Les courants de la vie

Chère amie, cher ami,

Le rôle des micro-courants en thérapeutique humaine est bien connu et décrit dans de diverses publications.

Mais il existe un appareillage portatif [1] d’un type nouveau qui permettrait à chacun d’en bénéficier plus facilement.

C’est au cours d’une réunion du groupe Chronimed [2] que j’ai entendu parler au début de l’année 2017, pour la première fois, de la « Bio-électrophotonique » [3] de Georges Vieilledent [4] et Raymond Herren [5].

Ces deux concepteurs ont mis au point des dispositifs originaux et uniques dans le monde de la détection et de l’émission de micro-courants.

Un psychiatre membre du groupe Chronimed m’avait confié : « C’est la première fois que des patients me rapportent leur traitement médicamenteux en me disant qu’ils n’en avaient plus besoin depuis qu’ils utilisaient régulièrement cet appareil ». Il n’en fallut pas plus pour aiguiser ma curiosité et me pousser à rencontrer Georges Vieilledent.

Il me reçut dans les locaux de sa société « Electrophotonique Ingénierie » [6] au sein d’une unité construite spécialement pour le travail et la recherche, près de Gaillac, troisième ville du département du Tarn, à vingt kilomètres d’Albi.

Au premier contact, je fus réceptif au timbre de sa voix qui exprimait une extrême attention à son interlocuteur et une grande générosité. Après les premiers échanges d’usage il me proposa de réaliser un test de « captation photonique » puis de monter à l’étage supérieur afin d’interpréter ce test, parler des études en cours et du fonctionnement de l’appareil d’émission de micro-courants. C’est ainsi qu’il me mit… au courant.

Et vous, l’êtes-vous ?

Depuis plus d’un siècle, la science connaît les bienfaits des très faibles courants pour stimuler l’organisme. Les premières recherches remontent au début du XIXème siècle avec les travaux du célèbre physicien italien Luigi Galvani qui a donné son nom aux courants « galvaniques », puis en 1855 le neurologue français Guillaume Duchenne, père de l’électrothérapie moderne qui montra la supériorité des courants alternatifs sur les courants continus afin de déclencher des contractions musculaires.

Il faut également citer le français Jacques Arsène d’Arsonval, directeur du laboratoire de biophysique du collège de France, avant de fonder, en 1894, l’École Supérieure d’Électricité. Ses travaux constituent la base de l’électrothérapie moderne.

Les microcourants permettent, par exemple, d’accélérer les cicatrisations ou stimuler nos systèmes de défense [7]. Leur utilisation permet, chez des personnes handicapées de commander des ordinateurs par la simple pensée [8] ou même des dispositifs comme les exosquelettes [9].

Qu’est-ce qu’un micro-courant ?

Un micro-courant est un courant de très faible intensité généralement utilisé pour reproduire les courants électriques cellulaires. Mis à part, parfois, quelques légers picotements, ils sont totalement imperceptibles et sans danger pour la santé.

Ces micro-courants stimulent efficacement l’organisme et ses processus d’auto-réparation. Et, de plus, ils sont totalement indolores et sans effets secondaires.

Comment les micro-courants agissent-ils ?

D’un point de vue scientifique, il est désormais prouvé que toute cellule vivante se caractérise par une importante activité électrique de l’ordre de quelques micro-volts.

Cette activité naturelle, à la fois changeante et complexe, tient au fait que le corps humain est en grande partie constitué d’eau saline (plus de 70 % en termes de masse).

Les informations envoyées par les courants sont liées aux fréquences utilisées et induisent une cascade de réactions. Leur effet biologique est de consolider, ou rétablir, une fonction déficiente, tout en éliminant ses facteurs parasites.

L’électrothérapie aujourd’hui

Dans leur ouvrage « Les ondes qui soignent » [10] Georges Vieilledent et Raymond Herren font une passionnante description de l’importance primordiale des ondes électro-magnétiques dans la constitution et l’entretien du « vivant ».
Le rayonnement électro-magnétique, émis et reçu par chaque cellule de notre corps, c’est tout simplement la vie. Il agit en permanence, tant sur la masse liquidienne de notre organisme que sur nos cellules, leurs parois, leur communication, notre ADN.

Qu’il s’agisse de vibrations mécaniques (ultrasons), d’énergie lumineuse (UV ou infra rouges) ou de champs magnétiques, toutes ces ondes ont des effets spécifiques sur le corps humain.

Vous l’avez peut-être expérimenté, vous-mêmes, si votre médecin vous a prescrit des séances d’électrothérapie (en général ça passe par votre kinésithérapeute). Parmi les plus utilisées, la technique dite « TENS » [11] permet, souvent en postopératoire, de diminuer considérablement les douleurs. À de très basses fréquences l’effet antalgique laisse place à un effet analgésique, ce qui explique la prescription de ces séances pour lutter contre les douleurs chroniques.

Cette approche est bien connue du monde médical et chirurgical, où le terme « d’électrothérapie » n’a rien d’ésotérique ni de fantaisiste.

La spécificité des recherches de nos deux auteurs permet de concevoir que les applications pourraient largement dépasser le simple domaine du traitement de la douleur.

Des micro-courants à notre portée

Les microcourants générés par l’appareil que j’ai testé sont délivrés par deux électrodes que l’on tient en main.L’appareil Vital Harmony

Bien qu’il s’agisse d’un appareil de « bien-être », il peut être programmé, sur indication médicale, pour cibler des pathologies particulières. C’est ainsi qu’il fut testé dans une grande étude biomédicale observationnelle [12] : « Lyme et maladies vectorielles à tiques. Marqueurs photoniques, une nouvelle approche de dépistage & Évaluation thérapeutique d’un appareil à micro-courant non invasif » cosignée par Raymond Herren, le professeur Christian Perronne [13], le docteur Raouf Ghozzi [14] et Georges Vieilledent lui-même.

Cette étude, aujourd’hui close et dont chacun peut télécharger les résultats [15], a eu lieu à Brens en 2013 et a porté sur plus de 400 patients, infectés ou fortement soupçonnés de borréliose chronique et/ou d’autres maladies vectorielles à tiques.

Les chercheurs ont utilisé un système de captation photonique [16] totalement novateur et unique.

J’ai pu le tester lors de ma rencontre avec l’un de ses deux concepteurs.

C’est un peu technique pardonnez-moi ! Je vais essayer de simplifier au maximum : il s’agit d’un dispositif d’imagerie macroscopique innovant. Il permet de voir des images « d’effets de couronne » [17] dans le spectre UV, à l’extrémité de chaque doigt. Ces effets reproductibles permettent d’identifier des images spécifiques, qu’on appelle marqueurs photoniques.

Ces marqueurs sont ensuite interprétés par un logiciel spécifique, qui identifie et note les intensités de ces luminescences.

Les résultats s’affinent en fonction du nombre des enregistrements réalisés, qui sont eux-mêmes confrontés à des questionnaires que chaque patient réalise avant la mesure.

Les conclusions de l’étude sont sans appel :

  • dans au moins 30 % des cas, et à l’exception de 3 rechutes (sur une centaine de patients donc), quelques semaines plus tard, on observe une complète rémission des symptômes pendant la période des 18 mois de l’étude ;
  • dans 23 % des cas, il n’y a eu aucun effet ;
  • dans 42 % des cas restants, les patients ont manifesté une amélioration de leur confort de vie, si l’on s’en tient aux symptômes qu’ils avaient signalés.

Pour la moitié des patients traités, une aggravation violente et temporaire des symptômes (on appelle ça des réactions de Jarisch-Herxheimer, c’est tout à fait normal et sans gravité) [18] ont été observées lors de la phase initiale d’utilisation. Pour la majorité des patients, de telles réactions ont progressivement diminué en appliquant le protocole strict d’utilisation de l’appareil.

Des micro-courants à tout faire ?

En parallèle de l’étude, de multiples personnes ont été interrogées sur leurs symptômes. On s’est alors rendu compte des perspectives offertes par ce type de traitement :

– Sur 257 personnes ayant signalé une fatigue anormale :

  • 38,5 % ont ressenti une amélioration dont 30,3 % ont vu leur fatigue disparaître totalement ;
  • inchangées : 61,50 %.

– Sur 175 personnes s’étant plaintes d’insomnie :

  • 48,6 % ont vu leur situation améliorée, parmi lesquelles 28,6 % furent totalement guéries ;
  • inchangées : 51,4 %.

– Sur 164 personnes ayant signalé des douleurs musculaires fixes :

  • 45,1 % ont vu leur situation améliorée, dont 21,9 % ont vu leurs douleurs disparaître totalement ;
  • inchangées : 54,9 %.

– Pour 152 sujets déclarant des douleurs musculaires dites « migrantes » (comme la fibromyalgie) le chiffre est encore bien meilleur :

  • 47,4 % furent améliorées partiellement, dont 31,6 % ont vu leurs douleurs disparaître totalement ;
  • inchangées : 52,6 %.

– Chez 159 personnes signalant des troubles de la concentration :

  • 50,9 % bénéficièrent d’amélioration, et 29,6 % d’entre elles virent leurs troubles disparaître totalement ;
  • inchangées : 49,10 %.

– Pour 139 personnes ayant déclaré des troubles digestifs :

  • 68,3 % eurent des améliorations partielles et 52,6 % les virent totalement disparaître ;
  • inchangées : 31,7 %.

– Sur 137 personnes ayant déclaré des déficits mémoriels :

  • 53,3 % furent améliorées dont 35,6 % déclarèrent un retour à l’état normal ;
  • inchangées : 46,7 %.

– Chez 136 personnes déclarant des douleurs articulaires migrantes (de type polyarthrite) :

  • 52,9 % furent seulement améliorées, 38,2 % les virent totalement disparaître ;
  • inchangées : 47,10 %.

– Sur 132 personnes signalant des douleurs cervicales ou dorso-lombaires :

  • seulement 40,9 % virent une amélioration, 18,5 % d’entre elles furent totalement guéries ;
  • 59,1 % ne virent pas leur état s’améliorer.

– Sur 127 personnes qui déclarèrent souffrir régulièrement de maux de tête :

  • 51,2 % virent une amélioration dont 46,20 % furent totalement soulagées ;
  • inchangées : 48,8 %.

– 122 personnes se plaignaient de tremblements :

  • 57,4 % furent améliorées dont 28,6 % totalement guéries ;
  • 42,6 % inchangées.

– Le résultat est encore plus net en cas de troubles de l’équilibre (93 personnes) puisque 63,4 % sentirent leur état amélioré dont 57,6 % se déclarèrent totalement guéries. Seulement 38,6 % ne signalèrent aucune amélioration.

– Sur 97 personnes déclarant des troubles anxieux :

  • 62,9 % furent améliorées dont 29,5% totalement soulagées ;
  • inchangées : 37,10 %.

– Sur 96 personnes se plaignant d’un état dépressif :

  • 70,8 % furent améliorées dont 58,8 % totalement stabilisées ;
  • inchangées : 29,20 %.

Bien entendu ni les auteurs de l’étude ni moi-même ne souhaitent tirer des conclusions hâtives de ces chiffres.

Car il faudrait compléter ces résultats par des cohortes plus longues et surtout faire une expérimentation en « double aveugle » avec placebo, ce qui est d’ailleurs indiqué dans les conclusions de cette étude observationnelle.

La prudence et les réserves du Professeur Christian Perrone et du docteur Raouf Ghozzi exprimées sur le site internet de la FFMVT n’ont donc rien de surprenant et je ne peux que les rejoindre.

Un générateur de micro-courants à ma connaissance unique au monde

L’appareil que j’ai pu tester est le seul à intégrer une « signature physiologique », qui adapte le signal à celui qui le reçoit et ce, de deux manières :

  • La première consiste à proposer un temps de d’émission, en fonction de la résistivité de la peau, afin que chacune puisse recevoir quantitativement le même signal.
  • La seconde consiste, au moyen d’un capteur de pouls que l’on place au lobe de son oreille à synchroniser le signal sur le rythme cardiaqueafin que ce dernier soit envoyé au moment de la diastole [19] sans perturber les rythmes propres de la personne.

Ajoutons que ce procédé intervient aussi sur la pollution électromagnétique (ondes Wifi, téléphones portables, etc.) que nous subissons en permanence et qui peut altérer notre santé. En même temps qu’il délivre les micro-courants dans les électrodes que vous tenez en main, l’appareil produit un champ d’énergie semblable aux champs électromagnétiques de la Terre et notamment à certains pics appelés « résonnances de Schumann » [20].

La captation « bioélectrophotonique » : rien à voir avec l’effet Kirlian !

Très en vogue dans les années 1970 suite à la parution d’un ouvrage intitulé Psychic discoveries behind the iron curtain (éd. Prentice Hall Trade) de Sheila Ostrander et Lynn Schrœder (deux journalistes américains) et repris en français en 1973 par les éditions Robert Laffont sous le titre Fantastiques recherches parapsychiques en URSS, un chapitre consacré dans ce livre à « l’effet Kirlian » a donné naissance à un engouement démesuré.

« L’effet Kirlian » des années 1970 était obtenu à partir de papiers photo qui, même avec la meilleure qualité de fabrication, n’en restaient pas moins des sels argentiques réagissant plus ou moins bien aux champs électriques élevés auxquels ils étaient soumis.

D’où une première et importante approximation des résultats obtenus. Il n’existait que quelques papiers (très onéreux) permettant d’obtenir des résultats dignes d’intérêt.

Il existe, de fait, de grandes différences entre la « bioélectrophotonique » dont nous parlons et l’effet Kirlian.

Une fois de plus je m’excuse d’être si technique, mais lisez-moi attentivement (si vous n’avez pas quitté ma lettre !) car les innovations de ce nouvel outil me semblent le mériter.

La première différence s’impose d’elle-même : le support de captation ! il n’y a pas d’utilisation de sels argentiques, mais une caméra scientifique de très haute définition qui capte des photons générés par l’effet de couronne.

La deuxième différence tient au spectre analysé : on travaille dans l’UV et pas dans le visible. N’importe quel spécialiste peut comprendre cette nuance de taille dont l’intérêt est de filtrer les luminescences acquises et de ne pas les « noyer » dans d’autres informations lumineuses.

La troisième différence tient au dispositif lui-même [21] qui, au niveau des électrodes en quartz, comporte un dépôt ITO en surface (Oxyde d’indium dopé à l’étain) dont la caractéristique principale est la combinaison de conductivité électrique et la transparence optique.

Couplé à un générateur « AEPG » (Advanced ElectroPhotonic Generator), ce dispositif offre une excellente reproductibilité des images captées. Ainsi et à titre d’exemple, dans le cadre de l’étude sur Lyme, l’étude a effectué plus de 600 000 mesures sur les doigts des patients avec un pourcentage de reproductibilité supérieur à 85 %.

Les « ponts photoniques »

Avec le même générateur que celui que je vous ai décrit précédemment, on observe également les images reproductibles de liaisons photoniques entre les doigts du patient et diverses substances médicamenteuses déposées à proximité.

Dans la publication dont le titre est : « EDS© Electrophotonic DataPhoton System [22] » : une solution technologique innovante en imagerie macroscopique par effet de couronne » [23], les auteurs (Georges Vieilledent, Raymond Herren, Vincent Morard [24] et Eric Chaumet-Lagrange [25]) présentent la synthèse de résultats d’une pré-étude clinique de ce phénomène.

Les résultats illustrent ce phénomène, baptisé « pont photonique ». Il rend compte d’attirances spécifiques entre l’émission photonique du patient et certains traitements médicamenteux.

Cette « attirance photonique » entre un patient et une substance thérapeutique pourrait bien constituer, demain, la base d’un traitement plus individualisé…

Perspectives en guise de conclusions

Les interactions électriques, électromagnétiques et photoniques font partie intégrante de la vie. Elles sont captées et utilisées dans de nombreuses applications totalement invisibles que nous côtoyons quotidiennement, dont nous aurions beaucoup de mal à nous passer et que nos parents n’auraient même pas imaginées.

La « vie » ne se conçoit pas en dehors de ces champs magnétiques et photoniques que nous sommes en mesure de mesurer, d’amplifier et probablement de perturber. Qui aurait imaginé, il y a peu, que l’on tenterait de trouver le moyen de commander un ordinateur par la pensée [26] ? C’est pourtant aujourd’hui en train d’advenir, sous nos yeux.

La recherche vise à mieux utiliser ces champs et à les proposer comme des compléments à d’autres thérapies. L’utilisation des microcourants devrait légitimement rejoindre la cohorte des thérapies corporelles efficaces. Ces dernières, encore une fois, ne se substitueront pas à la médecine conventionnelle mais viendront l’enrichir.

C’est la piste de réflexion que je vous propose dans cette lettre.

Dominique Rueff


[1] Son nom est Vital Harmony. Je précise que je n’ai aucune espèce d’intérêt, ni scientifique ni financier, auprès de l’entreprise conceptrice de cet appareil.
[2] Le groupe de recherche que nous avons créé qui continue de se réunir régulièrement à l’UNESCO autour du Professeur Montagnier : http://www.psychostrategy.net/
[3] Impossible de comprendre ce terme sans savoir ce qu’est un photon : Particule élémentaire, de masse et de charge nulle, le photon est l’aspect corpusculaire de la lumière : http://www.cnrs.fr/cnrs-images/physiqueaulycee/ophoton.html
[4] Directeur de la société Electrophotonique Ingénierie, Brens, France, 816002
[5] CNRS, France
[6] Entreprise, labellisée en 2015 après avoir expertisée sur ses travaux par des experts académiques de la Délégation Régionale à la Recherche et à la Technologie Midi-Pyrénées : « Jeune Entreprise innovante », et membre du « Pôle des Technologies Médicales » fer de lance de la recherche française : www.electrophotonique.com
[7] http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/02/27/23455-reduire-douleur-stimulant-neurones-cerveau
[8] http://www.cerveauetpsycho.fr/ewb_pages/a/article-dechiffrer-l-activite-electrique-du-cerveau-35794.php
[9] https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/la-revolution-des-exosquelettes-aura-t-elle-lieu_113371
[10] Edition « Des Veilleurs » 2015
[11] Transcutaneous Electrical Nerve Stimulation
[12] Que vous pouvez télécharger sur le site : https://www.electrophotonique.com/
[13] Chef de Service en Infectiologie – hôpital de Garches, France, 92380
[14] Service Infectiologie- Hôpital de Lannemezan, France, 65300
[15] www.electrophotonique.com
[16] Dit EDS © pour « Electrophotonic DataPhoton System ».
[17] « L’effet corona, aussi appelé « effet couronne » ou « effet de couronne », est un phénomène de décharge électrique partielle entraînée par l’ionisation du milieu entourant un conducteur »
[18] https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9action_de_Jarisch-Herxheimer
[19] Relâchement des ventricules
[20] « Observations of earth ionosph-cavity resonances », M Balser et C Wagner – Nature, vol. 638 (1960)
[21] Voir note 14
[22] Téléchargeable sur le site : www.electrophotonique;com
[23] Hegel, volume 6 N°1-2016
[24] Centre de Morphologie Mathématique, Ecole des Mines, 75006 Paris
[25] Docteur en médecine, 81600 Gaillac
[26] http://www.begeek.fr/paralyses-ils-arrivent-a-controler-un-ordinateur-par-la-pensee-181444



N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


Laisser un commentaire

CES DÉCOUVERTES QUE VOUS DEVEZ ABSOLUMENT CONNAÎTRE

Ce fabuleux livre a changé la vie de milliers de personnes…

…Et pourtant il est INTROUVABLE dans le commerce.

Recevez EN CADEAU chez vous ce livre au format papier.

45 percées historiques de santé naturelle sur les sujets suivants : cancer, arthrose, Alzheimer, prostate, hypertension, cholestérol, Parkinson et bien d’autres encore…

J’accepte, en renseignant mon adresse email, d’être abonné(e) à la lettre gratuite du Docteur Rueff de Totale Santé SA. Mon adresse email restera strictement confidentielle et ne sera jamais échangée. Je peux me désinscrire à tout moment. Pour en savoir plus sur mes droits, je peux consulter la politique de confidentialité.