Billet d’humeur

du 16 mai 2021 

Cher ami, chère amie,

J’aimerais vous proposer désormais, en plus de mes traditionnelles lettres, de vous envoyer au moins une fois par mois une sorte de billet d’humeur. J’y partagerai avec vous quelques réflexions du moment, liées à l’actualité, à mes lectures, mes découvertes récentes.

J’espère que ce nouveau format vous sera utile et je serai heureux de recevoir vos commentaires après publication.

À propos de sommeil

Dans une série de lettres publiées en mars 2021, je vous avais fait part de mes difficultés personnelles à trouver le sommeil et proposé quelques solutions.

Dans la quatrième de ces lettres, je terminais en vous proposant d’associer la prise de GABA, de magnésium et du « Complexe Sommeil » avant de vous endormir.

Depuis deux mois, j’ai moi-même suivi cette supplémentation :

  • 2 à 3 gélules par jour de bisglycinate de magnésium (la prise régulière de magnésium est chez moi une habitude de longue date) ;
  • 30 minutes avant le coucher, 2 comprimés du « Complexe Sommeil »,
  • et 3 gélules de GABA dosées à 750 milligrammes, que j’ai, petit à petit, réduit à 1 gélule.

Aujourd’hui, à quelques exceptions près, je m’endors en quelques minutes et me réveille frais et dispos au bout de 8 heures… Et ce sans aucun médicament !

Il est vrai qu’à la fin d’une journée agitée ou lors des jours précédant la pleine lune, j’ajoute un demi-comprimé d’une benzodiazépine à courte durée d’action, mais rien à voir avec les doses que je prenais précédemment qui m’abrutissaient toute une partie de la matinée.

Alors essayez, et racontez-moi !

Maintenant, parlons un peu d’actualité… Que penser de la vaccination ?

Dans une lettre publiée le 21 janvier 2021 « Vaccination, quels sont les enjeux », je vous résumais une conférence du docteur Christian Vélot, généticien moléculaire à l’Université Paris-Saclay et président du Conseil Scientifique du Criigen.

J’ai eu la chance de participer récemment à un webinaire qu’il organisait, et je me propose d’ajouter quelques informations plus récentes à cette lettre.

Celles-ci concernent les choix vaccinaux que nous avons à ce jour. Ce sont essentiellement des choix entre vaccins dits « à ARN messager » – ceux de Pfizer ou Moderna – et vaccins dits « à adénovirus » » – ceux d’AstraZeneca ou Janssen (Johnson & Johnson).

Déjà, dans ma lettre de janvier, je vous expliquais que contrairement à ce que certains redoutent, il ne semble pas que l’introduction d’un fragment d’ARN messager dans le cytoplasme d’une cellule puisse représenter un danger de modification de notre code génétique par inclusion de gènes étrangers, puisque ce fragment est rapidement détruit. Mais il est encore bien trop tôt pour confirmer cette théorie (qui, le cas échéant, pourrait conduire à accepter plus facilement cette vaccination – bien qu’à mon avis, elle devrait rester contre-indiquée chez les enfants et adolescents).

J’ajoutais qu’il n’en était théoriquement pas de même avec les vaccins à adénovirus, pour lesquels on est en droit de craindre des recombinaisons génétiques.

Depuis la mise sur le marché de ce type de vaccins (AstraZeneca et Johnson & Johnson), plusieurs cas de thrombose ont conduit certains pays à suspendre leur utilisation. Cela a créé une méfiance grandissante de la population envers ces vaccins, même si ces risques sont statistiquement faibles et que l’on nous répète que la « balance bénéfices/risques » reste toujours en faveur du vaccin…

Il n’empêche que peu d’entre nous acceptent de courir un risque fatal, même extrêmement faible, pour se protéger de ce virus…

« Le 7 avril 2021, l’EMA a fait savoir dans une conférence de presse et un communiqué, qu’elle envisageait la possibilité d’un lien entre la vaccination par le vaccin Astra-Zeneca et de « très rares » accidents thromboemboliques associés à une thrombopénie[1]. Son comité d’experts précise que les caillots peuvent se produire dans les veines cérébrales ou abdominales (veines splanchniques), mais aussi dans les artères, s’accompagnant de thrombopénie et parfois d’hémorragies, et qu’il n’a pas été identifié de facteurs de prédisposition pouvant conduire à des précautions spécifiques. L’explication retenue pour ces effets est celle d’une réponse immunitaire semblable à celle qui se produit dans les thrombopénies induites par l’héparine (TIH). L’agence insiste sur la nécessité d’un diagnostic et d’une prise en charge précoces, à même d’éviter les complications et d’accélérer la récupération. ».

Pour ma part, même si le risque reste statistiquement infime, je comprends très bien le rejet de ce vaccin.

Concernant les vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna, les risques sont certes moindres, mais ils ne sont pas nuls. Dans le communiqué annonçant la validation du vaccin Moderna dans l’Union européenne le 6 janvier 2021, l’Agence européenne du médicament (EMA) a rapporté les effets secondaires observés lors du plus vaste essai clinique mené sur 30 351 personnes âgées de 18 à 94 ans. Les plus courants étaient « généralement légers ou modérés et se sont améliorés quelques jours après la vaccination ». Il s’agissait notamment de douleurs au site d’injection (92 %), fatigue (70 %), céphalées (64,7 %), douleurs musculaires et articulaires (myalgie 61,5 % et arthralgie 46,4 %), frissons (45,4 %), nausées/vomissements (23 %), fièvre (15,5 %), gonflement au site d’injection (14,7 %) et rougeurs (10 %). « Une moindre fréquence d’effets secondaires a été observée chez les sujets les plus âgés », rapporte Moderna dans sa notice, mais « une incidence plus élevée de certains effets indésirables dans les groupes d’âge plus jeunes ». À ce jour, il n’y a pas de signal de sécurité confirmé avec le vaccin Moderna.

Attention, je ne suis pas « antivax » et mon but n’est pas de vous effrayer. Mais je voudrais simplement vous éclairer en cas d’apparition d’effets secondaires, et surtout vous conduire à en avertir immédiatement votre médecin traitant qui, seul, jugera de la nécessité de faire un signalement auprès des Agences de Santé.

Dans une vidéo que je vous conseille de regarder[2], le docteur Carole Cassagne de l’IHU Méditerranée présente un exposé très complet sur la composition des vaccins et leurs risques potentiels. Elle note que certaines substances contenues dans les vaccins à ARNm, les nanoparticules lipidiques, n’ont jamais été expérimentées, à ce jour, sur l’humain.

Notez bien, par ailleurs, que les vaccins actuellement proposés n’ont qu’une autorisation temporaire d’utilisation et que la délivrance de leur AMM[3] définitive (sous réserve de survenue d’autres effets secondaires) n’est prévue que pour fin 2023.

De là à dire que nous participons tous à une grande expérimentation in vivo… Il n’y a qu’un pas.

Je m’étonne, donc, comme beaucoup de mes confrères, que le débat sur la balance bénéfices/risques des vaccins contre le Covid n’aborde pas :

  • les mesures de protection individuelle et de renforcement de l’immunité, telles que je les ai décrites dans ma lettre de novembre 2020 « Il est temps de booster votre immunité ».
  • les thérapies antivirales qui émergent mais qui sont totalement absentes du débat.

Même si nous laissons provisoirement de côté la très polémique hydroxychloroquine et son promoteur marseillais, il y en a, à ce jour, au moins deux thérapies prometteuses :

  • Le Clofoctol, un ancien antibiotique bactériostatique utilisé dans le traitement d’infections des voies respiratoires, de la bouche et de la sphère ORL. L’Institut Pasteur de Lille l’étudie actuellement comme molécule en mesure d’inhiber la réplication du coronavirus[4]. 
  • L’ivermectine, un médicament traditionnellement utilisé pour traiter le gale et d’autres maladies parasitaires. Pour de plus amples informations sur ce traitement, je vous invite à consulter le blog[5] du docteur Gérard Maudrux, chirurgien urologue. Il a aussi été durant vingt ans président d’une des plus grosses caisses de retraite des libéraux (CARMF), celle des médecins.

Ce traitement vient de subir le refus d’autorisation temporaire d’utilisation par l’ANSM. Cela a conduit une consœur, le docteur Trezatta-bl, à faire dans les colonnes du « Quotidien du Médecin » ce commentaire que je ne résiste pas à vous communiquer in extenso : « Si le ridicule ne tue pas, dans le cas de l’ANSM, il est meurtrier : les nombreuses études sur l’ivermectine convergent sur une réelle efficacité, avec un profil d’innocuité zéro. L’ANSM devra un jour rendre des comptes (mise en danger de la vie d’autrui ; non-assistance à personne en danger, et pourquoi pas avec un dossier bien étoffé : crimes contre l’humanité). Les données sur l’efficacité de l’ivermectine dans le Covid enflent progressivement comme une marée, j’espère que cela finira en tsunami. Par ailleurs, l’exemple de l’Australie qui a éradiqué le Covid grâce au protocole Borody, et ce bien avant l’arrivée des vaccins, devrait être un argument massif. Le protocole Borody (doxycycline + ivermectine + zinc) a largement été diffusé et encouragé auprès des généralistes australiens à partir de début août 2020. Coïncidence ? L’épidémie s’est éteinte dans les 3 mois…. Et curieusement, personne n’en parle. »[6]

D’autres antiviraux sont dans les starting-block de la recherche mondiale[7] et européenne[8].

Alors, pourquoi les possibilités de prévention et de traitement de l’infection au Covid-19 sont-elles volontairement ignorées ?

Pire encore, le docteur Maudrux affirme que la France ferait pression sur l’OMS pour abonder dans ce sens[9].

Je me pose cette question avec tant d’autres : voudrait-on ne laisser aucune alternative à une vaccination de masse ?

Vaccination :

  • qui n’est pas sans risques ;
  • dont ces risques semblent augmentés en période d’épidémie (en particulier le fait que le virus puisse devenir plus virulent)[10];
  • dont on ne connaît pas la réelle efficacité sur la contagiosité des porteurs sains, ni sur les variants qui surgiront, tant que l’immunité collective planétaire n’aura pas été atteinte ;
  • dont on commence à nous dire que l’efficacité, à terme, contraindra à se faire revacciner chaque année…

Pour terminer cette lettre sur une note plus optimiste, voici deux conseils de lecture que j’aimerais partager avec vous.

Elles sont de deux auteurs situés aux extrémités du spectre politique. Pourtant, ils se rejoignent vers un même constat de faillite sociétale.

François Ruffin, journaliste, élu en 2017 député de la Somme avec le soutien de la France Insoumise et du Parti communiste français, a publié en avril Leur progrès et le nôtre : de Prométhée à la 5G (Le Seuil).

Dans ce petit livre de 165 pages que j’ai dévoré en une journée, l’auteur fait une critique acerbe de notre société numérique, dont les travers ont été très largement augmentés en période de crise. Il rapporte ainsi les propos de Thierry, restaurateur à Amiens : « On passe des commandes en ligne, on prend des apéros en ligne, bientôt on fera l’amour en ligne… Avec la Covid, notre société a gagné vingt ans ».

Ce « transhumanisme néolibéral déshumanisé » qu’il dénonce est porté par un capitalisme mondialisé qui n’apporte plus de progrès à l’’humanité.

La question n’est pas de refuser le progrès technologique ou la place du numérique, mais de les réguler pour préserver l’humain.

En ce sens, il m’arrive de me demander, avec toutes les réserves que l’on se doit d’avoir vis-à-vis de la souffrance et de la mort, si ce que l’on nomme « la crise sanitaire » n’est pas une sorte de chance que nous pourrions saisir pour modifier la trajectoire folle de ce progrès débridé et déstructurant.

À l’autre bout du spectre politique, Philippe de Villiers vient de publier Le Jour d’Après (Albin Michel). Il y dénonce le fait que, bien plus que la gestion catastrophique de la crise sanitaire par l’ensemble des gouvernants occidentaux, cette crise pourrait être une opportunité pour les dirigeants de ce monde qui se réunissent chaque année à Davos : « Ce que nous avons vécu a été déjà joué. À New York, lors d’une réunion ou plutôt d’un exercice de stimulation d’une pandémie de coronavirus, le 18 octobre 2019, tout a été filmé et se trouve sur Internet » écrit-il. Les instances dirigeantes s’étaient donc préparées à un tel scénario catastrophe ? Quoiqu’il en soit, l’auteur essaye d’alerter les consciences sur un autre visage de la crise et une autre façon de comprendre l’articulation entre le sanitaire et l’économique.

Finalement, les deux auteurs nous proposent un regard très critique vis-à-vis d’une société purement orientée vers le profit des plus forts. Ils le développent avec des arguments très différents, mais des conclusions bien semblables…

À vous de lire et de me dire…

Prenez soin de vous,

Docteur Dominique Rueff


[1] https://www.ema.europa.eu/en/news/astrazenecas-covid-19-vaccine-ema-finds-possible-link-very-rare-cases-unusual-blood-clots-low-blood

[2] https://www.youtube.com/watch?v=SMBQ3IpqOho

[3] Autorisation de mise sur le marché

[4] Cordonnier Irène, « Traitement du covid-19 : les recherches de l’Institut Pasteur de Lille deviennent « priorité nationale » », TopSanté, 12 avril 2021

[5] https://blog-gerard.maudrux.fr/

[6] Citation extraite d’une tribune de Le Quotidien du Médecin du 5 avril 2021

[7] « Covid-19. Essais prometteurs pour un médicament antiviral administré par voie orale » Ouest-France/AFP, 6 mars 2021, disponible sur : https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-essais-prometteurs-pour-un-medicament-antiviral-administre-par-voie-orale-7177663

[8] « 4 traitements du coronavirus à l’étude en Europe » Capital, 25 mars 2020, disponible sur : https://www.capital.fr/entreprises-marches/4-traitements-du-coronavirus-a-letude-en-europe-1365738

[9] https://www.dailymotion.com/video/x803xwg

[10] https://www.lettre-docteur-rueff.fr/vaccination-quels-sont-les-enjeux/




N'hésitez pas à commenter la lettre de ce jour ci-dessous. Veuillez cependant noter que, en raison du très grand nombre de commentaires, le Dr Rueff ne pourra pas vous répondre individuellement.


16 réponses à “Billet d’humeur”

  1. Annick MAILLY dit :

    dr-tadeusz-nawrocki-consequences-indesirables-film-a-visionner-gratuitement/
    voici un film passionnant du Dr Nawrocki par Jean-Yves BILIEN qui expose les effets secondaires possibles des vaccins ARNm

  2. Picq yannick dit :

    Merci beaucoup pour toutes ces précisions et vos billets . J’espère que les instances et notre système démocratique se débarrasseront de l’influence de certains lobbyistes qui gênent les décisions qui vont dans le sens de l’humain et de son environnement ( Psj’ai travaillé pour un labo durant de nombreuses années)

    Encore merci

  3. Danielle Korn dit :

    Merci pour cet article très intéressant. J’ai surtout noté la mention de l’article du Dr Trezatta-bi dans le Quotidien du Médecin concernant l’usage de l’ivermectine. Son usage a-t-il été amplifié depuis cette parution ? OU, au contraire, ce docteur a-t-il subi les foudres de ses « pairs » ?

  4. Dominique Martin dit :

    Cher docteur,
    Je vous lis depuis quelques années sans commenter, mais là, j’avoue que votre lettre m’a fait du bien. Je vois autour de moi tant de gens qui sautent le pas vers la vaccination sous le prétexte de retourner au monde d’avant…
    Et puis je lis et entends qu’aux États Unis ils préconisent la vaccination des ados à partir de 12 ans, que la vaccination y devient la clé pour arrêter le port du masque (CDC).
    Y a-t-il quelque chose à faire pour résister?

  5. PROTIN dit :

    Bonjour Docteur,
    Fidèle lectrice de vos lettres. J’ai une question par rapport au vaccin, un homme de 51 ans de ma famille vient d’être victime d’un infarctus, il a été appareillé de 2 stens, dans une grande clinique de Paris spécialisée pour les maladies thoraciques, il a demandé à « « ses médecins » si il pouvait être vacciné contre la Covid;
    Il a reçu comme réponse qu’il n’y avait aucun problème, il peut très bien se faire vacciner sans hésitation.
    Nous avons de gros doutes par rapport aux risques éventuels de thromboses, donc de récidives assurées pour lui. Merci pour vos bons conseils.
    FP

  6. CLAIRE dit :

    Merci pour vos billets d’humeur. Ils sont rafraichissants car écrits comme si vous parliez à des mais, et ils nous font réfléchir.
    MERCI ! Continuez !!!

  7. Louis dit :

    concernant le sommeil, comme vous depuis des années je me complémente en magnésium, si j’oublie des crampes me le rappellent immédiatement, le soir un complexe sommeil différent tous les trimestres. Ayant eu un mal fou à me déshabituer des benzodiazépines, plus jamais je n’en avalerai sciemment, mais les soirs de pleine lune ou d’angoisse les fleurs de Bach sont efficaces.
    Au sujet des virus, après visionnage sur ce thème d’une émission d’ Arte, j’ai appris qu’un virus encore plus « méchant » sévit dans le sud de l’Allemagne , le Borna. Il provoque une grave encéphalite qui a conduit à la mort, une ado , 3 jours après son admission aux urgences. La covid en comparaison me semble nettement moins dangereuse, d’autant si on booste son immunité.
    Le Borna est transmis par une musaraigne, sûr que ça voyage pas vite la musaraigne , mais en 1350 la peste noire, 40% de morts a, semble t il, été diffusée par des rats mongols, qui n’ont pas pris l’avion, ni le train.

  8. Marie ANNEQUIN dit :

    Bonjour,

    J’ai bien lu votre billet d’humeur du 16/05/2021.
    Vous citez notamment un écrit de l’une de vos consœurs dans le Quotidien du Médecin, sur l’utilisation de l’ivermectine et le refus d’une ATU (en réalité RTU) de la part de l’ANSM .
    Avez-vous lu la réponse de 9 pages de l’Agence à l’avocat ayant fait cette demande de RTU ? Le message qui est transmis, n’est pas fermé à une RTU dans le futur, et ce notamment en fonction de l’évolution des résultats d’études cliniques dans ce contexte.
    De plus, l’ANSM, rappelle également la liberté de prescription des médecins, d’une spécialité pharmaceutique au cas par cas en dehors de son AMM.

    Par ailleurs, votre consoeur, qui compare indirectement le succès de l’Australie en termes d’éradication du covid , pays insulaire, avec une population 2.5 x inférieure à celle de la France, une densité de population plus de 30 x inférieure en moyenne, et une densité pour Sidney et sa banlieue versus l’Ile de France de 2.37 x inférieure, ne me paraît aussi superposable, qu’elle semble vouloir laisser penser.

  9. Bernadette dit :

    bonjour docteur , je suis étonnée de ce que je lis à propos de l’Australie : . J’ai vérifié sur internet, ils ont peu de cas mais ils vaccinent comme nous . Ils refusent d’utiliser l’astraZeneka mais vaccinent avec pfeizer. Ils sont en attente d’approvisionnement.
    Je n’ai pas lu que la maladie avait été éradiquée.
    Au plaisir de vous lire encore

  10. Olga dit :

    Bonjour.
    Juste une petite question concernant votre billet d’humeur du 16 mai sur « Que penser de la vaccination ? » :
    On dit que le vaccin chinois serait bien plus sûr que les deux autres catégories de vaccins proposées. Auriez-vous des informations là-dessus ?
    Merci beaucoup pour vos lettres toujours intéressantes et pertinentes. Cdlt

  11. JEAN PAUL PARIS dit :

    Merci pour vos lettres, toujours intéressantes.
    Vous parlez des vaccins disponibles…
    J’aimerais avoir votre avis sur des vaccins à base de virus inactivé . Certains devraient être disponibles dans les prochains mois : Valneva, développé à Nantes, actuellement en phase 3 et précommandé par le R.U.
    On parlait aussi beaucoup aujourd’hui de celui de Sanofi.
    Merci encore

  12. Maman dit :

    Toutes mes félicitations pour votre bon partage de vos lectures : continuez à faire du bien pour la santé de ceux qui vous lisent ! Qu’ils partagent le plus possible vos commentaires plein de bons sens. Merci cher Docteur. Espérons que vous pourrez encore longtemps agir si le gouvernement français dictatorial vous laisse encore un peu de temps ! Courage Docteur Rueff, on est de tout cœur avec vous.

  13. michel gousset dit :

    Merci pour ce bulletin toujours très inspirant. Vous signalez que l »ARN messager n’atteint pas l’ADN et disparaît rapidement. Tadeusz Nawrocki qui a longuement étudié cette question affirme que c’est possible par le biais de la transcriptase inverse . Il cite notamment le biologiste TEMIN ,
    prix Nobel 1975,qui aurait présenté des travaux essentiels dur ces question il y a plus de 40 ans . Comment y voir clair ?
    Merci

  14. Caroline Rousseau dit :

    Bonjour je prends du tryptophane depuis 15j associé au complexe sommeil dont vous parlez….pas de résultat pour l instant !!
    Je viens de recevoir le gaba ce matin……
    J espère que l amélioration se fait assez vite….
    Je suis abrutie de ne pas dormir et d être schootée au lixencia !!!! Et plus j’en prends plus il faut en prendre !! Merci pour vos précieux conseils j espère qu’il marche chez tout le monde !!
    Bien cordialement

  15. paul plissart dit :

    Merci beaucoup pour votre lettre très intéressante, j’ai été vérifier, le protocole Borody existe bien, il a bien fait chuter le nombre de morts en Australie qui stagne à 0 par jour depuis le 10 octobre 2020, avec quelques pics à 1 mort par jour, pour une population de 25 millions d’habitants, c’est remarquable. Zéro / 1 mort par jour depuis Octobre 2020! Comment se fait-il qu’on n’en parle pas, que l’OMS ne se soit pas rué sur ce protocole et ait continué à pousser vers le vaccin. Ils ne savent pas où est l’Australie ou quoi? Il faut vraiment arrêter de penser que l’OMS cherche à améliorer la santé de la population mondiale!

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