêt, mais ici, c’est si personnel, c’est un magnifique hommage que vous rendez à votre chère Valentine. De là où elle est, elle vous entend et cela doit lui faire du bien. Vous avez eu le temps de lui demander pardon, et c’est un réconfort qui doit vous rester. Je vous souhaite d’être en paix; elle a fait ce qu’elle aimait, c’est une grande consolation. Elle vous manquera toujours, et 2 deuils aussi proches sont bien difficiles à vivre. Mais vivez, continuez de vivre… c’est ce qu’elle aimait. Prenez soin de vous. Mes prières vous accompagnent.

  42. Audouin dit :

    Je voulais vous dire merci Dr Rueff pour cette belle lettre, si touchante et émouvante, je n’ai pas pu retenir mes larmes.
    Avant tout, je voulais vous dire que je comprends votre douleur et vous soutien.
    Merci de nous avoir ouvert votre coeur.
    Dans votre lettre, plusieurs personnes vont se reconnaître.
    En effet, la vie est ainsi faite, on devient des robots, on avance toujours de plus en plus vite, on est rattrapé par le temps !
    Que le Seigneur vous bénisse et vous console.
    Odette

  43. Véronique dit :

    Ayant moi-même perdu deux enfants, un inutero vers la fin de grossesse et un de la mort subite du nourrisson, je connais la douleur dont vous devez être envahi. Le temps arrange les choses mais n’efface en rien la perte. Vous allez certainement penser tous les jours à votre fille mais avec le temps, vous y penserez sans douleur. Vous retiendrez les bons moments passés avec elle.
    J’ai senti de la culpabilité dans votre témoignage. Ne fait-on pas au mieux dans le moment? Nous ne sommes pas parfaits et surtout, nous sommes plus intelligents après. Quand votre fille était jeune vous n’aviez certainement pas le temps de réaliser qu’elle aurait plus besoin de vous. Vous faisiez au mieux alors enlevez-vous cette culpabilité qui ne peut que vous empoisonner.
    Courage! Et toutes mes condoléances!

  44. Jault Burford dit :

    Merci pour ce magnifique partage très douloureux .
    De tout coeur avec vous…
    vous avez fait ce que vous pensiez juste à chaque instant de votre vie…
    Oui c’est primordial d’être présent physiquement et
    Mentalement pour nos enfants, mais même ainsi (comme je l’ai été), rien n’est parfait dans le fait d’être là et dans l’éducation. Ce que vit un enfant n’est pas toujours détectable et les blessures inévitables… et ils vivent ensuite leur vie d’adulte
    Votre fille s’est construite comme elle a aimé et elle a eu beaucoup de bonheurs et d’amitiés….
    Je partage votre douleur de père, et vous dis merci pour tout ce que vous continuez de faire en tant que médecin .
    Sylviane Jault

  45. Natalya SLOWINSKY dit :

    Bonjour Cher Dr
    Je me réveille ce matin et comme à mon habitude je consulte mes mails.. et ce jour est bien particulier comme votre fille l’était, comme vous l’êtes aussi. Je vous lis depuis quelques années, vos conseils ont toujours un poids important dans ma vie. Vous êtes une belle personne et la vie n’est pas toujours facile, on a tous notre histoire, nos souffrances, nos pertes, qui nous forgent, nous enrichissent. Mais l’essentiel, comme vous le dites c’est d’être lucide afin d’apprendre les leçons de la vie ..
    Je suis de tout cœur avec vous, c’est un ange reparti au ciel et je suis sure d’une chose, c’est quelle doit être très proche de vous à cet instant..
    Prenez soin de vous.
    Vous êtes un très bon père et votre hommage le prouve bien.
    Toutes mes pensées à vous et votre famille.

  46. PASCALE BOULANGER dit :

    Bonjour Dr Rueff,
    Je vous présente mes sincères condoléances.
    J’ai été très touchée par votre texte et ces paroles si justes.
    je suis certaine que Valentine a entendu vos messages.
    Recevez mes sincères pensées de réconfort.

  47. Lheureux Patrick dit :

    J’ai lu votre message avec beaucoup d’attention et il m’a profondément touché. Je vous comprend et je partage votre peine. La perte d’une personne très chère et surtout celle d’un enfant est ce qu’il y a de plus terrible pour des parents.
    Je suis de tout cœur avec vous.
    Amicalement

  48. Claudine dit :

    Bouleversant message, j’en ai les larmes aux yeux…. Très belle citation de François Cheng.
    De tout coeur avec vous. Courage ! Je me permets de vous embrasser

  49. Pierre COLEAU dit :

    Bonjour docteur RUEFF,
    Votre témoignage m’a beaucoup ému et vous avez parfaitement raison. Bon courage en ces moments douloureux ! Moi qui suis croyant, je vous écris une note d’espoir : « derrière les nuages est le soleil ! ». Encore bon courage.

  50. Régine dit :

    Cher Dr Rueff, je ne rate jamais aucune de vos publications et aujourd’hui je partage avec vous toute votre peine. Personne ne remplacera l’amour de votre fille mais sachez que vous n’êtes pas seul,vous êtes un peu de notre famille à tous. Bon courage à vous.

  51. Yolande dit :

    Bonjour Dr Rueff,
    Je pleure avec vous votre enfant et je comprends si bien votre douleur et vos regrets de ne pas avoir pu agir mieux dans le passé. Moi-même, dans un cas similaire, avec un fils autrefois talentueux ( aussi DJ ) et vivant joyeusement à plein tube sans se soucier de règles, aujourd’hui condamné par une Leucodystrophie et très lourdement handicapé, en plus en couple divorcé, je me sentais souvent coupable de ne pas avoir donné plus à cet enfant ‘spécial’. Je sais que j’ai raté beaucoup dans son éducation, mais je me dis, que l’on fait toujours le mieux qu’on le peut à chaque instant, et si on n’a pas mieux fait, c’est qu’on n’en avait pas les moyens à ce moment précis. Au moins, je peux me préparer doucement au départ de mon fils, mais vous, vous avez subi toute la brutalité d’une mort soudaine. En un instant, tout bascule et rien ne sera plus pareil. C’est vous, qui devez vous réparer tout seul de cette blessure, même si on peut être consolé par des proches. Ceux qui restent, doivent survivre et essayer de revivre après. Le chagrin de cette mort précoce ne s’estompera jamais, mais on peut communiquer joyeusement avec l’ esprit qui a laissé son empreinte en nous…
    Quand nous avons eu nos enfants, il y a 30 à 40 ans, la nourriture n’était pas autant explorée, et on avait souvent d’autres problèmes plus urgents à gérer. Aujourd’hui, nous pouvons soutenir les nouvelles générations à faire plus attention en ce qui concerne la nutrition de leurs enfants, et il y a des études et de la recherche sur le sujet pour les convaincre.
    Cher Dr Rueff, je vous soutiens avec mes pensées et vous souhaite beaucoup de courage.
    Et: merci mille fois pour tout ce que vous donnez à vos lecteurs et votre entourage par vos réflexions et conseils!
    Yolande

  52. donnaes dit :

    Merci pour ce témoignage. Mes meilleures énergies.

  53. Anne DESTINAY dit :

    Bon courage pour supporter ces coups de poignard mêlant regrets et culpabilité et qui marquent à vie.
    Merci pour cette sincérité qui n’a pour but que de nous faire éviter ces situations courantes liées à nos vies trépidantes.
    Merci pour toutes vos lettres qui nous aident à lutter contre les méfaits de l’évolution souvent décadente de notre époque malgré la vie qui peut nous donner des moments merveilleux.
    Merci.
    De tout coeur avec vous.

  54. KOUDOUGNON dit :

    Cher Docteur RUEFF,
    l’émotion m’a prise à la gorge en vous lisant « Valentine ».
    La franchise et l’humilité dont vous faites preuve sont si intenses qu’il n’y a pas de mot assez fort , pour moi, de pouvoir vous réconforter.
    Je suis de tout cœur avec vous, vos récits « cris de douleur » sont une mine de conseils pour les parents, jeunes ou vieux. Courage.
    Recevez toute mon affection

  55. Canat Guy dit :

    Merci pour cet émouvant témoignage qui donne en même temps une leçon de vie profitable à tous.
    Sachez Docteur, que j’apprécie particulièrement vos lettres qui m’aident beaucoup dans ma lutte contre ma maladie de Lyme depuis plus d’une quinzaine d’années.
    Bon courage, je vous envoie toutes mes amitiés sincères.

  56. caillaud dit :

    Cher Docteur ,
    Je lis vos lettres qui m’accompagnent , et ne suis pas du genre à commenter ! Vous avez eu raison de publier et de nous faire partager ce samedi matin une tranche de votre vie , effectivement votre lettre à pris une autre tournure , la profondeur , la sensibilité , l’amour et les regrets . Oui bien sur , si la vie pouvait nous donner la possibilité de faire une amélioration du replay , vous auriez comme nous tous déverser un tsunami d’amour formuler d’attentions . Bien sur que notre mission de parents est certainement la plus dure à réaliser , il n’existe pas de mode d’emploi …nous croyons que …si non tout serait parfait ,.La perfection , la bienveillance voila les maîtres mots qui se conjuguent à tous les temps , le Graal !! Je partage votre douleur .

  57. Pachka Honnet dit :

    Cher docteur Ruef,
    Quel magnifique message d’amour !
    Ce n’est pas dans mon habitude de commenter des textes, mais aujourd’hui j’ai envie de vous dire qu’on est avec vous, que vous avez été un père aimant, que ce que vous partagez et que vous transmettez, vous ne pouvez le faire qu’aux oreilles attentives.
    Valentine a fait son propre chemin dans ce qui pour elle avait le plus de sens.
    Le refuge dans la musique, dans le monde de la nuit est compréhensible tellement le monde va mal!
    On va devoir repenser toute notre façon de vivre et de consommer.Vous faites partie de cette nécessaire construction, car donner la chance aux gens de pouvoir se soigner eux mêmes et de prendre leur santé en main est indispensable.
    Nous vous remercions pour tous vos bons conseils, vraiment.

    Vous avez les clés de la
    reconstruction .

    Prenez bien soin de vous !

    Avec toute mon affection

  58. adda dit :

    Bonjour,
    Votre lettre d’aujourd’hui m’a profondément émue.
    Merci pour votre message, oui, il est important de prendre du temps avec nos enfants, je tache de le faire chaque jour qui passe.
    Je pense à vous avec émotion et vous souhaite beaucoup de courage. Merci pour vos lettres qui sont toujours instructives et passionnantes.
    Aude

  59. Chartier Marie Christine dit :

    Je suis très touchée par votre lettre , pas de mots pour soulager mais juste vous dire que cette douleur inconsolable face à cette grande perte c’est ce que nous partageons tous en tant qu’humain dans le deuil.et c’est de l’humanité. Je vous envoie au delà des mots de la tendresse humaine. Merci pour vos belles lettres,vous faites un bel ouvrage !

  60. Anne DIMEUR dit :

    Bonjour Dr Rueff,
    Recevez mes sincères condoléances. Votre lettre est touchante. Mais ne pleurez pas. C’est votre vie, avec les erreurs que vous avez pu faire, qui vous a faite la personne que vous êtes. N’ayez pas de regrets. Ça ne sert à rien. La vie est compliquée. Vous avez fait de votre mieux et maintenant vous aidez les autres. C’est déjà très bien.
    Courage,
    Anne.

  61. Clovis dit :

    Recevez toute ma compassion pour cette terrible épreuve. Car il s’agit bien d’une épreuve, c’est-à-dire d’un événement où l’on doit FAIRE PREUVE de son humanité et de son courage. Votre fille disait qu’elle faisait tout par amour, nul doute qu’elle agissait avec humilité et qu’elle remerciait ainsi Dieu, son Créateur, pour tous ses bienfaits. Je vous souhaite de tout coeur la grâce d’emprunter le même chemin d’amour et de vérité.

  62. Nina Dalichamp dit :

    Cest très courageux de votre part de vous mettre ainsi à nu et d’oser partager publiquement vos failles les plus noires et vos faiblesses les plus légitimes. Vous avez donné ce que vous pouviez donner et fait ce qu’il fallait faire. Valentine était a l’évidence une personne forte et fragile, et belle et pleine d’amour. Cet amour là ne meurt jamais, il se mélange à notre coeur et emplit tout votre être pour l’éternité.
    De tout coeur avec vous, je vous adresse toute ma sympathie.

  63. Suard dit :

    Quel beau témoignage ! merci… très émouvant très courageux… oui il faut aimer ses enfants avec la générosité du cœur et même quand on a « la tête dans le guidon «  accablé de charges de travail ou de soucis personnels les enfants doivent être LA PRIORITÉ !!! la seule, l’unique. Nous sommes parents de 3 enfants que nous aimons plus que tout nous les avons choyés (a la juste mesure !!!) ce ne sont pas des enfants rois ! nous leur avons inculquer de belles valeurs…. respect de la vie des autres des animaux de la nature du bien d’autrui … ça ne coûte rien tout ça et aujourd’hui ces 3 adultes nous donnent tellement en retour… nous avons fait passé nos enfants avant nos carrières nos avantages matériels… c’est pour nous une évidence même pas un choix et tant que nous serons là nos enfants savent qu’ils pourront compter sur nous en toutes circonstances… et à tout moment

  64. Catherine dit :

    Merci monsieur pour le partage de cette lettre d’amour à votre fille tout en émotion et pudeur. Je vous souhaite de surmonter cette douloureuse épreuve du mieux possible et sans culpabilité.
    Je vous envoie de bonnes ondes et du courage dans cette période tellement triste.
    Prenez bien soin de vous.

  65. Gohier dit :

    Dr Rueff,
    C’est une bonne démarche que d’ouvrir son coeur, la blessure ne guérit que si on en admet l’existence; et si l’on reconnait ses fautes, c’est encore mieux. Bel altruisme que de faire partager votre vécu… Bel exemple de courage et d’humilité aussi. En somme, une preuve d’amour d’un père envers sa fille… elle serait fière de vous.
    Merci et de tout coeur avec vous.

  66. Annick dit :

    Merci,
    sincérité,
    émotion,
    compassion.
    Une mère imparfaite.

  67. Valérie dit :

    toutes mes sincères condoléances ,votre lettre de ce matin m’a fait pleurer à chaudes larmes, l’espace d’un instant j’ai essayée de me mettre à votre place , c’est l’horreur absolu .
    J’espère sincèrement que votre message sera largement diffusé , on a parfois besoin d’une piqûre de rappel.
    Nos enfants ce sont tout pour nous ne l’oublions pas.
    Je vous souhaite d’être très entouré pour arriver à surmonter cette si grande douleur,prenez bien soin de vous, si ce n’est pour nous pour Elle.
    Reposes en paix ma belle.
    Bien Amicalement.

  68. Céline dit :

    Cher Papa meurtri.
    J’ai lu avec attention et émotion votre lettre de papa orphelin de sa fille bien aimée. En tant que maman ayant perdu « violemment » ma fille à l’âge de 26 ans, qui était aussi un électron libre voire fou par moment, j’ai compris qu’en tant que parent nous avons fait de notre mieux avec ce que nous avions conscience dans l’instant. Culpabiliser ne sert à rien, nous ne savons pas qui nous mettons au monde, votre fille a fait SES choix, a vécu SA vie et apparemment a été heureuse à sa manière …..Nous ne pouvons pas protéger nos enfants d’eux mêmes « Vos enfants ne sont pas vos enfants » de Khalil GIBRAN est un texte magnifique :
    « Vos enfants ne sont pas vos enfants.
    Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même,
    Ils viennent à travers vous mais non de vous.
    Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.

    Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées,
    Car ils ont leurs propres pensées.

    Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes,
    Car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter,
    pas même dans vos rêves.

    Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux,
    mais ne tentez pas de les faire comme vous.
    Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier.

    Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.

    L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et Il vous tend de Sa puissance
    pour que Ses flèches puissent voler vite et loin.

    Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie;
    Car de même qu’Il aime la flèche qui vole, Il aime l’arc qui est stable.

    Extrait du recueil Le Prophète »

    Aujourd’hui pour ma part je ne pleure plus l’absence de ma fille, mais célèbre sa Présence car elle s’est juste libérée de son enveloppe charnelle…..l’avoir eue est une richesse inestimable et de chaque instant……. Paix à leurs Âmes, la VIE continue ……..Derrière chaque malheur se cache un bonheur au moins aussi grand et souvent plus grand …..cherchez et/ ou transcendez ….Avec Amour

  69. JEANNIN R dit :

    Bonjour cher amis affligé,
    Je désire vous apporter toute ma sympathie pour cette nouvelle épreuve.
    Elle vous touche en tant que père, en tant que médecin, en tant qu’homme.
    Elle nous touche tous en tant qu’humains sensibles et capables d’affection.
    (Je suis moi-même père de 4 enfants et grand-père de 7.)

    J’ai choisi pour vous deux expressions qui, je l’espère de tout mon coeur, seront encourageantes pour vous et vos proches :
    La Bible : « Moi, (dit Jésus), je suis la résurrection et la vie : celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra. »
    La sagesse : « On ne nait pas parent, on le devient par l’expérience et souvent dans la peine. Mais ce qui en résulte est digne d’être vécu »

    Bien à vous et bon courage.

  70. BONNE dit :

    Bonjour Dr RUEFF, merci de partager l’Amour éternel que vous avez pour Valentine. Elle a choisi un Chemin de Vie Lumineux lors de son passage sur Terre : oser Etre Elle.
    Soyez sûr de mon aide ce jour pour l’aider a Etre et rester dans sa Voie de Lumière qu’elle continue de parcourir. Mes encouragements vont à vous, votre famille et tous les amis. Paix, Joie et Amour à vous et à votre fille, Valentine !
    Jean-Michel

  71. Roz Claude dit :

    Claude:
    En ouvrant ma messagerie ce matin du 15 novembre, j’ai lu ce message à Valentine. Bien que vielle de 53 ans, cette date me rappelle un souvenir douloureux. En effet, le 15 novembre 1966 alors que mon épouse et moi étions mariés depuis moins d’un an, nous avons perdu brutalement notre petit Stéphane qui avait tout juste deux mois et cinq jours. Nous n’oublierons jamais cet instant. Chaque année sa date de naissance , le 11 septembre qui rappel un autre drame, nous ne pouvons échapper à ce retour en arrière. En plus , le 15 novembre 2016, je perdait un ami. Triste anniversaire. Mais il faut bien vivre, heureusement, par la suite nous avons eu quatre autres enfants qui n’ont cependant pas pu faire oublier leur frère aîné Stéphane, trois filles et un garçon.

  72. danielle guardiola dit :

    Quelle belle et triste lettre pleine d’Amour!!!
    Les parents ne sont pas parfaits.. c’est en effet très compliqué
    Je partage votre peine et vous envoie plein d’ondes positives pour continuer à vivre et nous envoyer vos lettres!

  73. Danielle dit :

    Vous avez toute ma sympathie et mes meilleures pensées .
    Merci pour ce partage . Je vous souhaite de trouver l’apaisement . Perdre un enfant , adulte ou non est le pire drame que l’on puisse vivre . On a tendance à se faire des reproches, mais je crois que chacun de nous fait ce qu’il peut avec ce qu’il est à certains moments de sa vie et dans les circonstances qui sont les siennes. L’important est de grandir et de s’aimer pour aimer …
    Danielle

  74. Genevieve dit :

    Toute ma plus profonde sympathie vous accompagne dans cette épreuve.

  75. Claire dit :

    Bien cher Docteur,
    Votre lettre m’a émue aux larmes et j’ai eu du mal à aller jusqu’au bout. Merci à vous de vous être ouvert avec tant de confiance aux lecteurs. Je repense à cette conférence que vous avez donnée au début de ce mois … alors que vous veniez de perdre votre fille. Tant de courage il vous a fallu.

    Votre message me touche d’autant plus que Noël est bientôt là et nous rappelle, en retrouvant la famille, nos enfants, petits-enfants peut-être, à quel point Aimer est notre seule réponse. Les liens familiaux sont parfois difficiles. Votre témoignage est un rappel urgent à Aimer. Pour ma part, j’ai eu beaucoup de mal à élever mon propre enfant (j’ai maintenant 76 ans). Issue d’une famille névrotique ayant des règles strictes et peu d’amour, j’ai dû apprendre ce qu’était Aimer au travers d’énormes difficultés. Avec l’âge j’ai compris où était l’essentiel. Le Pardon (à soi-même) et l’Amour. Tout est là. Une parenthèse pour un travail magnifique fait avec le Docteur Laskow, « La guérison par l’amour » appelé Holoénergie, m’a libérée et réconciliée avec moi-même. Votre message est bouleversant. Il ouvrira j’en suis sûre des portes pour mieux Voir, Entendre, Comprendre, Accepter, Accueillir, ceux que nous aimons, et encore plus spécialement nos enfants. Votre message est si poignant. Merci.

  76. Christine Charpentier dit :

    Cher Dominique, je suis très touchée par votre lettre très émouvante et le courage de votre témoignage. Merci pour l’exemple. De tout coeur avec vous.
    Christine

  77. JOLY Maryline dit :

    Bonjour Monsieur Rueff,

    Belle lettre que votre fille aura probablement lu…
    là d’où elle est…
    Merci de l’avoir publié, car elle fera peut-être changé les choses, dans certaines familles, par une prise de conscience…

    Grand courage à vous !

  78. Edwige Fabre dit :

    Très important d’exprimer sa douleur et son repentir ce que je n’ai pas fait après le décés de mon fils suite à un accident de moto. J’ai gardé cette douleur même si je suis allée au devant des autres qui ne savent pas comment vous aborder. J’ai culpabilisé en me disant que je n’avais pas été assez présente, à l’écoute, pourquoi lui et pas moi jusqu’à mérité mon cancer du sein peu de temps après. Le temps apaise la souffrance mais pas le manque. Je partage votre douleur et vous souhaite beaucoup de courage, la vie n’a pas été très généreuse envers vous.

  79. Marc dit :

    Cher docteur Rueff,
    un grand merci pour votre partage.

    Très sincères condoléances pour vous et la famille.
    C’est tout difficile de perdre son enfant…

    L’ amour est le plus important dans le monde entier et surtout pour ses enfants.
    La vie est courte et remplie de bonnes choses, comme des choses difficiles. C’ est pas possible de comprendre ça pour nous.
    Le courage est notre ami pour convaincre les problèmes de la vie et je vous souhaite que vous trouvez le courage dont vous avez tellement besoin pour continuer et accepter qu’il y a toujours de l’espoir.

    Sincères salutations,
    Marc

  80. Stéphanie D. dit :

    Magnifique témoignage d’amour…
    Courage à vous, c’est sûrement cela qu’on appelle parcourir « son Chemin de Vie »…

  81. DANIELE dit :

    Cher Docteur Rueff, recevez ici toute ma compassion et mes condoléances.
    votre fille, là où elle est maintenant, sait que vous l’aimiez et que vous l’aimerez toujours.
    vous devrez continuer à avancer, à être vous-même, pour vous, vos proches et aussi pour Valentine ! Elle vous surveillera d’en haut, n’en doutez pas et surtout, soyez réceptif à tout message ou signe qu’elle ne manquera pas de vous envoyer ! Amicalement

  82. joanne baumann dit :

    Cher Docteur Rueff,
    Votre lettre est boulversante. On y sent votre immense chagrin et aussi tellement de regrets de n’avoir pas su donner plus de votre temps à votre fille . C’est le cas des parents qui travaillent. Votre Valentine est belle, on la sent habitée par ses passions. Elle a changé de planète, pour aller briller là-haut, parmi d’autres étoiles.
    Prenez bien soin de vous, cher Dr Rueff.
    Un grand merci pour toutes vos lettres qui nous aident à nous sentir mieux.

  83. Mani dit :

    Cher Mr Rueff,

    Merci pour ce courageux et très douloureux partage.
    Je me permets de dire : ne regrettez rien, vous avez fait de votre mieux. La vie est ainsi…..la société, les schémas, les priorités nous mettent sur une voie qui se révèlent plus tard, beaucoup plus tard (ou parfois jamais) ne pas avoir été peut-être la meilleure….
    Personne n’est parfait et malheureusement la vie nous le révèle à travers de nombreuses expériences et parfois de terribles événements comme celui-ci.
    La perte d’un enfant est l’épreuve la plus dure que la vie puisse nous faire vivre.
    La vie est loin d’être un long fleuve tranquille……
    Votre fille a réussi sa vie, elle le dit dans son message; elle a réussi à ETRE. Il y a tant de personnes qui n’arrivent pas à sortir du FAIRE, moi la première…..
    C’est cette vie chaotique de son enfance qui a fait ce qu’elle est devenue adulte, une Belle personne vraie, authentique et qui a sans aucun doute su apporter du bonheur autour d’elle.
    Vous pouvez être fier d’elle.
    Et se dire que le « destin » a fait ce qui a été et c’est que cela devait être ainsi…..
    Je vous présente toutes mes condoléances et mes pensées les plus réconfortantes.
    Et j’en profite pour vous remercier pour votre engagement au travers de ces lettres.
    Cordialement

  84. annic dit :

    Votre lettre est bouleversante! Je pense que tout parent peut s’y reconnaître car même en pensant faire le meilleur pour ses enfants on peut toujours se tromper, sachant aussi que ,chaque enfant est unique et qu’on ne peut appliquer pour tous des « règles » identiques .
    Vous avez certainement fait du mieux que vous pouviez et déjà savoir reconnaître ses erreurs et demander pardon c’est formidable…
    Merci pour ce poignant témoignage! Mes pensées vous accompagnent
    Gaëlle

  85. Marie Claire dit :

    Cher Dr Rueff,
    Les mots voudraient se précipiter pour vous dire ma compassion, suite au départ de Valentine.
    Pourtant, un silence empreint de respect et d’amour s’invite plutôt. Quelle humilité et quelle générosité vous habitent, pour livrer ainsi, l’intime de votre ressenti.
    Dans des domaines très différents, vous offrez, l’un et l’autre, le meilleur de vous-même. Ne repensez qu’aux moments de communion, avec elle ! Tout le reste n’était qu’une ébauche, liée à nos tâtonnements d’êtres humains. J’ai vu partir ma maman, qui était aussi dans le secteur médical, en ce mois d’octobre.
    Je lui confie Madame Kim, qu’elle la serre sur son coeur.

  86. Gina dit :

    Bonjour Dr Rueff ,
    Je n’ai pas l’habitude de commenter des lettres, mais votre message m’a trop touchée, j’ai été très émue par votre lettre, quel témoignage bouleversant, je vous envoie plein de courage pour surmonter cette terrible épreuve, et surtout n’hésitez pas à consulter la parole de Dieu la bible qui est une source d’encouragement et de consolation pour nous, nous y trouvons de beaux messages d’espoir…….
    Prenez soin de vous et bonne continuation.
    Merci pour tout ce que vous faites.
    Courage

  87. RODRIGUEZ dit :

    Bonjour,
    je ne vous connais pas et pourtant votre combat pour une vie meilleur pour votre fille est aussi le mien, la seule difference est que par ma foi, je crois que le combat que nous menons par nous même est limité, mais celui que notre Créateur à prévu, n’a pas de limite. Plus je m’abandonme dans la prière et et le lâché prise, plus je vois des reactions contraires a celles lorsque je m’acharnais a dire a ma fille le mal qu’elle se faisait. j’ai 4 filles, elles ont des parents non divorcés et complètement investis pour leur vies materiel et affectueux, mais chacune avec leurs vécus et leurs histoires, celles qui les ont amenées à se faire du mal. N
    Nous sommes, en tant que parents, présents, mais absent par le fait d’être artisan et toujours au travail, oubliant les enfants à l’école, a faire des repas à la va vite, tout comme vous.
    Mais il n’est jamais trop tard, aujourd’hui je suis grand mère de 2 petits enfant et je veux les voire grandir et s’épanouir, alors, je prends soins de mon mari et moi même ( alimentation, jeune, et ce qui va avec) et je transmet à mes enfants, par une approche beaucoup plus vivante et respectueuse de leurs présent, avec un Amour débordant et sans retenue, une patience et une métrise du silence et des mots que seul l’Amour inconditionnel de Dieu m’a donné de vivre et de partagé.
    vous avez Aimé votre fille, même dans les temps d’absences, et elle le savait, ces choix n ont pas été les vôtres et son destin n’était pas entre vos mains alors ne laissé pas la culpabilité prendre le dessus, elle est messagère de mensonges et de tromperies.
    Merci pour votre témoignage et que votre vie soit à votre service, et aux services des autres et que vous puissiez trouver cette paix qui m’habite.
    Angèle

  88. Regnier dit :

    Je viens de prendre connaissance de votre lettre quel choc pour moi je suis très concernée car ma ie ressemble à la vôtre et combien je compatie..
    Je ne vais pas exposer mes ressentis d’avantage mais sachez que j’ai une affectueuse pensée pour Valentine et vous même
    Bien cordialement
    Eliane regnier

  89. Charlotte d’Ogny dit :

    Très cher Docteur ,
    Comme je vois nous compatissons tous énormément à votre extrême douleur.
    À travers vous le message de votre fille resplendit dans nos cœurs 💕 les magnifiques conseils que vous donnez sont tellement vrais et tellement d’actualité ! Merci merci infiniment de nous faire partager ces trésors. Ces trésors, je vais les garder à jamais dans mon ❤️ et les mettre en pratique maintenant tout de suite avec ma fille. Merci cher Docteur pour cette grande générosité dont vous nous faites part.
    Je vous embrasse bien affectueusement et vais mettre vos conseils en pratique tout de suite et pour la VIE. ✨

  90. Anne-Christine Haltel dit :

    Je vous remercie pour avoir eu le courage d’écrire ses lignes. Ke pense que ce fut difficile.
    Merci pour votre témoignage, grande force pour vous dans cette épreuve.
    Je vous embrasse

  91. Christine dit :

    Christine
    Votre message me fait pleurer Et je me pose beaucoup de questions concernant mes enfants Pas facile la vie de parents et des enfants Courage

  92. Françoise dit :

    Lorsque les gens nous disent « courage », ils ne savent pas à quel point il en faut pour continuer. Je continue pour sa jumelle, ses deux enfants et son tout petit qui n’a que 5 ans. Il faut continuer de sourire, d’aimer et faire comme si tout allait bien, notre coeur est déchiré.
    Elle doit être fière de ce que vous faites pour les autres. Merci.
    Je pense à vous.
    Une maman

  93. Marguerite VINCENT dit :

    Cher Docteur Rueff,
    C’est avec les larmes aux yeux que je me joints à toute la communauté pour vous soutenir dans la peine et la douleur de la perte de Valentine.
    « Un être qui pleure la perte d’un être cher est fragile… Prenez soin du vôtre en ces moments difficiles. »
    Mes plus sincères condoléances.  
    Marguerite

  94. lucienne dit :

    grand merci
    Tout L’Amour
    Lucienne

  95. jean-christophe dit :

    je suis triste et si je pouvais prendre un peu plus de votre douleur, je le ferai. je vous suis reconnaissant de l’intensité que vous mettez dans vos lettres.

    « Bien que rien ne puisse ramener le temps

    De l’éclat de l’herbe, de la splendeur des fleurs

    Nous ne nous lamenterons pas,

    Mais puiserons des forces dans ce qui en subsiste ».

    William Wordsworth (1770-1850)

    bon courage

    amicalement

    jean-christophe

  96. Rémi J. dit :

    Ce texte émouvant appelle respect, recueillement et compassion.
    Au delà de l’éminent Docteur, j’adresse des pensées chaleureuses à l’homme « de Cœur »…

  97. FRANCOIS Dominique dit :

    Bel hommage d’un papa à sa fille.
    Rien à ajouter ; le temps passe, on ne le maîtrise pas, et chaque seconde doit être appréciée.
    De tout coeur avec vous, et encore merci pour toute votre empathie pour vos lecteurs, par vos conseils, précieux et éclairés.

  98. Courtillot-Moreau dit :

    Monsieur,
    J’aime beaucoup vos lettres, professionnelles, pédagogiques et généreuses par le partage de vos connaissances.
    Cette lettre, que vous n’auriez jamais dû avoir à écrire, donne à voir l’homme blessé, cisaillé, en ce qu’il a de plus cher ! Et de votre douleur, vous faites un partage, pour aider chacun de nous a mieux se situer et surtout à mieux aimer. Toute ma compassion vous accompagne… et à lire les messages qui vous sont adressés, je vois beaucoup de consciences dans le même état d’esprit que moi : gratitude et compassion … et la belle personne que fut votre Valentine, qui s’est réalisée en Madame Kim, à travers vous, aide chacun.ne d’entre nous.
    Bon courage : vous nous faites l’immense don de votre souffrance intime pour nous faire grandir.
    Merci et respect. Valentine vivra dans chacun de nos gestes d’humanité.
    Françoise

  99. Granchère Réjane dit :

    Bonjour cher Docteur,
    Votre lettre émouvante, courageuse m’a énormément touchée. C’est une terrible épreuve que le décès d’un enfant.
    Merci de vous être ainsi ouvert, votre lettre donnera très certainement à réfléchir à de nombreuses personnes.
    Je suis de tout cœur avec vous, vous qui m’avez tant aidée.
    Mes plus sincères condoléances.

  100. W dit :

    Bonjour M Rueff,
    La perte d’un enfant est la pire chose qu’un parent puisse vivre; Vous avec fait preuve d’un grand courage pour écrire cette lettre. Malheureusement, nous commettons tous des erreurs vis à vis de nos enfants, elles peuvent être énormes ou moins importantes; C’est la douleur que nous portons avec nous. Dimanche dernier encore ma fille de 33 ans m’a dit: »Maman, je ne t’en veux plus ». Elle avais formulé ces paroles il y a longtemps déjà, du moment où j’ai pu reconnaître mes erreurs. Certes, c’est réconfortant, mais ma douleur est toujours présente. c’est la douleur que beaucoup de parents portent en eux.
    J’ai la chance d’avoir mes enfants en bonne santé, j’en suis reconnaissante mais ça peut basculer pour chacun de nous à tout moment, comme c’est arrivé chez vous;
    Je vous souhaite beaucoup d’amour de votre entourage pour vivre cette période très douloureuse.
    J’en profite de vous dire que j’aime beaucoup votre lettre de santé, je la préfère des autres. J’espère que vous arrivez à continuer votre activité.
    Joséphine W.

  101. Claudine H. dit :

    Bonjour ,
    Je vous souhaite toute la force et le courage nécessaires pour traverser ces moments de vie si difficiles à vivre . Hélas, il n’y a que le temps qui puisse apaiser ces profondes douleurs …. Puissent tous ces témoignages de compassion vous apporter un peu de soutien . Que les larmes qui coulent vous soulagent de tous vos regrets, votre lettre est un beau message d’amour à Valentine .
    Qu’elle repose en paix …….

  102. Pascale LG dit :

    Très chaleureuses pensées à vous.
    Merci pour cette leçon de VIE.

  103. Buttin Jeanine dit :

    Bonjour Dr Rueff

    Merci d’avoir partagé votre souffrance avec nous. Votre fille était une belle âme c’est je crois la seule chose que nous devons retenir lorsque les meilleurs nous quittent.

    De tout coeur avec vous,
    Jeanine

  104. Jahl dit :

    Merci pour ces confidences intimes, je vous envoie de la force et la foi qui sont en moi pour la traversée de cette tempête. Et à Valentine les meilleurs vœux d’amour et de continuation sur son chemin au-delà de notre vue.

  105. Odile dit :

    M. Rueff,
    Votre lettre découverte, si touchante et bouleversante. Un magnifique hommage à votre fille, Valentine. Ce si joli prénom, et cette si merveilleuse personne qu’elle fut et restera dans tous les cœurs aimants. Elle a été créative, artiste, prodiguait du bonheur en partage!
    Une théorie thibétaine exprime que tout enfant conçu est l’incarnation d’une âme qui choisit son milieu pour apprendre, grandir, évoluer et progresser. Chaque mort serait séparation du corps et de cette âme qui libérée et enrichie de sa vie, de son expérience, repartirait en quête d’une autre incarnation pour poursuivre son évolution vers le bonheur et la sagesse en progrès toujours.
    J’affectionne cette théorie apaisante car elle tente d’ôter je crois à tout parent, les multiples culpabilités dont ils s’affligent et à tout enfant d’éventuels ressentiments, pour ne retenir que l’amour que chacun essaie plus ou moins adroitement de transmettre pour accompagner la vie.
    Nous sommes tous si loin de la perfection, et faisons chacun avec les moyens dont nous disposons. Nos erreurs sont inévitables et nous enseignent chaque jour aussi. C’est ainsi.
    Ne retenons que l’amour. Même imparfait, il nous sauve, il nous guide, et alimente nos partages sous toutes leurs formes.
    Admirative de tout les témoignages qui vous ont été envoyés, retours de votre immense générosité, de votre ouverture, de votre infinie et si douce humanité.
    Je vous adresse toute ma sympathie, en espérant avoir allumé une petite flamme éclairante qui vous réchauffe.
    Bien à vous, vous remerciant pour votre travail, pour vos partages… je vous envoie mes énergies les meilleures ainsi qu’à vos proches, qui vous aideront j’espère sur vos chemins chacun.

  106. Pierre Varin dit :

    Merci Dominique pour ta sincérité et ton honnêteté d’homme de coeur. Cela nous aide à focaliser sur le vrai traitement de la santé : l’amour que l’on donne et que l’on reçoit. Garde précieusement le bon souvenir de ta fille et qu’il soit le médicament qui maintient ton humanité.

  107. Lilyane Debrauwer dit :

    À vous.. Émue aux larmes.. je suis dans le milieu artistique, nous sommes ( presque ) tous,des hypersensibles, je le suis..et pas facile à gérer. Je suis aussi,une maman, j’ai,aussi été absente, quand on fait partie d’une compagnie (Danse), tous les jours,nous sommes au travail, nous sommes des passionnés , et on ne voit pas toujours ‘ l’envers du décors ‘, on court entre les répétitions, les enfants,les courses ect..Quand,j’ai arrêté la scène, je suis allée ,vers l’enseignement,encore tous les jours au studio, de 16h30 à 21 h.. c’est une nounou, qui prenait en charge mes filles,( le papa étant absent ,la semaine (travail,à 80 km).quand,je rentrais, elles étaient endormies… Elles n’ont, un jour, quand,elles avaient ,entre pour les unes 32 et 36 ans, lâché ,dans une discutions:: Tu n’étais jamais présente .. sur le coup, je n’ai pas compris, bien des mamans travaillaient aussi,ai-je expliqué . , Après une introspection sur le ,moi Maman ,j’étais face à mes ‘ lacunes ‘.. très peu de câlins, de jeux ,de promenades ensembles,de démonstrations , de mots d’amour, Dieu sait,combien je les aime, elles sont ma vie.. Petites je leur faisais ,plein de câlins, de bisous, disant sans cesse ,je t’aime si fort..et vers 10 ans, le ‘ arrête ‘,on est plus des bébés,quand ,je les prenais dans mes bras..j’ai bloqué et je n’ai plus osé. (nous avons tous,un passé d’enfance..)Il a fallu, du temps,parler,et se retrouver enfin. Nous faisons tous des erreurs….J’ai ‘perdu ‘ comme beaucoup de personnes, des proches ,mari, frère,neveu….. Mais ,la pire des choses qui puisse nous arriver, c’est de perdre un enfant. Docteur Rueff, je vous prèsente,mes très sincères .condoléances.

  108. Lilyane Debrauwer dit :

    Un grand Merci,pour ‘ vos lettres’,et conseils ,qui nous font du bien.

  109. RADOUANE dit :

    Beaucoup d’émotion en lisant votre lettre. Toutes mes condoléances. Prenez soin de vous et de ceux qui restent auprès de vous, en particulier la grande sœur de Valentine. Nous continuerons à vous lire avec beaucoup de plaisir et grand intérêt.
    Courage,
    Claire

  110. Claude dit :

    Votre grande humilité dans la douleur m’a profondément ému. Ma fille, à 25 ans, a fait un cancer et a frôlé la mort. Je peux entrevoir votre peine immense. Je sais que votre fille vit dans une autre dimension. Soyez attentif, elle vous donnera des signes sous une forme ou l’autre. La vie ne s’arrête pas à la mort du corps. Lisez les livres de votre confrère Jean-Jacques Charbonier. Gardez l’espoir de la retrouver. Courage.

  111. Jean-Paul dit :

    ce témoignage émouvant est une belle leçon de vie
    Pour mes enfants, moi aussi, j’ai eu des manquements, des pudeurs , souvent , je m’interroge, comment ressentent ils l’éducation et l’amour que je leur donne, et que je leur ai donné lorsqu’ils étaient petits , je n’ose pas en parler avec eux.

  112. Pierre-Yves DACHEUX dit :

    Bonjour Dr Rueff,
    Je lis avec beaucoup d’intérêt vos lettres et j’ai déjà modifié certaines de mes habitudes d’alimentation en conséquence, en ressentant après des bénéfices très nets.
    J’ai lu avec beaucoup d’émotion votre lettre, d’autant plus que ma fille aînée m’a accusé récemment de n’avoir pas été un bon père. Le travail, mes activités associatives, ont fait que je n’étais pas assez présent.
    Perdre un de ses enfants est sans doute une des épreuves les plus douloureuses qui soient. Je comprends aussi qu’il a dû être très difficile d’écrire ce texte, mais je pense que çà vous aura fait du bien aussi.
    Je ne peux que m’associer à votre douleur et vous souhaiter de tout coeur bon courage.
    Votre fille doit apprécier, là où elle est maintenant, que vous ayez écrit ce texte.

  113. Nicole Mignot dit :

    Monsieur, les mots sont impuissants. Étant moi-même musicienne, je vais ce soir interpréter La pavane pour une infante defunte, en concert. Ravel….quoi de mieux ? Je dédierai cette oeuvre à votre fille. La musique saura la trouver, dans son voyage, et l accompagner. Avec toutes mes pensées. Nicole.

  114. Gosselin dit :

    Merci Docteur Rueff , pour cette merveilleuse lettre , pleine de sensibilité et de générosité . Merci de penser à notre bonheur , au creux de votre peine . Oui, nos plus grandes douleurs nous ramènent à l ‘ essentiel , à ce qu’il est vital de ne pas oublier . La Vie nous ouvre le coeur au scalpel.
    Votre fille continuera de vous accompagner , sans aucun doute … .

  115. Selva dit :

    Magnifique témoignage plein d’emotion et de vérité. Beaucoup s’y reconnaîtrons je pense. Bon courage Dr Rueff et que votre sagesse et humanité vous aident

  116. chahrazed dit :

    La mort n’est qu’une continuité de la vie et pourtant quand elle nous sépare des êtres chers elle nous met face à nous même ,à notre impuissance et notre « petitesse »,à notre culpabilité .
    Il m’a fallut cinq ans et une dépression aprés la mort de ma mère en 2015 suite à une embolie pour comprendre que je n’aurais rien pu faire pour la retenir,que j’ai fais ce qui était en mon pouvoir ,j’ai sacrifié enfance ,jeunesse pour l’assister dans l’éducation de mes frères et soeurs que je dépassais de 2,3,5,6 ans et plus tard en jonglant entre mon foyer et elle pour la ménager de tout ce qui pouvait la fatiguer ou la stresser mais quand son heure de partir a sonné ,j’ai eu la sensation qu’elle m’a claqué la porte au nez parce que j’ai réalisé que j’ai eu une mère à qui je n’ai jamais su dire combien je l’aimais et elle non plus d’ailleurs et un tourbillon de culpabilité,de frustration et de souffrance qui s’est enclenché pendant des années jusqu’à ce que petit à petit et un immense travail sur moi me fait rencontrer le chemin de l’apaisement et voilà qu’en lisant votre lettre je me revois ,vous comprends et compatis à votre souffrance .
    Dites vous que vous n’auriez rien pu faire pour la retenir son heure a sonné ,sauf que c’est dur pour les parents de voir leurs enfants partir avant(j’en ai fais l’expérience),en tant que parents ,on a tous fait des erreurs,il n’y a pas de parents parfaits ,on apprends sur le tas et les conditions de nos vies nous imposent certains choix et certains comportements .
    Alors redressez-vous ,levez la tête et dites vous que vous avez fais du mieux que vous pouviez selon les conditions du moment,le chemin de la résilience est peut-être long et douleureux mais il y a toujours une porte d’apaisement tout au bout vers laquelle on avance en s’armant de patience et d’acceptation.
    Merci de nous avoir partagé votre peine et nous avoir introduit dans l’intimité de votre douleur,revenez nous vite.

  117. ,,roux Elizabeth dit :

    Cher Ami de peine
    Ayant vécu ce même drame je me permets de vous témoigner toute ma compassion et l énergie qu ‘il faut pour garder la tête hors de l’eau!! mais en même temps c ‘est une grande leçon de vie qui fait réfléchir et l »appréhender autrement ,Même si ç est en dehors des codes de bienséance je vous embrasse fraternellement .

  118. Jenny Andries dit :

    Je vous présente Dr Rueff mes très sincères condoléances . Courage à vous . Un grand merci pour vos conseils . Bien à vous
    J De Meyer Andries

  119. Reimbau dit :

    Simplement un immense sentiment de compassion ( souffrir avec). Que tous les témoignages de sympathie soient comme un baume sur votre douleur. Aujourd’hui quelques flocons : j’ai fait un voeu :que toute la terre soit dans la joie. Et mille gratitudes pour tout ce que vous nous apportez. Continuez

  120. Danièle Assenare dit :

    Paix Amour Lumière !

  121. Jeanne Marie Lefebvre dit :

    Un grand merci à vous M. Rueff pour avoir eu le courage de nous faire partager votre douleur. Sachez qu’en la partageant ainsi, sans avoir connu Valentine, je l’ai rencontrée et pu apprécier toutes les belles qualités qu’elle avait. J’ai pu moi aussi m’associer à votre douleur et puisse ceci mettre un léger baume sur votre plaie et vous aider à traverser cette période difficile,…Merci pour tous vos conseils de père et parent que je partage totalement. L’amour de parents vis à vis de chacun de leurs enfants devrait être inconditionnel, quelque soit le parcours de vie que chacun d’eux entreprend.
    Continuez de nous envoyer vos belles lettres toujours si pleines de conseils pratiques dont je tiens compte régulièrement. Comme Valentine était fière d’être elle et vivait sa pleinement sa vie, continuez de vivre pleinement la votre à votre façon et d’être vous-même. Elle vous aidera et sera fière de vous, de là où elle repose en paix.
    Jeanne Marie

  122. Laurence dit :

    Cher Docteur Rueff,
    Je ne manque jamais vos lettres remplies de conseils que je m’efforce de mettre en oeuvre.
    Celle-ci m’a particulièrement touchée de part son côté très personnel. Je vous présente mes plus sincères condoléances.
    Les chats soulagent les tristesses et nous protègent avec leurs regards nobles et reluisants. Celui qui connaît le caractère d’un chat sait que la connexion est plus intime et profonde. N’hésitez pas à vous rapprocher des chats de votre fille … Courage

  123. Levi dit :

    Bonjour Monsieur,
    Un grand silence chargé d’amour, après votre partage oh combien humain.
    Avec toute ma plus profonde compassion.

  124. Delmon dit :

    Dommage qu’il faille une telle souffrance pour dire de si belles paroles . Un enfant qui perd un parent devient orphelin.
    Que devient un parent qui perd un enfant ?
    Merci de votre douleur. Recevez la mienne .

  125. Patel Nasreen dit :

    Bonsoir, je suis touchée par votre lettre concernant la mort de votre fille. Ça me fait réfléchir. J’aurais aimé savoir comment vont les chats de Valentine. J’espère de tout mon cœur que les ami(e)s de Valentine les ont adoptés, et qu’ils nont pas été abandonnés !

  126. Valérie dit :

    Bravo et merci du fond du cœur pour votre douloureux témoignage. Courage, je reste en pensées avec vous.

  127. MARGAILLAN dit :

    Très cher Monsieur Rueff,
    Votre message est bien triste ce matin, rien n est plus dur que de voir partir l un des siens, sans avoir pu lui dire au revoir, le serrer une dernière fois dans ses bras et lui dire  » je t aime  » . Mais au final, cela est dur pour celui qui reste , car ceux qui partent le savent une fois arrivés dans ce dernier voyage qui est celui de la  » mort  » . Mais nous ne mourrons pas, nous renaissons à nouveau . Il y a une vie après la mort, tout est juste ….
    Votre fille sera toujours avec vous… Bien entendu. Elle vous enverra des messages…
    Rester humble, cher Monsieur, bon courage . Martine

  128. Suzanne Yang Ting dit :

    Cher Docteur,

    IL n’y a pas de mots pour réconforter dans cette situation. Mais sachez, que l’amour que vous avez donné à votre fille, même épisodique, l’a nourri et réconforté dans sa vie.

    Je crois fermement qu’avec la mort, tout n’est pas fini. Si non, la vie n’aurait pas de sens. Valentine continue son chemin, beaucoup plus librement qu’ici bas, et elle veille sur vous et sa famille, car elle sait que l’amour est éternel, et la seule chose qui a de sens.

    Je prie pour elle

    Bien à vous

    Suzanne

  129. Mizzi GROGNO BOUJJAR dit :

    Merci d’avoir partagé ce beau texte en mémoire de votre fille. Je vous souhaite beaucoup de courage. Je vous transmets une pensée des pensées du grand philosophe OSHO.

    « Un seul moment de savoir la réalisation que vous êtes seul – seul à frayer votre chemin, seul à créer votre chemin, seul à être en charge de vivre, seul à être impliqué dans le moment – peut vous pénétrer et la société disparait. Vous êtes seul. »
    « Il n’y a pas de guru maintenant, il n’y a personne à suivre. Il n’y a pas de chef, il n’y a pas de guide. Vous êtes seul; vous êtes la solitude. Il n’y a personne pour frelater ou pour condamner cela. C’est tellement pur, innocent et beau. Cette solitude est le chemin, cette solitude est la méditation, cette solitude est le yoga. »

    Osho, The Great Challenge, Talk #1

    PS: J’ajoute que je crois que le métier de « Parent » est le plus difficile qui existe. Dommage, personne ne nous enseigne vraiment comment exercer ce métier…

  130. Barnett dit :

    Sincères condoléances. Je m’associe à votre peine et vous souhaite beaucoup de courage dans ces douloureux moments . Cette lettre est un magnifique hommage à votre fille; et une leçon de vie pour tous ceux qui vous lisent . Puissent tous ces témoignages vous apporter un peu de réconfort, et surtout la force de continuer .

  131. Bodineau Marie Thérèse dit :

    Il suffit de voir le nombre de messages pour comprendre que votre pudeur a su toucher tous ceux qui vous ont lu.
    Nous restons sans voix devant ces malheurs mais vous resterez debout avec le courage qui vous caractérise.
    Les souhaits sont impuissants et je vous dis simplement merci.

  132. eva dit :

    Très bel hommage que ce cri d amour !!
    Valentine doit être fière de son papa.
    Bon courage

  133. Martine Lequitte dit :

    Je reste sans voix face à votre détresse .
    Je vous envoie des pensées de réconfort et de soutien .
    Martine .

  134. Nadine Redhon dit :

    C’est avec une grande tristesse que je lis votre message. Je suis abonnée à votre lettre-que j’apprécie beaucoup- depuis plusieurs années déjà et, par ce biais, ai l’impression de vous connaître un peu. C’est très triste mais c’est aussi un très bel hommage dans lequel chaque parent peut se reconnaître avec ses « grandeurs » et ses « manquements ».
    Avec ma sincère compassion.

  135. Patrick dit :

    Toutes mes condoléances

  136. Daniel Branger dit :

    Cher Docteur, Monsieur Dominique Rueff,

    Je compatis à votre terrible peine et, en tant que pasteur, je vous assure de mes prières, demandant à Dieu de vous apporter apaisement et pleine consolation.

    Sachez en outre combien j’apprécie la qualité et le sérieux de vos articles, choses qui ressortent dans ce dernier message empreint de la droiture et de l’humilité d’un homme bon et généreux…

    Recevez, cher Docteur, mes très chrétiennes et respectueuses salutations.
    Daniel Branger

  137. Grimi dit :

    Cher Dr Rueff je lis avec beaucoup d’intérêt vos lettres a chaque parution je suis de nature discrete et je m’exprime rarement de cette facon ,la lettre a Valentine m’ a touchee au plus haut degres ´je suis mere de 3grands enfants et grand-mere et arrire grand mere j’a appris en juillet 2019 que mon aine etait atteint d’un cancer …j’ai etee devastee . Il va mieux sans avoir voulu des therapies chimio etc. Mais tratements naturels .alors ce qui vous touche est terrible et je vous transmets toute mon affection et sympatie .je voudrais juste vous dire.. Que j’ai vu ces jours -ci le film-documentaire THANATOS. Fait par le DrCharbonnier de la Timone (marseille) et ela m’ a beaucoup reconfortee. Tout mon amour vous accompagne dans cette epreuve. Meme si on ne se connait pas de visu Courage

  138. evelyne ketterer dit :

    Merci,
    Merci de la confiance que vous nous témoignez en partageant votre émotion. Merci de ressentir le besoin de créer du lien et de contacter notre humanité dans ce contexte de dérive sociétale que nous vivons aujourd’hui, qui met notre émotionnel et notre volonté en berne. Nous avons tous besoin de parler de ce qui nous arrête ou nous fait avancer et surtout de casser l’isolement. Mes pensées de soutien vont vers vous.

  139. Simhon dit :

    Je suis extrêmement touché par votre lettre
    Quelle belle et triste lettre
    MERCI !!

  140. Dina PALTARZHITSKAYA dit :

    Mes sincères condoléances.
    Bon courage.

  141. RIFFET Elisabeth dit :

    Valentine ne pouvait que vous aimer c’est sur.
    Je suis de tout cœur avec vous , courage, pensées affectueuses.

  142. Marie-Paule DUCOURTIL dit :

    Monsieur,
    je lis depuis longtemps votre lettre et j’y apprécie votre bon sens médical. Aujourd’hui, c’est l’homme, le père blessé qui parle, se met à nu avec courage, essaye d’exorciser ses erreurs et espère par ces mots touchants que d’autres parents comprendront que l’Amour est primordial. La vie « courante » au sens littéral , épuise les parents qui font ce qu’ils peuvent ….et ce n’est pas facile ! Se centrer sur les valeurs fondamentales , un idéal que l’on découvre à posteriori quand le brouillard et la fureur de la vie, se dissipent avec l’âge.
    Je vous admire d’avoir eu le courage de vous mettre à nu sans concession , avec une lucidité éblouissante. Un témoignage poignant . Merci.

  143. Betty Gaurel Moreira dit :

    Je ne sais que dire face à la douleur que vous éprouvez, il n’y a pas de mots qui puissent consoler. Je vous sers très fort dans mes bras.

  144. Thérèse PÉGUIN dit :

    Merci Dominique pour ce partage ! Bonne route avec Valentine, d’une autre manière…

  145. Vanderlynden dit :

    Recevez toute la sympathie et tout le soutien d’une fidèle lectrice, Monsieur Rueff. Je vous présente mes sincères condoléances.

  146. Dalle Jo dit :

    Valentine, ma fille

    à Dominique RUEFF.

    J’ai été profondément happé par votre texte « Valentine, ma fille ».
    Touché aux tripes par votre témoignage, je vous remercie de l’avoir partagé avec vos amis. Je suis certain que beaucoup y trouveront le tonus pour surmonter des soucis de ce genre ainsi que des conseils bien étayés. Bravo et MERCI ! Bien cordialement. Jo Dalle (59)

  147. Bernadette DE LA PANOUSE dit :

    Merci Docteur pour votre bouleversant témoignage. Ayant perdu ma fille il y a presque 4 ans alors qu’elle n’avait que 22 ans, je sais combien cette épreuve est la plus terrible dans une vie. Ma fille était épileptique et ce sont les médicaments qui l’ont tués : elle a fait une embolie pulmonaire. Le comble pour nous parents qui sommes adeptes de « vie saine » comme l’on dit ! Courage à vous, je suis de tout cœur à vous. Se tourner vers les autres comme vous le faites avec vos enseignements est une des meilleures thérapies. Pour ma part, je m’occupe de personnes porteuses d’un handicap et j’écris, entre autres, des poèmes à Ambre, cela me permet de continuer cette vie terrestre. Merci pour tout ce que vous nous apportez et je suis sûre que nos filles dans l’au-delà sont dans la lumière car elles avaient un cœur rempli d’amour.

  148. Eliane dit :

    Cher Docteur,

    Je suis profondément bouleversée par votre témoignage et même si j’ai choisi de ne pas avoir d’enfants, j’imagine quelle douleur est la vôtre comme celle de tout parent face à la mort de son enfant. Vos remords sont le signe de votre humanité car malgré tout, votre fille vous aimait, comme vous l’aimiez, chacun à votre façon, imparfaitement, avec vos limites personnelles et cet amour lui, subsiste et vous relie par-delà la mort.
    Merci d’avoir eu le courage d’exposer ainsi votre désarroi. Tous ceux qui vous lisent et apprécient votre sincérité et votre empathie savent que cette nouvelle épreuve vous rendra encore plus proche d’eux comme de vos patients.

  149. Chantal Choux dit :

    Merci cher Docteur pour le partage émouvant de votre épreuve terrible de Père aimant.Merci aussi pour les précieuses informations nutritionnelles que vous nous donnez généreusement depuis des années et qui nous servent à être en meilleure santé.Vous faites de votre mieux pour que le monde soit plus harmonieux .Vous êtes dans l’éthique hippocratique.Je vous envoie mes meilleures vibrations et toute ma compassion.

  150. Andrée Versailles dit :

    Avec quelle simplicité vous le dites, on sent toute la douleur mais ne vous sentez pas coupable , elle avait aussi sa vie à vivre. COURAGE

  151. Chesnel dit :

    Cher Dr RUEFF,
    Merci pour ce partage si bouleversant et pour tous ces bons conseils que vous donnez aux parents . Vous avez donné une merveilleuse preuve d’amour à votre fille Valentine en lui demandant pardon pour vos manquements. Avec les années qui ont passées, vous avez changé vous aussi et vous êtes devenu une meilleure personne, qui de plus prend soin de tant d’autres qui souffrent de diverses maladies ; soyez-en remercié !
    De tout cœur je partage votre douleur et vous remets entre les bras du véritable Consolateur Jésus-Christ !
    Bien affectueusement,
    Christiane

  152. Justes dit :

    15 novembre 22h 30
    Je découvre à l instant votre lettre.
    Mes pensées vont vers VOUS Docteur et vous adresse toute ma sympathie dan cette terrible épreuve.
    Courage nous sommes tous avec VOUS pour continuer à nous faire avancer.
    Merci POUR TOUT.
    ANDRÉ

  153. François Ampleman dit :

    Je suis pere de 2 enfanst, aujourd’hui âgées de 20 et 22 ans et je ne peux m’imaginer la douleur de perdre un enfant.
    Je compatis à votre douleur et je vous souhaite bon courage.
    François

  154. Abdel dit :

    Que Dieu vous donne la patience brave docteur

  155. JOUFFRET Marie-christine dit :

    Merci pour ce beau témoignage et pour tout ce que vous faites pour aider l’être humain a mieux vivre sur cette terre.
    Je suis persuadée que votre fille vous aime beaucoup et qu’elle est fière de son papa. La vie ne s’arrête pas à la mort . L’amour est plus fort que la mort. Continuez à vivre avec elle, malgré la séparation physique ; elle n’est pas très loin et elle veille sur vous.

  156. Nat dit :

    C’est un magnifique hommage. Merci Dr Rueff pour ce partage et cette confiance que vous nous faites. Votre texte m’a beaucoup touchée et nous rappelle combien il faut s’aimer à chaque instant et sans attendre la mort. Repose en paix Valentine.

  157. Josiane dit :

    Cher docteur
    Je suis votre patiente depuis plus de 20ans,j’ai partagé avec vous les difficultés de vie de nos enfants,les miens,les vôtres ,nous en parlions pendant la consultation et je vous trouvais dur et injuste cela me choquait mais cette magnifique lettre me réconcilie ,votre humilité ,votre amour enfin exprimé à Valentine,soyez certain elle l’a entendu .apres l’avoir longtemps attendu.et c’est la l’essentiel .
    Merci de m’avoir en son temps sauvée la vie,je vous suis infiniment reconnaissante.
    Je ne sais comment vous aider..à mon tour si ce n’est de vous dire que vous êtes simplement humain et apprécié par tous et que vous avez une place particulière dans mon cœur

  158. Ophélie Pannetier dit :

    Merci merci de partager ce moment très important avec nous. J’ai eu la chance de connaître une EMI et je sais que votre fille est désormais dans l’amour.
    Il n’y a pas d’examen pour devenir parent…alors on bricole avec notre propre passé et nous ne sommes pas toujours responsables de tout. On essaie de faire avec ce qu’on a. A travers vos lettres Docteur vous essayez de faire au mieux pour nous tous. Et aujourd’hui je me sens un peu votre fille. Et je sens que vous êtes un très bon père. ..
    Merci Valentine d’avoir ouvert la voie du cœur de votre Papa.

  159. Josette dit :

    J ai lu votre lettre,

    quelle tristesse d’avoir perdu votre fille .
    Vous avez raison de dire que les parents sont fait pour s occuper et aimer leurs enfants, sinon cela à des répercutions sur leur vie, j’ai moi meme souffert d un manque de soutien parental. A cause de cela nos vies prennent souvent des directions à l opposé , être artiste en fait souvent partie …Et j ai fait tout le contraire avec mon fils.
    Et mes animaux remplissent dans ma vie ce manque d amour …En plus aujourd hui , la vie dans la société que les humains ont fabriqué n est hélas plus tellement compatible avec l’ amour , les soins , l attention et le temps nécessaire que les parents devraient consacrer à leurs enfants ,c est la société et le besoin d argent qui existe cela. beaucoup d enfants aujourd hui sont ballottés et doivent ce construire dans ces situations …
    Je comprends votre douleur , perdre un enfant n est pas le sens normal de la vie , je pense aussi à monsieur Patrick jardin dont la fille Nathalie est morte au bataclan ,il ne s en remet pas…On ne se remet pas de cela ,il faut vivre avec cela…Je pense à vous et à tous les parent qui ont perdu un enfant. recevez tout mon respect .
    Merci pour tous vos bons conseils concernant la santé, car la santé est la chose la plus importante dans la vie ,pour nos enfants , pour notre entourage, et pour nous .

  160. Danielle dit :

    Bravo d’avoir su partager votre douleur aussi avec des inconnus. Rien n’est pire que la solitude et l’indifférence dans lesquelles nous plonge le monde environnant pour qui, c’est évident:  » la vie continue » . Pour eux, peut-être. Pour ceux qui sont dans la séparation, c’est une vie autre, nouvelle, qui commence, qu’il faut gérer et c’est bien là l’espoir de pouvoir continuer au côté de ceux qui nous restent chers.

  161. Danielle RUDRAUF dit :

    Cher Docteur Rueff,

    Je lis toujours avec beaucoup de gratitude vos lettres qui permettent de se sentir accompagné avec justesse et sensibilité dans notre vie.

    Cette dernière lettre où vous vous montrez de façon si intime, où vous exposez de façon si touchante votre douleur et vos regrets, ne peut que profondément toucher vos lecteurs et je vous remercie de cette leçon de courage et d’humilité que vous nous donnez.

    Je rejoins ceux qui soulignent l’amour existant entre vous et votre fille, vous fier d’elle, elle fière de vous, et je vois que vous lui avez donné, même à l’époque, suffisamment d’amour et de sécurité pour qu’elle puisse croire en elle, exprimer sa sensibilité, trouver sa place bien à elle. Vous avez été un bon père, ou si vous préférez un père « suffisamment bon » pour que ceci soit possible. Et vous avez été très près d’elle avec votre lettre lui demandant de vous pardonner. Quel exemple vous donnez à tous les parents !

    Merci de votre ouverture, merci de vos conseils sur les relations à avoir avec son enfant, j’espère que vous serez entendu et suivi.

    Bien à vous dans cette épreuve,

    Danielle Rudrauf

  162. Juliette DUPUY dit :

    Bonjour Docteur Rueff,
    Je vous remercie tout d’abord pour toutes ces informations données concernant la santé, c’est un grand investissement et un grand « cadeau » que vous faites à tous ceux et toutes celles qui se sentent concernés.
    La mauvaise nouvelle est d’apprendre ce qui vous est arrivé, vous touchant au plus profond de votre être!
    Que faisons nous dans ce Monde ? Je suis de la génération de 1942 dans laquelle on m’a appris : le respect des autres, la valeur du travail et ce à quoi j’assiste aujourd’hui, me révolte! Laisser le MONDE dirigée par une Minorité de « puissants » et faire du restant de la planète des handicapés du travail, de la consommation, des esclaves dont on ne respecte pas le droit d’être LIBRES!!! Le mot liberté est « galvaudé » de nos jours, l’égalité également, seule la FRATERNITÉ à encore quelques échos, c’est à cela que le monde doit s’atteler aujourd’hui afin de faire changer les choses.

  163. Bernadette dit :

    Cher docteur Rueff
    Merci et félicitations pour votre courage. Merci aussi pour ce message que je ne manquerai pas de faire connaître à mes enfants et petits-enfants, il est tellement beau et riche ! Docteur Rueff, je suis confiante que nous avons une autre vie dans l’au-delà. Vous reverrez les êtres que vous aimez. Merci encore et courage.
    Je prie pour vous

  164. Francoise Million dit :

    Très touchée par votre message, je vous remercie de ce partage, comme de toutes vos lettres que je lis toujours avec grand intérêt. Etre parent est le « métier » le plus difficile. Vous avez le courage et l’humilité de le reconnaître. Puissiez-vous maintenant trouver la paix et la sérénité, la sagesse que finit par nous donner notre expérience de vie.
    Je vous envoie mes sincères pensées attristées mais positives néanmoins.

  165. marie dit :

    Cher Dominique, votre lettre devrait être transmise à tous ceux qui veulent » avoir ou faire  » des enfants dans un monde aussi matérialiste.
    Quel courage vous avez là. Il portera ses fruits, j’en suis persuadée, auprès de ceux qui sont touchés comme vous… comme moi…

  166. Claude RUEZ dit :

    Bonjour Monsieur,
    Depuis de nombreuses années, je suis très heureux de lire votre parole.
    Je vous dis simplement courage et continuez votre mission.
    Bon courage Claude

  167. Roger dit :

    Bonjour ,

    Je n’ai rien réussi de particulier dans ma vie . Et ça m’est bien égal . Par contre le plus important pour mon épouse et moi-même , c’est que nous sommes vraiment occupés de nos enfants . Nous les aimons , non pour ce qu’ils font , on s’ en fout . Mais pour ce qu’ils sont , c’est à dire de belles personnes.
    Votre lettre est pleine de sagesse et d’enseignement .
    Ne culpabilisez pas , car Valentine a vécu la vie qu’elle devait vivre et rien n’aurait pu être différent .
    Bien sur , l’amour est la clé . Si la société va mal c’est du a un manque d’amour . Le vrai , pas le possessif….
    Avec vous de tout coeur!

    Roger

  168. Micheline Béliveau Bertschmann dit :

    Merci de cette lettre si poignante. Il faut beaucoup de courage pour fiare ce que vous avez fait. Vivez en paix, Valentine est maintenantt dans cette paix.
    Je vous envoie mes sympathies les plus sincères. J’ai perdu un fils et je sais que le deuil d’un enfant est un deuil difficile.
    Courage Dr Rueff!
    Micheline

  169. marydo dit :

    Merci Dr pour cette lettre si émouvante, touchante, où vous nous partagez votre chagrin et vos émotions… merci de cette confiance et aussi de ce geste si naturel.
    Bien sûr que chacun dans sa vie passe par de douloureux moments, et certains qui vont contre la logique de la chronologie, on peut dire, je connais cela, et tout ce que je pourrais vous dire, ne sera que décalé par rapport à vos émotions… Le temps est le grand adoucissant dans ces cas et je vous souhaite de « digérer » ces blessures et de trouver la sérénité, ne serait-ce que par le soutient de vos proches mais aussi de tous ceux avec qui vous communiquez, dont je fais partie; je vous souhaite la paix et l’harmonie, malgré tout.
    Bien sincèrement, Marydo

  170. Muriel Tisserand dit :

    bravo M. Rueff, d’avoir eu le courage d’écrire cette lettre magnifique qui m’a bouleversée. Il n’est jamais trop tard pour renouer avec les membres de sa famille même s’ils ne sont plus présents. Vous avez fait exactement ce qu’il fallait, reconnaître que parfois notre vie nous emmène vers des chemins que nous n’arrivons plus à suivre et surtout partagé cette leçon de vie pour vous même mais aussi pour tous les autres pour qu’ils se reconnaissent à temps.
    Le plus difficile a été d’ouvrir votre coeur et grand merci plein de reconnaissance et d’amour pour ce partage . Gardez le sourire et la confiance en la vie .
    Muriel

  171. Celine dit :

    Quelle leçon de courage vous nous donnez.
    Merci de nous rappeler de chérir l’essentiel, lorsque chaque jour l’on se perd dans nos priorités

  172. Marie-ChristineP dit :

    Cher monsieur….
    Tres touchee par votre lettre, je ne peux qu’offrir que de vous accompagner sur ce chemin…a vos cotes par la pensee et la priere..

    Je me permets,sans offenser personne,de vous dire que j’offrirai l’Eucharistie de demain pour Valentine .Qu’Elle repose en paix
    Bien a vous.

  173. Juliette dit :

    Cher Monsieur merci de nous rappeler à travers cette douloureuse épreuve combien nous devons être attentifs à nos enfants, prendre le temps de les écouter et de pourvoir à leurs vrais besoins affectifs et intellectuels.
    Pris dans le maelström de la vie vous avez l’impression d’avoir failli… je ne le pense pas vraiment car d’une part votre fille a su trouver son chemin et d’autre part la bienveillance et la générosité que l’on ressent dans vos lettres ( outre les compétences) témoignent de ce que vous avez été sans doute un père aimant .
    J’aime beaucoup le poème de Kalhil Gilbran cité par une autre personne car il incite à l’humilité…
    Merci pour vos lettres car vous faites vraiment une éducation pour la santé très utile pour ceux ( nombreux) qui vous lisent
    Mes pensées amicales.

  174. Pascal dit :

    Cher Dominique
    J’ai été très ému par la lettre que vous venez d’envoyer et je souhaite vous en remercier.
    Toute parole venant du cœur éveille le cœur de celui ou celle qui l’entend ou la lit
    La vraie pudeur ne consiste pas à discriminer ce qui « se dit » et « ce qui ne se dit pas », elle consiste plutôt à se tenir, quoi que l’on ait à dire, au plus haut de soi, en appelant l’autre au plus haut de lui-même.
    L’intime de notre vie peut être partagé lorsqu’il se dit dans la légèreté de la voix du poète.
    A travers ce grand chagrin, nous devenons frères en humanité.
    Nul doute que ce ne soit la générosité de Valentine qui se prolonge aussi par votre voix.
    Pascal, en Vendée ,,

  175. marie claude colin-pasquet dit :

    Quel cri de douleur, quel cri d’amour pour Valentine
    Il n’y a , malheureusement, pas de mot pour atténuer les souffrances de la perte d’un enfant .
    Vous vous jugez avec une telle sincérité que Valentine vous a pardonné . Alors , mentalement, serrez là très fort dans vos bras car Valentine le fait aussi . L’amour que nous partageons avec nos enfants est indestructible et ce lien est pour l’éternité .
    Soyez courageux ,
    donnez nous de vos nouvelles pour nous dire comment vous allez .
    Et que Valentine continue d’être fière de son papa
    Marie Claude

  176. pic dit :

    La lecture de votre lettre m’a bouleversée .
    Elle résonne très fort en moi et me renvoie directement à mes propres ressentis envers mes enfants et petits -enfants. C’est tellement compliqué parfois de leur faire passer un message d’amour…
    Je pourrais faire un copié/collé du message de marie claude colin-pasquet, ci-dessus.
    Une de mes filles me répète que c’est elle qui m’a choisie alors peut être que Valentine , elle aussi, a fait le choix qu’elle devait. Elle vous aime autant que vous l’aimez.
    Ghislaine

    Ghislaine

  177. Manon dit :

    Cher Docteur Rueff,
    C’est encore les yeux pleins de larmes que je voudrais vous dire combien m’a touchée votre lettre et surtout ce message d’amour à Valentine. Son poëme sur Facebook lui ressemble tellement (après avoir lu ce que disiez d’elle)…qu’elle repose en paix et qu’elle vous apaise aussi de là où elle est. Car elle est dans la Lumière. Moi aussi j’ai traversé cette épreuve il y a quelques années…
    Je suis croyante et je vais prier pour le repos de Valentine et pour que votre cœur soit réconforté.
    De tout cœur, avec vous Cher Docteur.

  178. RIERA dit :

    Bonjour Monsieur.
    Mes parents se sont fait faucher par un chauffard (49 et 54ans), j’avais 26 ans, cela a été un cataclysme. Ils n’ont pas su m’aimer et, je pense, n’ont pas été aimés eux-mêmes. Je n’ai pas eu d’enfant de peur de ne pas savoir leur donner cet amour non reçu et sachant l’enfer que cela peut générer (boulimie, tentative de suicide, mauvais choix de compagnons, colère, brutalité etc).
    Ne faîtes pas d’enfants (nous sommes assez nombreux sur Terre… ), si vous n’êtes pas en mesure de leur apporter tout l’Amour et le bien-être qu’ils méritent car, a leur tour, pour la plus grande partie d’entre eux, ils aurons une vie difficile et perturbée.
    Ma vie a été une succession d’erreurs et de déséquilibre (boulimie, tentative de suicide, fréquentations d’hommes violents, immatures, profiteurs etc).
    A u crépuscule de ma vie, j’ai compris qu’il est très difficile de donner ce que l’on n’a pas reçu (à méditer…) et ma colère s’est calmée, j’ai pardonné à mes parents et je vais beaucoup mieux mais que de temps perdu…
    Je comprends vôtre douleur et vos ressentiments , mais comme l’a dit un chanteur : « AIMONS-NOUS VIVANTS » après c’est trop tard!!!

  179. VoVanQui dit :

    Cher docteur Rueff,

    C’est avec beaucoup d’émotions que j’ai lu votre lettre.
    A vrai dire, je me suis un peu retrouvée dans vos mots de regrets.
    Le deuil inattendu qui vous frappe m’émeut profondément.
    Permettez-moi de vous dire que je partage votre peine.
    Je vous remercie pour tous vos conseils précieux et bienveillants que je lis toujours avec plaisir et intérêt..
    Continuez cher docteur Rueff à vivre et à écrire, j’aime beaucoup vous lire.
    Affectueusement et bien tristement.

    Très cordialement,
    Sue

  180. simone dit :

    Pensées du coeur vers vous, vers votre coeur
    Puisse la Paix s’y installer
    L’amour est ce qui relie pour toujours au delà de la forme, au delà du manque..
    Merci pour vos mots d’amour, ceux d’un père aimant à sa fille.
    Puisse l’amour qui vous anime vous aider à accueillir tout ce qui vous traverse de sentiments en cette période délicate.
    Avec tendresse

  181. Rossel Eliane dit :

    Profondément touchant. Je partage.

  182. rogue dit :

    Cher Docteur,
    Votre lettre m’a beaucoup touché
    Permettez-moi d’utiliser la formule des canadiens : « avec toutes mes sympathies » en lieu et place de mes condoléances. Cette annonce m’a bouleversé. et je ne peux que vous exprimer toute ma compassion.
    Ange-Marie

  183. Françoise dit :

    Docteur,
    Merci pour cette lettre courageuse. Je partage votre souffrance. Que la Providence Divine vienne à votre aide. Union de prières.

  184. Françoise dit :

    Docteur,
    Merci pour cette lettre courageuse. Je partage votre souffrance. Que la Providence Divine vienne à votre aide. Union de prières.

  185. Serge dit :

    Dr. Rueff;

    Je suis de tout cœur avec vous et vous transmets toutes mes condoléances.

     » Si vous faites des enfants, soyez de vrais parents, sinon, s’il vous plaît, ne faites pas d’enfants.  »

    Alors, la population mondiale serait seulement de 100 millions et non 7 milliards !

    Courage et foi !

  186. Patrick gringuillard dit :

    merci

  187. Laure dit :

    Merci Docteur pour la pureté de votre lettre.
    Les mots me manquent, seul mon coeur parle pour manifester son soutien .

  188. Nibel dit :

    Y a t il des mots qui puissent adoucir la douleur???On est sans fard devant la douleur de quelqu’un qui perd un proche,je ne sais pas quoi dire!! Nous sommes des humains et chacun essaie de vivre sa vie comme il peut , j’ai perdu ma famille au carrefours un certain samedi de novembre. Jamais je n ai pu pleurer et j’attends toujours de pouvoir les verser,c’est comme si jetais anesthésiée

  189. Yahel dit :

    Cher Docteur Rueff, je suis infiniment attristée par le malheur qui vous frappe. Aucun parent ne devrait avoir à enterrer son enfant. Et à la douleur de la perte s’ajoute le regret de tout ce qui a été fait, ou n’a pas été fait. Et il faut continuer à vivre avec ça. J’espère de tout coeur que vous trouverez, au fil du temps, un d’apaisement, et pour la douleur de la perte de votre enfant, et pour ces regrets qui aujourd’hui vous taraudent.

  190. Laurence Lamotte Otton dit :

    Cher Monsieur, que vous dire ? votre témoignage me bouleverse et sonne une alarme, un appel d’amour pour nos enfants malmenés par nos divorces compliqués … comment accepter qu’ils s’en aillent payer de leur vie leur dérive dans une difficulté à se construire… vous décrivez à juste titre leurs tiraillements, parfois jusqu’à l’aliénation ? Sommes-nous seulement conscients des effets sur eux de tels écartèlements quels que soient leur âge, même jeunes adultes…
    Merci de nous interpeler avec pareille humilité et franchise en partage, qui même s’il n’atténue pas votre propre douleur d’avoir perdu Valentine, donne un peu de sens à son départ pour nous tous parents!
    Merci du fond du coeur et que tout l’amour du monde vous porte !
    Laurence

  191. Madeleine dit :

    Votre lettre, Monsieur, m’a bouleversée. Si douloureuse mais aussi si pudique et remplie de sagesse.
    La photo de Valentine devant sa « table » de mixage est magnifique: rayonnante. Elle vous ressemblait…
    Je vous dis toute ma sympathie et mon émotion. Madeleine

  192. Sergio dit :

    Bonjour Docteur,
    pour avoir perdu mon jeune frère à 28 ans j’intuitionne votre douleur. J’ai eu du mal à lire votre lettre jusqu’au bout.
    Par chance, j’ai eu un oncle pour modèle, décédé maintenant et ai suivi son exemple. Aujourd’hui, malgré mon divorce, j’ai deux filles géniales.
    Je vous souhaite beaucoup de courage.
    SR

  193. Alizée dit :

    Cher Docteur Rueff,

    C’est avec beaucoup d’émotion et de compassion que j’ai lu votre lettre. Je suis encore trop jeune pour avoir des enfants et ne peux donc qu’imaginer la peine qui vous habite. En revanche étant en perpétuel conflit avec ma maman (et pourtant nous nous aimons tant) votre texte a très profondément fait écho en moi. Je me suis donc permise de le lui envoyer sans grande conviction mais au vu de sa réponse je crois que j’ai vraiment bien fait : « C’est très jolie ma chérie. Un très beau texte.
    Je vais m’en souvenir et le garderai dans mes notes….
    Je suis fière de toi même si je vois souvent le négatif plutôt que le positif. Et je n’en avais pas vraiment conscience jusqu’à il n’y a pas longtemps!
    C’est vrai n’attendons pas les moments difficiles pour s’en rappeler. La vie sert à s’aimer généreusement.
    Je t’aime. ❤️ ».

    Votre texte aussi douloureux soit-il, nous a apporté de la joie, de la tendresse l’une envers l’autre et a effacé toute notre rancoeur. En espérant que cela vous mette un peu de baume au coeur.

    Alizée

  194. Maryvonne TISON dit :

    Merci de nous faire confiance au point de partager avec nous votre douleur.
    Mettre des enfants au monde, c’est à la fois la plus grande joie, et la douleur de les voir souffrir.
    Mais les avoir ou non près de soi, dans ce monde ou dans l’au-delà, l’essentiel est de les avoir toujours dans son coeur.
    Nous pensons bien à vous.
    Maryvonne

  195. Louise Lemaire dit :

    Bonjour Dr Rueff,
    Votre lettre m’a beaucoup touchée car à travers votre message et le partage de votre état d’esprit , j’ai ressenti un père qui parle avec son cœur !
    Merci de nous rappeler combien il est important d’écouter et d’être attentif au besoin des autres, d’autant plus lorsqu’il s’agit d’un enfant sous notre dépendance.
    Lorsqu’un être cher nous quitte ,je pense que nous sommes tous confronté au regret de n’avoir su donner suffisamment voir même de ressentir de la culpabilité ! Un sentiment qui nous interpelle mais qui nous pousse aussi à aimer plus .
    Votre fille DrRueff avec ses difficultés a su donner du sens à sa vie !Par et dans la musique elle aimait et partageait cet amour !
    « J’ai mis tout mon cœur dans tout ce que j’ai fait.
    Dans tout ce que j’ai dit il y avait de l’Amour ».
    Je ne connaissais pas Valentine mais ‘ je retiens d Elle cet écrit qui mérite d’être médité !
    Par la présente, je tiens à vous remercier pour vos lettres et vidéos et a vous exprimer toute ma sympathie.
    Bien cordialement.
    Louise.

  196. Isabelle Defauw dit :

    Bonjour Docteur
    Votre lettre m’emeut d’autant plus que je vous connais personnellement
    Vous m’avez soigné pendant de nombreuses annees alors que j’habitais Lille et je faisais les A/R pour profiter de bos conseils J’ai beaucoup appris dans vos livres aussi
    Vous avez aussi soigné mes parents qui vivent a Nice
    Je voulais simplement vous dire que Valentine sera dans toutes mes prieres
    Affectueusement
    Isabelle

  197. Claudine dit :

    Merci Dr Rueff pour cette belle lettre chargée d’émotion..dans un moment aussi difficile..
    Personne n’imagine la mort de l’un de de ses enfants avant sa propre disparition.
    Au décès de mon père, mon grand père disait : » c’est injuste, j’aurais dû partir avant lui ».
    Courage et merci pour toutes vos lettres sur la santé qui m’éclairent à chaque lecture.
    Claudine

  198. Gilles Olivier dit :

    Cher Monsieur Rueff
    J’ai lu avec beaucoup d’attention et d’émotions multiples votre lettre à propos de votre fille Valentine et je vous remercie de l’avoir publiée. Elle m’a beaucoup touché et m’a renvoyé à ma propre histoire.
    Je vous ai connu dans les années 1999 ou 2000, ayant assisté à l’une de vos conférences organisée par Vit’all +. J’ai eu la mauvaise idée, du haut de ma petite licence de chimie, de vous poser une question, que j’avais jugée intelligente, mais à laquelle vous aviez déjà répondu et vous m’avez vertement remis à l’heure. J’étais bien entendu très vexé et sans la présence de mon épouse j’aurais quitté la salle… l’égo est susceptible. Je vous ai, alors, catalogué d’homme prétentieux et orgueilleux. Vous avez fait office, ce jour là, d’un très beau miroir dans lequel je n’ai vu que mon propre reflet.
    Et puis, bien des années plus tard, le « hasard » m’a fait découvrir vos lettres d’informations que je lis régulièrement avec attention et c’est un autre homme que j’ai découvert a travers elles. J’y ai ressenti de la compassion et une vraie présence, ce qui m’a profondément surpris, resté que j’étais sur mes précédentes opinions à votre égard. J’ai rapidement changé d’avis et je suis désolé de vous avoir aussi mal considéré, pardon.
    Lorsque j’ai lu votre dernière lettre, votre douleur à résonné très fort en moi, j’ai en effet perdu ma chère épouse adorée qui s’est envolée le 18 décembre 2018 et la blessure est encore béante et le restera sans doute toujours.
    J’ai aussi été touché par votre histoire avec Valentine qui ressemble à la mienne avec ma fille Nathalie à laquelle je n’ai, moi aussi, pas accordé autant de temps et d’attention qu’il aurait fallu, tant j’étais accaparé par une profession exigeante. Elle a quitté la maison à 18 ans pour continuer ses études en choisissant une université à 500 kilomètres de notre domicile et les relations se sont encore amenuisées, bien qu’elles fussent déjà devenues quasiment inexistantes. Pas de violence, mais pas d’élan non plus.
    J’ai beaucoup souffert de cette situation et j’ai beaucoup culpabilisé, mais il m’était impossible de modifier le passé même si l’envie de réparer était permanente.
    Depuis que Nathalie, qui a 44 ans, est devenue maman, sur le tard, les choses se sont un peu améliorées, mais c’est suite au décès de sa mère que les relations ont changé. Elle a cessé de me reprocher mon manque de présence auprès d’elle pendant son enfance et son adolescence et les relations deviennent des vraies relations père-fille, mais en apprentissage, petit à petit, par petites touches.
    Je suis persuadé que Valentine aimait beaucoup son père, mais que comme tous les enfants elle attendait de ses parents encore plus que ce qu’ils lui ont donné. Ma fille m’a avoué récemment qu’elle commençait seulement à se rendre compte de ce que nous avons essayé de lui apporter, ma femme et moi, et qu’elle nous avait de tout temps reproché, ceci bien ancré au fond d’elle-même, de ne pas lui avoir donné ce que nous n’avons peut-être pas pu ni su lui donner, c’est-à-dire du temps, de la présence et un peu d’Amour. La routine…
    Merci pour votre lettre, elle est peut-être la meilleure ordonnance que vous n’ayez jamais écrite. Elle a, bien sur, mis en émoi bien des cœurs de pères et de filles et à, en particulier, permis que nous décidions, ma fille et moi, de passer Noël ensemble. Vous avez, j’en suis persuadé, permis bien des rapprochements et votre fille, là ou elle est, doit être très fière de son cher papa.
    J’ai été un peu long et j’espère ne pas avoir été trop maladroit.
    De tout cœur avec vous.
    Gilles O

  199. Evelyne dit :

    Cher Docteur Rueff

    Merci pour votre témoignage qui exprime avec beaucoup de
    pudeur le chagrin des parents endeuillés de leur enfant.
    Courage, Merci pour vos interventions.

    Evelyne

  200. Claudie dit :

    Je n’écris jamais.
    Mais j’ai été très touchée par votre lettre, par sa sincérité, son authenticité et, bien que les mots ne servent pas à grand’chose dans ces moments là, je voulais vous dire toute ma sympathie, mon estime, mon affection.
    Je vous souhaite douceur, tendresse et paix.

  201. fran dit :

    monsieur, mes meilleures pensées vous accompagnent dans votre chagrin .. merci pour cette lettre qui parle au coeur ..
    si votre fille a été une belle personne c’est surement parce
    que vous êtes une belle personne aussi ..
    vous donnez beaucoup de temps , de conseil , d’espoir , de soins , et ce à des inconnus comme moi ..
    je ne doute pas que vous ayez aussi beaucoup donné à vos enfants , en commençant par l’exemple ..
    encore merci pour le bien que vous faites ..
    l’amour parent enfant existe et n’a pas besoin de grandes démonstrations , il existe et c’est tout …

  202. Natou dit :

    Bonjour monsieur , votre lettre est très touchante et triste , je vous offre avec tout mon coeur , mes plus sincères condoléances , bon courage , plein d’amour pour l’âme de votre fille ♥♥♥

  203. Nicole GENTY dit :

    Cher Monsieur Rueff
    C’est avec une grande émotion que j’ai lu votre lettre, un cri déchirant d’Amour à votre fille Valentine. Vous lui avez donné ce que vous pensiez être le meilleur à cette période de vie, n’ayez ni remords ni de regrets, les décennies se succèdent et les formes de pensées et d’actions changent avec le temps. La vie est ainsi faite. Mais la graine que vous avez semé a germé et Valentine a su la faire grandir. Nous ne pouvons rien faire contre le destin. C’est ma philosophie de grand’mère de 77 ans . Au travers de votre lettre, j’ai retenu un conseil à transmettre à mon fils pour sa fille de 10 ans qu’il adule au delà de toute mesure…
    Merci pour votre lettre pleine de sensibilité, écrite avec courage et abnégation.
    Vous avez toute ma sympathie

  204. Opinet Christine dit :

    Bonsoir Dr Rueff,
    Quand la vie quitte le corps des êtres chers qui font partis de notre vie, nos sentiments et affectes se bousculent.
    Un père est un homme aimant comme vous l’êtes, qui essaie de transmettre des valeurs, des sentiments à son enfant avec ce qui l’anime au fils des jours et de son expérience de vie.
    Tout amour est sein même s’il semble imparfait, incomplet et le simple fait qu’il existe, est ce qu’il y a de plus précieux.
    Oser être en paix avec cette relation avec votre fille qui a su probablement reconnaitre tout cet amour que vous aviez pour elle.
    La vie de votre fille existera toujours au fond de votre coeur .
    Un petit soutien dans ses quelques mots pour oser apaiser les maux de la perte de votre enfant.
    Bien à vous et merci pour tout ce que vous nous transmettez avec tant de bienveillance.
    Christine Opinet

  205. DAMET dit :

    Bonjour Docteur RUEFF, ayant connu la même peine que vous mais il avait 16 ans je sais que ce n’est pas facile – toute ma compassion vous accompagne et dites vous que là ou elle est maintenant elle va bien – dites vous aussi que vous lui avez donné ce que vous pouviez et elle le sait – que son souvenir vous accompagne partout – OM MANI PADME HOUNG que ce mantra soigne votre peine, une lectrice de vos lettres – prenez soin de vous – nous serons toujours là – cordialement Monique

  206. Bertrand dit :

    Bonjour Docteur ruef , rien de ce que je pourrais vous dire ne pourras faire revenir ce que vous avez perdu …perdre un enfant n’est pas chose normale , ce n’est pas dans la loi de la vie je suis vraiment désolé, nos inquiétude face aux aléas de la vie pour nos enfants est quelque chose qui vous déchire ,moi-même j’ai 2 filles qu’ils ont décidé sur un coup de tête de s’en aller en Bretagne vivre avec rien du tout , cela me déchire le cœur vu que les enfants ont pris des décisions qui sont alors vue change de Caraïbes ils font leur route 1 mais on y peut rien je suis vraiment désolée de ce qui vous arrive ça doit être terrible je pense je pense que les bien je pense je sais tu parles travail que vous arrivez à reprendre le dessus Jean-Paul Bertrand

  207. René POLI dit :

    Dr Rueff
    Je vous présente mes sincères condoléances, navré du décalage. Un grand merci pour tout
    Cordialement .

  208. chahira riad dit :

    CHER DR. RUEFF
    MES TRES SINCERES CINDOLEANCES DE TOUT COEUR AVEC VOUS.
    CORDIALEMENT

  209. Claude Roullet dit :

    Bonjour, docteur Rueff
    Votre lettre est bouleversante. Merci pour votre parler vrai. Très cordialement. Un de vos lecteurs assidu.

  210. DIATCHENKO dit :

    Votre message:
    Désolée de ne pas avoir pu répondre avant.
    J’ai lu très attentivement votre lettre. Merci d’avoir eu le courage de parler du décès de votre chère fille. Ça nous a replongé 13 ans en arrière. Le 15 octobre 2006, nous avons perdu Aurélia, notre fille âgée à l’évoque de 21 ans. Elle était née avec une grave malformation cardiaque (oreillette et ventricule unique), et elle ne devait vivre que quelques heures, voir quelques jours. Mais le Seigneur en avait décidé autrement. Elle a vécu 21 ans, en laissant derrière elle, un beau témoignage de foi et de courage. Malgré son grave handicap, elle a réussi son bac avec mention et la capacité en droit. Elle a du beaucoup travaillé car elle n’avait pas beaucoup de mémoire (elle avait une saturation en oxygène très basse), et elle était très fatigable. Le miracle de sa vie à duré 21 ans jusqu’à ce que le Seigneur la reprenne dans son sommeil.
    Ce qui a beaucoup aidé Aurélia, malgré ses nombreuses difficultés, c’était sa grande foi en un Dieu d’amour, un Dieu Tout Puissant. Pour mon époux et moi même, nous avons également puisé notre force dans la relation avec Jésus-Christ. Nous faisons partis d’une église évangélique et le soutien de tous les membres de notre assemblée nous a également beaucoup aidé.
    Que le Seigneur vous apporte Sa consolation qui ne fait jamais défaut quand on s’approche de Lui. Soyez abondamment béni et merci beaucoup pour vos lettres très enrichissantes.
    Cordialement.

  211. Laure MENIER BRASILIER dit :

    A Monsieur le Docteur,
    Monsieur le Docteur Rueff,

    A travers Votre incommensurable souffrance, à laquelle n’apporte aucun réconfort l’expression de détresses que Votre vocation médicale ne cesse d’alléger, par essence,
    Permettez-moi, Monsieur le Docteur, de Vous exprimer
    néanmoins de sobres, sincères et émues condoléances.

    Toutes les tentatives de consolation sont absurdes.
    Elles n’ont que le mérite de la générosité de leur intentionnalité, sans le souci de leur efficacité potentielle.
    Pavé de bonnes intentions, l’Enfer reste l’Enfer…..et c’est presque à cela que l’on le reconnaît, d’ailleurs.
    Pour Vous, Monsieur le Docteur, l’Enfer doit être
    un biotope non seulement quotidien, mais permanent,
    dont seule la volonté de faire le bien Vous extrait
    La bénéficiaire de ce choix, à travers Vos communications
    Vous exprime une gratitude réelle, malgré le fait d’être un contre-exemple à Vos sages et inspirés conseils..

    Vous avez donné à Madame Votre Fille, logiquement et par essence, la VIE.
    Suite à ce don initial, Elle a choisi une Existence.
    Dans une singularité qui Lui est entièrement due, et qui,
    Dieu merci , relève de Ses choix et de Son secret.
    Mais, quelle Merveille d’avoir pu donner cette liberté, cette bravoure, à une personne qui a reçu de Madame Sa Mère et de Vous, un amour qui Lui permît non seulement de naître avec des ailes , mais de choisir la qualité de l’éther où Elle décida de les déployer.

    Ne pensez-Vous pas que Madame Votre Fille, à travers l’égrènement des jours, les distances géographiques ou sociologiques, qui apparemment semblaient Vous éloigner,ne Vous ait pas donné l’affirmation déconcertante d’un dialogue essentiel ininterrompu ?
    Vous avez fait le même choix existentiel tous les Deux,
    Seules les modalités Vous ont semblé différentes.

    Madame Votre Fille et Vous partagez la même aspiration
    et la même idéale….et idéaliste exigence:
    Une phénoménale liberté, au service de laquelle Vous décidâtes, un beau matin,de mettre toutes les ressources de Vos créativités ( et pas des moindres) respectives pour
    rendre les autres HEUREUX, en Vous moquant éperdument du qu’en-dira-t’on.

    Cette magnifique- et si peu commune- générosité fait de Vous des personnes hors-norme.
    Cette exclusion du commun, assumée et choisie, n’est que la partie visible d’un iceberg de tendresse, que deux personnalités hypersensibles et extrêmement pudiques, n’ont pas eu le loisir d’exprimer par des mots échangés, mais par l’intensité de leurs choix quotidiens en donnant tout d’elles-mêmes.

    Avant de boire la ciguë, Socrate n’a eu que deux regrets:

    Ne pas avoir sacrifié un coq à Esculape
    La Musique

    Dans Votre souffrance infinie, Monsieur le Docteur,
    Permettez-moi de Vous faire part d’une personnelle certitude: l’union, au plus intime de Votre détresse, de Vos deux réponses harmonisées à une tel regret.
    Cela dépasse tout questionnement.
    L’Amour est de l’ordre de l’Ineffable, de l’Infini et du Mystère.
    Veuillez, je Vous prie, recevoir, Monsieur le Docteur,
    l’expression de ma plus haute estime, que ne saurait excéder celle de ma gratitude, unanimement partagée par Vos patients et Vos lecteurs.

  212. MYRIAM COUZINET dit :

    Je lis toutes vos lettres avec plaisir, j’en apprécie les informations éclairées et équilibrées et vous remercie de partager ainsi votre connaissance
    Il y a un mois et demi vous avez rédigé une lettre différente des autres qui m’a bcp émue et j’ y réponds enfin…
    Vous y parlé de votre fille Valentine avec tant d’émotion : vous révéler avec bcp d’humilité vos faiblesses dans votre rôle de parents : beaucoup de personnes se lancent dans cette aventure sans en mesurer la portée et sans être bien dirigés. Pourtant les conseils de grandes valeurs que vous adressez aux parents sont écrits depuis 3500 ans dans la bible
    A propos de l’importance de l’amour : Prov 15 : 17 « Mieux vaut un plat de légumes, là où il y a de l’amour, qu’un taureau engraissé à la crèche et de la haine avec »
    Concernant le fait de ne pas trop gâter un enfant : Prov 29 : 21 « Si l’on gâte son serviteur dès [sa] jeunesse, par la suite dans sa vie il deviendra un ingrat »
    Pour trouver les bonnes priorités : Phil 1 : 10 « Pour que vous puissiez vérifier les choses les plus importantes »
    Et enfin la place essentielle de la famille selon notre Créateur : 1 Tim 5 : 8 « si quelqu’un ne pourvoit pas aux besoins des siens, et surtout de ceux qui sont des membres de sa maisonnée, il a renié la foi et il est pire qu’une personne sans foi ».
    La plupart des humains fondent une famille sans en avoir lu le ‘mode d’emploi’…
    Je voulais vous dire que non seulement je trouve dans la bible d’excellents conseils pour la vie quotidienne, mais aussi des réponses à des questions telles que : que se passe t-il après la mort ? Reverrons-nous nos chers disparus ?
    Pour la 1ère question, la bible est claire : elle dit tout simplement que la mort est le contraire de la vie et la compare à un sommeil
    Concernant la 2èm elle parle d’une résurrection future de la personne tout entière sur la terre, permettant à son entourage de la retrouver
    Si vous désirez connaitre les textes qui en parlent, je peux vous les envoyer. Ca serait dommage de passer à côté de telles informations dont l’impact sur notre vie est si important. Il s’agit de vérifier l’information

  213. COUZINET dit :

    Bonjour Docteur Rueff,
    Je lis toutes vos lettres avec plaisir, j’en apprécie les informations éclairées et équilibrées et vous remercie de partager ainsi votre connaissance
    Il y a un mois et demi vous avez rédigé une lettre différente des autres qui m’a bcp émue et j’ y réponds enfin…
    Vous y parlé de votre fille Valentine avec tant d’émotion : vous révéler avec bcp d’humilité vos faiblesses dans votre rôle de parents : beaucoup de personnes se lancent dans cette aventure sans en mesurer la portée et sans être bien dirigés. Pourtant les conseils de grandes valeurs que vous adressez aux parents sont écrits depuis 3500 ans dans la bible
    A propos de l’importance de l’amour : Prov 15 : 17 « Mieux vaut un plat de légumes, là où il y a de l’amour, qu’un taureau engraissé à la crèche et de la haine avec »
    Concernant le fait de ne pas trop gâter un enfant : Prov 29 : 21 « Si l’on gâte son serviteur dès [sa] jeunesse, par la suite dans sa vie il deviendra un ingrat »
    Pour trouver les bonnes priorités : Phil 1 : 10 « Pour que vous puissiez vérifier les choses les plus importantes »
    Et enfin la place essentielle de la famille selon notre Créateur : 1 Tim 5 : 8 « si quelqu’un ne pourvoit pas aux besoins des siens, et surtout de ceux qui sont des membres de sa maisonnée, il a renié la foi et il est pire qu’une personne sans foi ».
    La plupart des humains fondent une famille sans en avoir lu le ‘mode d’emploi’…
    Je voulais vous dire que non seulement je trouve dans la bible d’excellents conseils pour la vie quotidienne, mais aussi des réponses à des questions telles que : que se passe t-il après la mort ? Reverrons-nous nos chers disparus ?
    Pour la 1ère question, la bible est claire : elle dit tout simplement que la mort est le contraire de la vie et la compare à un sommeil
    Concernant la 2ème elle parle d’une résurrection future de la personne tout entière sur la terre, permettant à son entourage de la retrouver
    Si vous désirez connaitre les textes qui en parlent, je peux vous les envoyer. Ca serait dommage de passer à côté de telles informations dont l’impact sur notre vie est si important. Il s’agit de vérifier l’information
    bien cordialement
    Myriam

  214. Jeanne GOUTHERAUD dit :

    J’ai relu ce jour 6 avril 2020 votre lettre à Valentine. Je ressens toujours cette douleur incommensurable….. et que je connais pour la même raison.
    Après on continue à vivre mais la vie n’est
    plus pareille. On est amputé à jamais de notre amour, notre enfant, notre sang, une autre partie de nous-mêmes. Parfois on a envie de crier, de hurler comme une bête sauvage… Mais la vie continue on se pare d’un sourire parfois si fragile pour continuer et ne pas inquiéter nos amis. On se dit que ce ne sera pas possible. Ne plus entendre sa voix…..ne plus le sentir…. Mais des années après on respire toujours et l’on se demande comment il a été possible de vivre sans lui…..Mais le manque est toujours présent…..il avait 23 ans….. mon Nicolas.
    Cher Dr RUEFF je vous sers fort sur mon coeur

  215. Yann pasco dit :

    Bonsoir,
    Après plusieurs années d’absence,je viens d’apprendre le décès de Valentine, elle et moi avons été très proche dans les années 96-97 . Je l’ai soutenu durant ces années et nous étions très proche. J’ai immigré au Canada après ça mais j’ai conservé sa photo attachée à mon bureau. Aujourd’hui, je voulais lui écrire, mais j’ai malheureusement appris son décès l’année dernière. Je suis troublé. Nous étions très proche et je la soutenais dans toutes ses démarches. J’ai été présent pendant sa période à Paris et je suis vraiment dévasté. Pour moi Valentine était une très bonne amie. Je regrette juste que j’ai appris son décès trop tard. J’espère que là où elle est, elle va continuer à être là personne que j’ai connu il y a quelques années. Merci pour votre témoignage mais continuons à avancer dans la vie. Valentine, je t’aime… Bisous

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